TheWitcher 3: Un guide complet de l'alchimie. L'alchimie est un outil essentiel dans l'arsenal d'un sorceleur. Étant des combattants hautement stratégiques, ils utilisent leurs diverses
Bientôt 23h. Le village s'est endormi. Avec le Baron Sanglant nous partons vers la sépulture de son enfant mort-né. En fait de sépulture, une vulgaire fosse et, à l'intérieur un couvin », une espèce de mutant. D'après les croyances populaires, un rituel doit permettre de le changer en sommeillard » il protégera alors sa famille de toute malédiction. Nous voilà donc, improbable procession nocturne traversant marais et ruelles désertes, le Baron Sanglant tenant à bout de bras l'infortunée créature et moi, Geralt de Riv. Profession witcher. Inspiré des romans du Polonais Andrzej Sapkowski, The Witcher 3 est - logiquement - le troisième opus de la saga. Il met en scène le personnage de Geralt de Riv qui donne son titre à l'épopée. Il s'agit effectivement d'un sorceleur witcher en anglais une sorte de guerrier-mage dont l'unique objectif est d'éliminer les créatures maléfiques qui ne manquent pas d'arpenter le monde. Dans les faits, les sorceleurs sont des personnages peu appréciés par les populations locales du fait de leur mode de vie très solitaire et de leurs supposés un air de feu et de glace ?Les créateurs polonais de CD Projekt RED se sont fait une spécialité des histoires pour un public adulte. Les romans The Witcher ne s'adressent pas aux plus jeunes avec des récits qui entremêlent intrigues politiques, massacres à grande échelle, relations ambiguës et violence/sexe. Certains n'hésitent pas à faire le rapprochement avec Game of Thrones. Ce serait oublier que l'œuvre d'Andrzej Sapkowski est antérieure à celle de George Martin... Mais qu'importe, The Witcher sort des sentiers milles fois battus dans le jeu vidéo en n'infantilisant pas son public. The Witcher 3 conserve ce mélange action / aventure qui faisait le succès des précédents épisodes, mais passe cette fois la vitesse supérieure. Le studio CD Projekt RED a effectivement opté pour ce que l'on appelle un monde ouvert. Le joueur n'est alors plus limité à de petites zones clairement définies et peut arpenter - à sa guise - l'ensemble du territoire imaginé par les développeurs. Sur le papier, un tel choix met The Witcher 3 en face de monuments du jeu vidéo tels que les Elder Scrolls et les Grand Theft Auto. Un défi peut-être un peu délicat pour CD Projekt RED ?Jamais sans ma filleInutile de faire durer le suspense, le pari est remporté haut la main par le studio polonais qui maîtrise son sujet de bout en bout. Ses créateurs sont parvenus à nous proposer un monde ouvert aussi riche qu'intéressant et à aucun moment, le joueur n'a ce sentiment de remplissage que l'on retrouve parfois chez la concurrence. À l'image des précédents Witcher, le scénario principal se suit avec un grand plaisir, même si on retrouve ici quelque chose de plus classique Geralt lancé à la recherche de Ciri, sa fille adoptive. À côté de cette trame principale, véritable fil conducteur, on retrouve donc quantités d'aventures annexes, de quêtes secondaires comme on dit dans le jargon. Jamais expédiées, celles-ci bénéficient toutes d'un soin particulier qui vient confirmer le talent des scénaristes de CD Projekt RED. Pour les plus courtes, il peut simplement s'agir de concocter un remède médicinal par exemple, mais les plus longues nous occupent plusieurs heures durant afin de trouver une solution aux problèmes dynastiques des îles troisième top, il sera exactement WitcherSi la qualité d'écriture de The Witcher 3 permet de rentrer immédiatement dans l'histoire, l'ambiance générale, l'atmosphère qui se dégage du jeu n'est pas à négliger. CD Projekt RED dépeint de fort belle manière ce monde dévasté par la guerre de l'Empire Nilfgaardien. Les populations des royaumes du nord sont accablées par les privations et les maladies. Si certains se résignent, d'autres tentent de profiter de la situation et entre les Nilfgaardiens, les brigands ou les diverses minorités nains, elfes, il faut souvent prendre position. Ce principe de choix / conséquences n'est pas une nouveauté dans la saga The Witcher. Une fois encore, il ne sera pas possible de sauvegarder pour une autre approche l'impact des décisions que l'on prend ne se découvre généralement que beaucoup plus tard. Il convient donc de réfléchir avant de prendre la moindre résolution et si la trame générale reste la même, les conséquences de nos actes vont plus loin que de coutume. Installer la reine légitime sur son trône ou préférer son frère peut changer considérablement la suite des aventures de vrai régal pour les yeuxNous évoquions une atmosphère particulière, il nous faut maintenant insister sur un point clef la réalisation technique. Peut-être pas aussi beau que ne le laissaient paraître les premières images, The Witcher 3 reste un jeu magnifique, et ce, peu importe la plateforme retenue PC, PS4, Xbox One. Le PC est évidemment mieux loti - et notre guide technique reviendra très prochainement sur cette version - mais dans tous les cas, on apprécie le soin du détail, la qualité des textures et la variété des environnements. Certaines créatures font réellement frémir le joueur alors que notre première entrée dans la cité de Novigrad est un moment très fort rarement ville aura été aussi impressionnante ! Une excellence technique que l'on retrouve avec les chevauchées à travers la campagne et qui, grâce à ce petit côté peinture à l'huile, donne une âme à cette aventure. L'aspect audio n'est pas en reste et même si les puristes préféreront la version originale, les doublages français sont aussi bien écrits qu'ils sont déclamés avec conviction. Hélas, on peut tout de même trouver à redire puisque CD Projekt RED a eu toutes les peines du monde à réaliser une interface de qualité on se perd dans les divers menus, on passe trop de temps à trier son matériel et l'artisanat perd de son attractivité alors qu'il permet de réaliser des objets réellement utiles. Enfin, impossible d'évoquer The Witcher 3 sans parler de ses combats qui donnent au jeu un petit côté didacticiel permanent ». Largement critiqué par les fans à la sortie de The Witcher 2, CD Projekt RED a revu sa copie. On ne retrouve plus le moindre quicktime event presser sur le bon bouton au bon moment et il faut maintenant jouer avec les différents types d'attaque ainsi que les esquives pour s'en sortir. Geralt dispose aussi de quelques sorts, mais n'allez pas croire qu'ils vous transforment en créature invincible The Witcher 3 sait nous mener la vie dure !Vous n'avez pas joué / pas aimé Witcher 2 ? Sans surprise, The Witcher 3 reprend les personnages et certaines intrigues des précédents opus. Cela dit, les développeurs se sont arrangés pour que le scénario soit compréhensible de tous et que les relations entre les différents personnages tombent sous le sens. De la même manière, les principaux reproches faits à l'égard de The Witcher 2 ont ici été gommés. Grâce à son monde ouvert, l'aventure est moins cadenassée, le joueur est plus libre de ses mouvements. Enfin, les problèmes liés aux combats - notamment les combats de boss et leurs quicktime events - ne sont plus au programme. Il n'y a donc aucune raison de ne pas se laisser tenter par The Witcher 3. En résumé...Trop souvent, les créateurs de jeux vidéo font de multiples promesses qu'ils ne sont pas en mesure de tenir. Aussi, il est bon de voir que CD Projekt RED est parvenu à respecter son cahier des charges. The Witcher 3 n'est pas exempt de défauts quelques bugs viennent parfois gêner la progression, l'interface à laquelle on s'habitue n'est vraiment pas un modèle du genre et le rythme est parfois inégal... En réalité, tout cela importe peu. Suivre Geralt de Riv procure un immense plaisir. L'univers dépeint par les Polonais est magnifiquement représenté. On perçoit les tensions de ce monde sur le déclin. On prend part à sa lente agonie et on tente malgré tout de trouver un but, d'avancer. Immersif comme ne le sont que peu de jeux, The Witcher 3 tient le joueur en haleine pendant des dizaines et des dizaines d'heures sans qu'il ne rencontre la moindre lassitude. Une merveille qui restera dans les mémoires.
Peuaprès la sortie de The Witcher 3 : Wild Hunt, des petits malins avaient trouvé le moyen de se faire de l'argent très facilement dans le jeu. Il suffisait simplement de zigouiller des vaches du côté de Blanchefleur , de récupérer leur peau, de méditer un poil pour faire réapparaître les bovines créatures et de réitérer le cycle jusqu'à avoir des tonnes de peau de Gangsta pas radieux Testé pour PlayStation 5 Le jeu vidéo est un média qui a tendance à ne jamais laisser mourir un nom. Pire, il a tendance à essorer jusqu’à l'absurde les licences par tous les moyens possibles et imaginables tant que le nom continue d’évoquer quelque chose au public. Pourtant, Saints Row est tombé dans l’oubli après un épisode 4 qui brisait toutes les règles du simulateur de bad boy pour chasser sur les terres du super-héroïsme. Neuf ans d’absence pour la série canonique cinq seulement si on compte le spin-off sans intérêt Agents of Mayhem, ça ressemble à une éternité à l’échelle de l’histoire du jeu Row donne le ton dès son nom sans numéro ni sous-titre c’est un nouveau départ. Et même un retour aux sources. Mais sera-ce suffisant pour remettre en orbite les sales gosses du GTA-like ? Condition de test Ce test a été réalisé à partir d'un code éditeur. Saints Row abandonne donc les délires super-héroïques du quatrième épisode pour revenir à du GTA-Like plus classique, mais en gardant évidemment la nécessaire exagération propre à la série. Retour aux bases, donc car jacking, fusillades, poursuites, braquages, destructions de biens publics… le tout à votre image, puisqu’il est possible de personnaliser absolument tout ce que le joueur va utiliser. Fringues, corps, visage, flingues, véhicules et mêmes compagnons d'armes la grande tradition du n'importe quoi créatif Saints Row est donc respectée et va même au-delà de ces options qui font partie du cahier des charges depuis 2006. En effet, la ville elle-même va subir des aménagements assez importants au fil des choix du joueur. L’idée n’est pas de construire des quartiers entiers comme dans un Sim City, mais de développer tout un tas d’activités, allant du traitement des déchets toxiques à la restauration rapide, à placer dans les différents quartiers de la ville. Vous aurez aussi l’occasion de décorer et développer plus ou moins librement le quartier général des opérations criminelles du joueur. Petit à petit, la ville de Santo Ileso va devenir un lieu à votre image. C’est le credo que répète sans cesse le jeu Be your own boss. Le trailer du jour Ça vous a intéressé ? En voilà encore !
TheWitcher : Le Cauchemar du loup (The Witcher: Nightmare of the Wolf) est un film d'animation américano-sud-coréen réalisé par Beau DeMayo, sorti le 23 août 2021 [1], [2].Il s'agit d'un spin-off-préquelle de la série Netflix The Witcher [3].Il se concentre sur l'histoire d'origine de Vesemir, mentor de Geralt et collègue sorceleur [4].
CD Projekt, studio polonais à l’origine de l’adaptation de la saga littéraire The Witcher en jeu vidéo, a toujours mis un point d’honneur à remanier et enrichir le contenu de ses titres. Car même s’il n’a travaillé que » sur cette série de jeux, force est de constater que l’attention qui leur était portée a toujours été exemplaire. The Witcher 3 ne semble pas déroger à la règle. Déjà corrigé par de nombreux patchs et enrichi de 16 DLC gratuits, le premier gros DLC payant arrive. Appelé Hearts of Stone et vendu au prix de 9,99€, celui-ci est davantage considéré par le studio comme une extension plutôt qu’un contenu supplémentaire similaire à ce que d’autres studios ont pu nous habituer ces dernières années. Mais Hearts of Stone vaut-il vraiment la peine d’être joué ? L’homme au cœur de pierre Pour commencer avec un premier point intéressant lorsque le DLC est installé, celui-ci est directement visible dans le menu principal. Il est possible de reprendre son ancienne sauvegarde du moment que son personnage soit au moins au niveau 30. Sinon il est tout à fait possible de commencer directement sur Hearts of Stone, comme s’il s’agissait d’un standalone. Dans ce cas, un personnage sera déjà créé et débutera au niveau 32 avec de quoi pouvoir évoluer plutôt tranquillement points de compétence, équipements…. C’est un point plutôt intéressant si l’on a pas le courage de monter son personnage ou même si l’on désire jouer sans pour autant reprendre son ancienne partie. Concernant l’histoire principale de cette extension, celle-ci commence lorsque Geralt tombe sur un contrat de chasse au monstre demandant l’élimination d’une créature dangereuse dans les égouts d’Oxenfurt. D’ailleurs, mettons tout de suite au crédit de HoS qu’il a le mérite d’enfin tirer profit de la ville d’Oxenfurt qui était à peine exploitée dans la version originale. C’était sans doute l’un des points noirs les plus gênants concernant les quêtes de The Witcher 3… le problème est maintenant résolu. Pour commencer votre quête, il est demandé de rencontrer son commanditaire, un certain Olgierd Von Everec. À son sujet, bien qu’il ne s’agisse pas d’un personnage véritablement bon », il est doté d’un charisme certain et d’un passé pour le moins intriguant. Et comme souvent, on remarque que CD Projekt a vraiment soigné le traitement de ce dernier qui n’est ni bon, ni foncièrement mauvais. Et sans trop en dire, ce contrat vous amènera par la suite à rencontrer une amie de longue date Shani, l’une des romances possibles du premier volet The Witcher. Retrouver ce personnage est appréciable autant pour les amateurs des précédents épisodes que pour ceux ayant débuté avec le troisième opus. Cette jeune femme médecin est restée fidèle à elle-même et reste en cohérence avec ce que l’on connaissait d’elle au début de la série, un bon point donc. Sa présence sera, comme vous vous en doutez probablement, l’opportunité de renouer le lien… ou pas d’ailleurs. C’est une romance plutôt sympathique et qui a le mérite d’avoir un contexte un peu plus léger que celles de Triss ou Yennefer. Mais cette remarque est également valable pour l’ensemble de l’histoire. Même si le danger est toujours palpable, on ressent un peu plus de légèreté dans l’enjeu de ce DLC, et ce n’est pas forcément plus mal. L’aventure sera aussi et surtout le moment où l’on retrouve un personnage que la majorité des joueurs auront sans doute oublié Gaunter de Meuré, aussi connu comme le Maître Miroir. Si vous ne vous en souvenez pas, on le rencontre dans l’introduction lorsque l’on se trouve à Blanchefleur. Celui-ci nous aide notamment en nous mettant sur la piste de Yennefer. Ce personnage se trouve être particulièrement intéressant mais également lié à Olgierd, et par la suite à Geralt. Pour le reste, on regrettera que les autres personnages, même s’ils sont parfois intéressants ont malheureusement tendance à souffrir d’une trop faible visibilité. Ceci dit, il est difficile d’en tenir rigueur sachant que pour certains personnages, leur présence n’est pas obligatoire dans le sens où un autre personnage peut prendre sa place. Un contenu qui met du cœur à l’ouvrage La suite de l’aventure propose en outre des missions assez variées et qui se résoudront soit au fil de l’épée, au Gwynt ou par d’autres méthodes que nous n’exposeront pas pour éviter de gâcher tout plaisir de découverte. Cette variété est encore une fois très appréciable et permet de ne pas se lasser. La mise en scène des missions est elle aussi très soignée et sait se montrer extrêmement immersive. On attribuera une mention spéciale à une certaine mission de cambriolage qui se trouve être un peu trop courte dans son exécution alors qu’au contraire, la préparation est beaucoup plus longue. Mais dans leur globalité, les missions sont plutôt bien dosées et disposent d’une durée de vie plus que raisonnable. Car si les développeurs nous ont promis une dizaine d’heures de jeu, non seulement le contrat est rempli, mais il est certain que si vous désirez faire l’ensemble des quêtes, cela vous prendra un peu plus de temps. Une bonne chose pour un contenu additionnel affiché à moins de 10€. L’un des points importants à aborder dans cette extension, c’est aussi celui des combats de boss. Ces derniers sont, comme fréquemment dans The Witcher 3 et les épisodes précédents, plutôt mal équilibrés. Si dans certains cas vous tombez sur un combat assez simple, il est aussi possible de se retrouver confronté à des boss plutôt retors. Rien d’impossible cependant, rassurez-vous, mais cette irrégularité dans la difficulté peut s’avérer un peu frustrante pour certains joueurs. Votre aventure vous amènera aussi à faire la rencontre du peuple d’Ophir, amenant son lot de nouveautés et d’exotisme dans le titre. Effectivement, lors d’une quête secondaire, un Ophiris expliquera qu’il est capable d’améliorer l’équipement en y insufflant des mots de pouvoir que l’on peut créer à partir de glyphes et de runes. Les bonus conférés par cet enchanteur sont utiles et permettent d’obtenir des effets très intéressants comme la capacité de dévier les carreaux d’arbalète. Un must have lorsque l’on combat des groupes d’hommes armés pendant que les arbalétriers restent sournoisement en arrière ! Ces atouts sont d’ailleurs soit spécifiques aux armes, soient aux amures. Mais ne vous y trompez pas, bénéficier de ces bonus ne sera pas une mince affaire car il faudra investir énormément d’argent pour le matériel du marchand. Une fois ceci fait, la création des mots en elle-même n’est pas très chère. Dans les aspects purement formels mais qui ont tout de même leur intérêt, on peut également se rendre compte du fait que quelques changements ont été opérés. Par exemple, les icônes des runes et glyphes sont désormais beaucoup plus simples à distinguer, ce qui est très pratique pour s’y retrouver. Et toujours pour une meilleure clarté, toutes les quêtes liées à l’extension sont colorées en bleu. Il est ainsi extrêmement simple de s’organiser, particulièrement lorsque l’on dispose encore d’un nombre conséquent de quêtes issues du jeu original. Pour conclure, ce DLC Hearts of Stone bénéficie d’un travail plutôt soigné montrant encore une fois la bonne volonté du studio polonais. Pour une durée de vie supérieure à 10h, pour peu que l’on fasse toutes les quêtes proposées, son prix de 9,99€ se justifie amplement et ne devrait souffrir d’aucune contestation. Une extension honnête qui a du cœur. 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Je pense qu’en tant que joueurs, nous avons tous un titre que l’on chérit, qui a su nous accrocher dès les premières minutes et qui ne nous a jamais quitté. Un jeu que l’on prend plaisir à refaire encore et encore, nostalgique de la première fois. Qu’il s’agisse de Final Fantasy 7, de Baldur’s Gate ou de tout autre titre généralement un RPG, c’est marrant ça…, on est souvent prêt à le défendre corps et âme contre les hordes de haters ou de sceptiques. Pour ma part, il s’agit de The Witcher, et c’est avec un plaisir non dissimulé que je vais essayer de vous délivrer un test sur ce jeu qui, s’il n’est pas méconnu, reste bien trop souvent boudé, voire rabaissé à côté de son illustre petit frère. Avec la licence The Witcher, CD Projekt RED a su se hisser au rang d’incontournable du jeu-vidéo, à un point tel que leur prochain titre, Cyberpunk 2077, n’a eu de cesse de faire monter la hype et est d’ores et déjà considéré comme extraordinaire alors qu’il n’est même pas sorti ! Mais si le succès de The Witcher 3 est indéniable, j’ai l’impression que seule une petite partie de ses joueurs ont touché au second opus paru le 17 avril 2011 sur PC, puis le 17 avril 2012 sur Xbox 360 et sur PC avec une édition Enhanced, et que seule une infime partie a joué au tout premier opus, également tout premier jeu entièrement développé par CD Projekt RED, jusque-là habitué à localiser des jeux en polonais et à démocratiser le média dans le pays. Car il ne faut pas l’oublier, CD Projekt RED, ainsi que la licence dont The Witcher est adapté, sont polonais, et c’est quelque chose d’assez rare pour être souligné. Aujourd’hui, je profite donc d’avoir une tribune, aussi modeste soit-elle, pour enfin dire tout le bien que je pense de ce premier The Witcher. Alors autant être honnête tout de suite même si je reconnais des défauts au jeu et que je vais malgré tout essayer d’être le plus impartial possible, il est évident que ce test ne sera pas “objectif’”. De plus, le jeu étant sorti maintenant depuis plus de 12 ans, je ne parlerai que de la version Enhanced. Je vais également essayer de faire au plus court, mais il y a tellement de choses à dire sur le jeu, et j’ai moi-même tellement de choses à en dire, qu’il me sera difficile de me priver, alors autant me faire plaisir. J’espère par-là même, que vous apprécierez de lire ce texte autant que j’en ai pris pour l’écrire. Ça vous rappelle quelque chose, non ?! Cela étant dit, commençons ! The Witcher est donc l’adaptation par un studio de développement Polonais, d’une licence de littérature polonaise, parue sur PC et Mac uniquement, mais on y reviendra. Et à cela, il me faut préciser deux choses très importantes en premier lieu, il est toujours important de rappeler que les développeurs de CD Projekt RED ainsi que l’auteur Andrzej Sapkowski parce qu’il faudra bien le nommer un jour viennent du même pays, chose ô combien importante dans le cas d’une adaptation, car elle permet, de par le fait que les cultures et les références soient les mêmes, de plus facilement comprendre thématiques, références et imagerie, si l’adaptation venait d’ailleurs, comme nous avons pu le voir avec l’adaptation Netflix de la licence, que je n’irai pas jusqu’à qualifier de ratée, mais qui reste néanmoins médiocre. Et enfin, second point, il est également toujours important de rappeler, et on ne le précisera jamais assez, que les jeux de CD Projekt RED ne sont pas une adaptation stricto sensu des livres de Sapkowski, mais d’une suite en bonne et due forme. On parle donc plutôt d’une adaptation de personnages et d’univers que d’histoire et de trame narrative. Et ce “détail” est en réalité le premier coup de génie du studio la saga du Sorceleur étant un monument de la littérature polonaise considérée avec autant de respect par les Polonais que les Britanniques pour Tolkien ou nous autres Français pour Flaubert ou Hugo par exemple, il aurait été assez casse-gueule de s’attaquer à une adaptation d’une telle histoire. C’est donc tout logiquement qu’ils ont décidé de créer une suite à une histoire pourtant conclue par la mort du personnage de Geralt, expliquée par une pirouette scénaristique n’arrivant qu’au second opus de la trilogie, et permettant audit Geralt une amnésie bien commode et connue de notre média qu’est le jeu-vidéo. Mais si c’est généralement un gimmick fréquent pour présenter l’univers et les personnages, l’amnésie de Geralt est ici bien plus pratique que cela elle permet en effet de non seulement “expliquer” l’existence de cette suite, mais également de permettre bien évidemment aux joueurs non familiers avec l’univers du Sorceleur de connaître les personnages et l’univers comme cité précédemment et à ceux déjà familiers, de reconnaître ces mêmes personnages, d’apprécier ou non leur apparence et d’introduire un genre d’ironie dramatique, un procédé par lequel le spectateur, le lecteur ou ici le joueur en sait plus que le personnage de l’histoire qui lui est contée, ici Geralt. C’est par la phrase prononcée dans l’introduction par ce dernier qu’elle se révèle pour la première fois, quand il dit qu’il est certain que quelque chose le lie à Triss mais qu’il ne se rappelle pas quoi. L’histoire est donc divisée en chapitres, cinq exactement, à quoi viennent s’ajouter un prologue et un épilogue, le tout pour une durée de vie d’environ une quarantaine d’heures, plus une dizaine si vous prenez le temps de faire les quêtes secondaires et d’explorer à fond les environnements du jeu. Chaque chapitre a pour lui une petite histoire qui ne sera pas sans rappeler les nouvelles de Sapkowski avant qu’il ne débute la saga à proprement parler, qui aura un lien plus ou moins direct avec le fil rouge du jeu. Et ce fil rouge, faisons-en rapidement un petit résumé après s’être retrouvé à Kaer Morhen sans mémoire et blessé, Geralt et les sorceleurs, Lambert, Eskel, Vesemir et Léo, accompagnés de la magicienne Triss, se font attaquer par des mercenaires mystérieux en voulant à leurs potions et leurs secrets. La suite de l’histoire se basera sur la poursuite de cette troupe de mercenaires, ce qui aboutira à un grand voyage dans le royaume de Temeria ou Témérie, comme traduit dans les livres qui mettra en lumières complots et trahisons à une échelle bien plus grande que le simple vol. Le troisième épisode de la trilogie fait beaucoup échos à des scènes des deux précédents titres, comme ici par exemple Chaque chapitre sera l’occasion de découvrir un panel de zones assez diversifiées et quasiment différentes à chaque chapitre, seules certaines cartes revenant plusieurs fois, mais toujours avec de légères variations, comme de nouveaux monstres, ainsi que de nouveaux personnages souvent assez bien définis. Car si le dialogue a une place prépondérante dans The Witcher 3, il en va également de cet opus les personnages sont bien écrits, bien définis, et les dialogues sont bien souvent amusants ou graves, toujours dans le ton. Geralt est doublé par Doug Cockle en anglais, qui reprendra le rôle pour les seconds et troisième opus, tandis que la voix française est assurée par Patrick Baudrier, voix française entre autres de notre Jean-Claude Van Damme bien aimé, mais qui ne reviendra pas pour céder sa place à Daniel Lobé, qui restera également dans le troisième épisode. Concernant ces doublages, l’anglais est de très bonne facture, de même que pour le français, même si en 2008 et l’état du jeu vidéo en France à l’époque, les rôles ne sont pas autant pris au sérieux que dans la langue originale. De plus, la diversité d’accents est comme toujours assez présente dans le doublage anglais, une chose qui, il faut l’admettre, est largement absente de nos doublages français, pour une raison qui m’échappe. La bande originale, elle, composée par Paweł Błaszczak et Adam Skorupa est absolument divine. Utilisant des instruments qu’il est assez inhabituel d’entendre par chez nous, et en grande partie réutilisés dans l’OST du troisième opus il me semble, elle s’accorde parfaitement à l’univers et à l’ambiance qu’instaure le titre familière mais inhabituelle, classique mais atypique. C’est également cette OST qui est à l’origine du thème principal de la franchise, même s’il est moins souvent repris que dans le troisième opus. À noter que ce thème devenu si renommé est étrangement absent du second épisode, sans doute parce qu’ils ne pensaient pas encore à l’époque donner une identité sonore à la licence. Le poker aux dés fait son apparition dans ce premier opus D’une qualité impeccable, cette OST fait partie de celles qui me suivent depuis des années, de celles que je ne me lasse pas de réécouter, aux côtés de celles de Starbound et du premier opus de Xenoblade Chronicles. Mention spéciale aux titres River of Life, Lakeside et à l’absolument incroyable Peaceful Moments. Tous les goûts restent évidemment personnels, mais il faut reconnaître que les développeurs ont tenu à apporter une véritable identité au titre jusqu’aux moindres détails afin de dépeindre avec le plus de respect et de profondeur possible, l’univers déjà riche de Sapkowski. Côté sound design, The Witcher est très correct, mais je ne peux pas dire qu’il soit transcendant les sons d’ambiance font le travail, mais beaucoup de bruitages font partie de ce genre de choses qui sont beaucoup entendues ailleurs. Je n’irai pas jusqu’à dire qu’ils les ont trouvés dans une banque de son, mais presque. Les impacts des coups de poing par exemple sont très banals, et je suis certain que vous les aurez déjà entendus dans une autre production. Mais le tout remplit bien son office, l’ensemble fonctionne bien et on se sent vraiment à l’aise dans cet environnement sonore. Mais tout ce travail sur l’audio du jeu ne serait rien sans un enrobage graphique tout aussi cohérent. Et force est d’admettre que sur ce point, CD Projekt RED fait également mouche. Sans oublier que le jeu date de 2008 et qu’il ne vaut donc absolument pas les standards actuels, il faut néanmoins admettre que le jeu a assez bien vieilli. Personnellement, je trouve qu’il a mieux vieilli sur ce point qu’Oblivion sorti à la même période, mais cela reste une question de goûts. Même si les textures sont parfois inégales, la tête d’un personnage peut être très détaillée alors que ses vêtements sont laids et baveux, vous verrez le personnage de Kalkstein pour l’exemple, l’ensemble reste très agréable à l’œil. Les dialogues proposent plusieurs choix de réponses, et offrent parfois d’autres options, comme la méditation ou le commerce vous voyez également ici l’exemple des textures baveuses que j’évoquais plus haut Les effets de lumières sont très corrects, et le jeu est bourré de détails effets météorologiques, petits animaux comme des pigeons s’envolant à votre approche, chats errants sur les chemins, oies autour des maisons de paysans, singes ? gambadant dans les champs… Le studio a fait en sorte de faire vivre son monde en dehors des personnages, et c’est quelque chose qui reste tout de même assez exemplaire compte tenu des moyens du studio à l’époque. Concernant le moteur graphique, The Witcher tourne sous une version modifiée de l’Aurora Engine, moteur emprunté à BioWare et utilisé pour des titres comme Neverwinter Nights ou Star Wars Knights of the Old Republic. Si vous voulez en savoir plus du pourquoi/comment de ce moteur, je vous invite à lire l’ouvrage L’Ascencion de The Witcher de Benoît Exserv » Reinier aux éditions Third, revenant sur l’histoire de CD Projekt RED je vous conseille d’ailleurs toute la bibliographie Third, tous leurs ouvrages sont particulièrement excellents. Pour faire court, le moteur Aurora était assez facile d’utilisation, mais assez limité en cela qu’il ne permettait pas vraiment de créer un monde à partir de rien, mais seulement d’utiliser des éléments préfabriqués. Le studio a donc dû largement modifier le moteur pour le plier à ses envies, et ainsi créer leur monde selon leur désir. Mais quelques traces des éléments de base sont parfois reconnaissables, à l’image de certains piliers trouvables dans les souterrains qui pour le coup font vraiment très Neverwinter Nights. L’emprunt à BioWare a permis au studio de pouvoir développer son jeu sans avoir à créer un moteur à partir de rien, procédé très coûteux en temps et en argent. Le jeu offre souvent de jolis effets de lumières ou de météo Mais revenons-en à notre sujet. Les graphismes du titre sont donc très jolis et ont plutôt bien vieilli. Les animations, quoiqu’un peu rigides, sont malgré tout soignées et très correctes, même si elles ne sont pas très diversifiées dans les phases de dialogue. Les cinématiques, en revanche, toutes réalisées directement avec le moteur du jeu, font la part belle à de la mise en scène un peu plus poussée, et même si le résultat est parfois un peu ridicule à cause de l’âge, les efforts employés forcent le respect. Je rappelle qu’il s’agit du premier jeu du studio CD Projekt RED. Mais, il y a néanmoins quelques points négatifs. Le plus important est sans doute la recrudescence de clones. C’est quelque chose qu’on ne peut pas omettre. Le jeu comporte énormément de clones. En soi, ça pourrait ne pas représenter un problème, mais ça en devient un quand un personnage important de l’intrigue se retrouve avec la même tête que des bandits qu’on a trucidés quinze minutes plus tôt un grand coup dans l’immersion, et cela peut parfois mener à des fausses pistes, en se demandant si on ne vient pas de tuer quelqu’un d’important sans qu’on l’ait remarqué ! Un autre point négatif serait le manque de personnalité de beaucoup de lieux, chose qui, si elle est compréhensible, ne pose pas véritablement de problème. Le jeu n’étant pas assez long pour que la répétitivité relative s’installe suffisamment pour devenir pesante. Mais c’est un fait tous les souterrains se ressemblent, toutes les cryptes également. Les monstres, en revanche, sont une franche réussite. Tant dans leur design que dans les animations, ces derniers ne manqueront pas de vous faire parfois sursauter. Les noyeurs sont inquiétants, les graveirs terrifiants, et on soulignera l’idée géniale de mettre un cadavre en décomposition dans le corps des ékinoppes et ékinoppyres. En mettant de côté les simples changements de couleur pour désigner une version “supérieure” d’un monstre noyeux/noyadé, ékinoppe/ ékinoppyre, le bestiaire est très diversifié et encore une fois, met en scène des monstres qu’on n’a pas l’habitude de voir, du moins pour la plupart. La base de données est très complète sur tous les aspects du jeu et de l’univers Franche réussite sur ce point également donc, si tant est qu’on puisse passer outre les clones, ce qui en soi ne pose pas de “graves” problèmes à l’ensemble. Audio et graphismes savent instaurer une ambiance solide et même si l’on ne crée pas notre personnage comme dans un RPG classique, il est facile de se glisser dans la peau de Geralt et de se prendre véritablement pour un sorceleur errant dans les rues de Wyzima pour chercher du travail, ou dans les marais pour tuer des noyeurs et rapporter leur tête contre quelques deniers. Mais une ambiance réussie et j’ose le dire fabuleuse, ne sert à rien si elle n’est pas servie par un gameplay solide et réfléchi. Oui, il est temps d’enfin aborder le gros morceau. The Witcher se présente donc comme un classique jeu en 3D à la troisième personne. Même s’il est possible de choisir entre trois modes de gameplay différents, à savoir le mode 3ème personne suscité, un mode isométrique jouable intégralement à la souris et un autre mode un peu à mi-chemin entre les deux, il faut tout de même reconnaître que le premier sera celui choisi dans l’immense majorité des cas. Il est néanmoins bon de reconnaître que des efforts ont été faits, même si le mode isométrique est sans doute une relique du moteur Aurora Engine et du gameplay des Neverwinter Nights. Comme je l’ai dit, le jeu se divise en chapitres, offrants eux-mêmes plusieurs zones toujours différentes ou presque. Ce sera à vous d’explorer ces lieux pour en découvrir la carte et pour trouver les différents personnages donneurs de quêtes, les objets à ramasser, les plantes à récolter ou les monstres à tuer. Même si toutes les quêtes sont scénarisées pour éviter de trop nous faire ressentir l’effet “FedEx”, elles offrent parfois des dénouements différents, que ça soit à cause de vos choix relatifs à la quête principale qui aura impacté votre réputation auprès de certains personnages, ou bien simplement parce que vous ne vous y êtes pas pris correctement et n’avez pas pris la menace posée par les enjeux au sérieux. Concernant la quête principale, en revanche, même si l’on n’est pas au niveau du second opus de la trilogie qui, je le rappelle, proposait un chapitre 2 totalement différent selon les choix effectués par le joueur, le jeu offre un système de choix et de conséquences qui force le respect. Même si elle peut être schématisée par trois “voies” générales, à savoir deux camps et le choix de la neutralité si cher au personnage de Geralt, l’évolution de la narration est très intéressant et offre en cela une rejouabilité intéressante, le sorceleur faisant lui-même l’emphase sur certains moments clés en se demandant comment se serait passée l’histoire s’il avait agi différemment. Pour mettre en scène tout cet univers et toutes ces quêtes, le jeu présente deux phases distinctes celles de jour, où les gens sortent et mènent leur vie, et où il n’est souvent pas possible de sortir son arme exceptée dans quelques zones sauvages », et celle de nuit, heures où sortent les monstres et où les personnages se baladant dans la nature risquent plus souvent de se faire hacher menu que de conter fleurette. Les cartes des zones doivent être explorées pour être totalement dévoilées Le système de combat a beaucoup fait parler de lui lors de la sortie du titre, et beaucoup de gens continuent toujours de le considérer comme raté, nul ou ennuyeux. Avant de le décortiquer plus en détails, laissez-moi vous le présenter dans les zones où il vous est autorisé de dégainer vos armes, indiquées par un symbole de griffe sur la “pendule” informant de l’heure de la journée, vous aurez le choix entre sortir votre épée d’acier ou celle en argent, armes propres à tout sorceleur qui se respecte, ou bien d’autres modèles récupérables sur les ennemis ou dans les coffres. Anecdotiques, ces armes dites “secondaires”, ne se révèlent jamais utiles, à part peut-être la torche en de rares occasions. Pour se battre, il faudra cliquer sur l’ennemi en rythme afin d’enchaîner les combos et ainsi occasionner plus de dégâts. Pour ce faire, les armes de sorceleur se voient dotées de trois styles, à savoir le style puissant, le rapide et celui de groupe. Chaque ennemi est ainsi vulnérable à l’un des deux premiers styles, tandis que le troisième ne touchera pas les ennemis isolés, mais abattra des groupes entiers en quelques moulinets. Si cela peut sembler très simple sur le papier, voire simpliste, il faut savoir que connaître le style efficace contre certains monstres sera indispensable très rapidement, utiliser le mauvais se soldant par une esquive ou un blocage de l’adversaire. De même, maîtriser le rythme du combat est plus que conseillé, si vous ne voulez pas vous contenter de relancer le combo à chaque coup et ainsi lutter à tuer le moindre monstre. Si le système de combat peut donc se résumer à “cliquer en rythme”, c’est en réalité un peu plus complexe que cela par une succession de micro-choix, le jeu nous force à constamment adapter notre style, à nous placer correctement pour ne pas frapper le mauvais ennemi ou bien pour toucher un maximum de cibles dans le cas d’un groupe, ou bien tout simplement à ne pas nous tromper d’arme, les combats mélangeant monstres et humains survenant à plusieurs reprises dans le jeu. Je peux vous assurer que dans les modes de difficulté les plus élevés, un simple clic de travers peut mener à la catastrophe. Et il faut ajouter à cela les signes, les potions, les bombes et les huiles, et le tout se révèle au final très complet et bien plus complexe que le premier coup d’œil pourrait le laisser croire. Si The Witcher ne permet pas de créer et personnaliser l’apparence de son personnage, il n’en est pas moins un RPG, avec toutes les mécaniques que ce type de jeu implique. On gère donc son équipement, on fait évoluer son personnage et on gagne en expérience. Et quoi de mieux pour cela qu’un arbre de compétence ?! S’il est devenu quelque chose d’un peu trop commun dans le monde vidéoludique d’aujourd’hui, se retrouvant partout avec plus ou moins de pertinence, il était à l’origine l’apanage des RPG pur souche, et était particulièrement soigné. Et que dire de celui de The Witcher si ce n’est qu’il est proprement magnifique ? Divisé en plusieurs catégories, une pour chaque style de combat ou par signe par exemple, il est magnifiquement illustré et clair. Même si dans l’absolu, beaucoup de cases se ressemblent, il faut tout de même admettre qu’il en jette, et que son système de remplissage est particulièrement plaisant. RPG old-school oblige, autant vous le dire tout de suite il ne vous sera pas possible de tout débloquer. Il vous faudra faire des choix dans l’orientation de votre personnage. Chaque compétence se débloque avec un talent, bronze, argent ou or, et certains sont indispensables si vous souhaitez débloquer les paliers supérieurs. Il y en a pour tous les goûts, du bonus de dégâts en état d’ébriété à la possibilité de ramasser plus d’ingrédients sur les plantes qui permettront de concocter des potions. Vous devez admettre que l’arbre de compétence en jette sacrément Et que serait un sorceleur sans ses potions ? C’est là qu’intervient l’aspect alchimie du titre, et laissez-moi vous le dire tout de suite c’est tout simplement le meilleur de la trilogie, qui en aura eu un différent à chaque opus. Ici, bien qu’il soit possible de connaître les recettes de différentes potions et de les préparer “automatiquement” via une liste, il vous est tout à fait possible de mélanger les ingrédients au hasard afin de découvrir de nouvelles recettes de potions, d’huiles pour armes ou de bombes. Lesdits ingrédients sont divisés en plusieurs types appelés substances. Au nombre de 6, elles permettent un large panel de possibilités. Ajoutez à cela 3 substances dites “additionnelles”, permettant de donner des effets supplémentaires à vos préparations, et vous obtenez un système d’alchimie proposant au joueur un véritable “jeu dans le jeu”, le laissant libre d’expérimenter tout ce qu’il veut et ainsi potentiellement découvrir des recettes de potions ou de bombes très puissantes très tôt dans la partie. Les ingrédients, eux, peuvent se récolter dans la nature via les plantes, les champignons ou les minéraux, mais également s’extraire directement sur les monstres à condition que Geralt connaisse les matériaux en question. Amnésie oblige, il a tout oublié, des recettes les plus simples aux ingrédients les plus communs. Pour remédier à cela, il lui faudra acquérir des connaissances en lisant des livres, trouvables ou achetables un peu partout dans le monde. Toutes ces connaissances se retrouvent ainsi listées dans une base de données encyclopédique détaillée et très claire, rendant accessible la moindre information à tout moment. Plus que les ingrédients, cette base de données est véritablement providentielle, et montre une fois de plus la maîtrise de CD Projekt RED pour l’univers de Sapkowki dès le début, il nous est possible de lire de petits paragraphes développant l’univers ou les personnages. Oui, exactement comme dans les second et troisième opus, mais le fait que cette fonctionnalité soit présente dès le premier épisode montre à quel point le studio avait confiance en ses capacités et en sa licence, se permettant de développer dès le début son monde en y incluant parfois des éléments qui ne sont jamais véritablement illustrés dans le jeu, comme la bataille de Sodden ou la Conjonction des Sphères par exemple. Le titre offre également quelques à-côtés, représentés par trois minis-jeux qui permettent de souffler un peu et de se reposer de l’histoire principale très premier degré. Le premier de ces trois mini-jeux est le combat à mains nues véritable pilier de la trilogie, étant le seul aspect du jeu ayant traversé les trois titres, il permet de se battre aux poings contre des ennemis uniques contre des récompenses uniques. Malheureusement, force est de constater que le système de combat aux poings est vraiment simpliste, et qu’il est très difficile de perdre, d’autant que les contrôles et les “combos” sont très approximatifs, voire inexistants. Le second mini-jeu est le poker aux dés. Beaucoup plus amusant, il permet de gagner de grosses sommes d’argent contre d’autres personnages uniques, tout en permettant de devenir, à terme, une véritable légende du jeu, crainte de tous, même d’un certain personnage important que je ne spoilerai pas ici. Très simple dans sa compréhension, il se joue en deux manches pendant lesquelles il faudra non seulement avoir des jets de dés chanceux, mais également choisir stratégiquement lesquels conserver lors du second lancer et lesquels rejouer pour essayer d’obtenir des combos full, suite, brelan, etc.. Le seul souci se présentant réellement ici est qu’aucun index des combinaisons n’est disponible, aussi il n’est pas forcément évident pour le néophyte de savoir non seulement quoi chercher à obtenir, mais également quelle combinaison a plus de valeur que l’autre. Et enfin, le dernier mini-jeu est sans doute celui qui a fait couler le plus d’encre, et qui est d’un goût plus… douteux, dirons-nous. Vous ne serez pas sans savoir que Geralt aime les femmes, et vice-versa. Il sera ainsi possible de séduire plusieurs d’entre-elles, soit au cours de l’histoire, soit en cherchant un peu. La récompense d’une telle “recherche” est une carte érotique unique à chaque femme séduite, encourageant le joueur à littéralement “collectionner les femmes”. Un peu beauf, assez rabaissant, cet aspect du jeu a été censuré dans plusieurs pays, ce qui a justifié la nécessité de CD Projekt RED de ressortir cette version enhanced qui, entre autres détails techniques, offrait au monde entier la possibilité de voir ces cartes dans leur version d’origine. Notez que même s’il est toujours possible pour Geralt d’avoir des rapports dans les deux autres titres de la trilogie, il n’a plus jamais été question d’une telle mécanique, même si les scènes sont devenues en revanche bien plus explicites. L’alchimie est très ludique et très intuitive, et c’est souvent un plaisir de trouver des recettes “par hasard” Avant de conclure, je souhaitais revenir sur l’aspect chapitré du jeu. Méthode ô combien prisée d’énormément de jeux, je l’ai trouvée ici particulièrement pertinente. Du fait de l’aspect massif de l’univers que CD Projekt RED essaie de reproduire et de nous présenter, diviser le jeu en chapitres permet de diluer les informations à ingérer de façon très digeste et cohérente. Si l’introduction se passe à Kaer Morhen, le berceau des sorceleurs de l’école du Loup, tout le reste du jeu se passera dans la région de Wyzima, la capitale de la Temeria. Mais plutôt que de directement nous lâcher en ville, avec tout ce que ça implique de lutte de classes, de races, de problèmes de peste, de religion, de monstres et de politique, le jeu nous laisse arriver petit à petit dans la région d’abord les faubourgs dans le premier chapitre, puis le quartier du temple, pauvre et négligé, dans le second, et enfin le quartier des marchands, cœur vibrant de la ville dans le troisième. Le fait que certaines zones restent explorables d’un chapitre à l’autre nous rend vraiment l’endroit familier on apprend à le connaître, à l’appréhender, et on arrive même à cerner et comprendre les personnages bien mieux quand on connaît le contexte dans lequel ils évoluent. Mention spéciale au chapitre 4, bouffée d’oxygène dans une grande histoire étouffante, qui nous permet le temps de quelques heures, de s’échapper de la ville pour régler des problèmes plus “simples”, revenant directement aux racines de ce qu’est un sorceleur, toute politique et camp mis à part. Offrant des zones magnifiques et inoubliables, ce chapitre 4 est à titre personnel, une expérience profondément marquante, un moment de jeu vidéo ayant contribué à me forger une imagerie et des sentiments que j’ai eu beaucoup de mal à retrouver depuis. L’ambiance de ce chapitre est tout bonnement unique, et on sent bien que CD Projekt RED a essayé de la recréer dans un contexte quelque peu différent dans le DLC Blood and Wine du troisième opus douce-amère, belle et mélancolique, avec une petite touche de fin de tout, que ça soit au niveau des personnages rencontrés ou bien pour le joueur, qui aura autant de mal à quitter la région d’Eaux-Troubles que la trilogie de Geralt. En conclusion, que dire sinon que CD Projekt RED a su offrir avec son premier opus de The Witcher un jeu majeur qui, même s’il n’a pas eu un succès aussi colossal que son petit frère, a néanmoins été fondateur, non seulement pour le studio qui aura su bâtir une base très solide pour sa trilogie, mais également pour le joueur qui se voit introduit à un univers de dark-fantasy pas tout à fait comme les autres. Un titre, qui est tout en finesse, avec une implication et une immersion rarement égalées dans des titres imposant son protagoniste. Avec son gameplay original et finalement très peu repris, ses mécaniques huilées et finement imbriquées les unes dans les autres, ses graphismes et ses animations tout à fait corrects encore aujourd’hui, et sa cohérence de tous les instants, The Witcher est et restera, l’un des meilleurs RPG des années 2000, et un titre à jamais dans mon cœur de fan. + Très beau, même encore aujourd’hui.+ Un système de combat original au parti-pris assumé, qu’on n’a très peu vu par ailleurs depuis.+ L’univers très bien adapté et pris avec un sérieux presque “vénérateur”, en plus d’être très vivant.+ Des choix impliquant de vraies conséquences.+La bande originale.+ Le chapitre 4.+Les bases solides sur lesquelles une trilogie pilier du jeu-vidéo, s’est bâtie.– Même s’il reste assez beau, les graphismes ne plairont pas à tout le monde, de même que certaines animations un peu figées.– Les clones.– Les allers-retours qui peuvent devenirs pesants, d’autant que l’allure du personnage ne peut pas être modifiée.– De par sa radicalité, le système de combat peut ne pas plaire à tout le monde.
MegaMan 3 (NES) - Il ne peut en rester qu'un. Recherche. Bibliothèque. Se connecter. S'inscrire. Regarder en plein écran. il y a 9 ans. Mega Man 3 - Il ne peut en rester The Witcher 3 Wild Hunt. Toujours à faire parler de lui après bientôt six ans d’existence, et pour cause, le jeu de CD Projekt Red reste en tête d’affiche du studio malgré toute la hype cumulée de leur dernier projet Cyberpunk 2077. Notre bon vieux Geralt continue de s’exporter un peu partout, dernièrement sur Switch après un downgrade inévitable connaissant les performances de la console qui ne seront pas revues avec la Switch OLED, rappelons-le. Maintenant, on s’attend à un upgrade PlayStation 5 et Xbox Series X/S. Et justement, cette version new-gen » n’est pas sans surprise. On en avait déjà parlé le 5 septembre 2020 lors de la première annonce, il y s presqu’un an, et cette version de The Witcher 3 sur new-gen était attendue. En plus d’être gratuite pour ceux possédant déjà le jeu, ce qui est clairement un point positif tout ce qui est gratuit est toujours meilleur, elle s’accompagne en plus de nouvelles features. Car oui, pour rattraper les problématiques liées à Cyberpunk 2077, CD Projekt Red ne semble pas vouloir abandonner son bébé tant adulé. C’est dans un tweet du compte officiel de The Witcher qu’on a pu avoir plusieurs informations supplémentaires quant à cette version sur PS5 et Xbox Series X/S. Fait intéressant, les joueurs de la current-gen PS4 et Switch entre autre auront aussi droit à cette complete edition » remasterisée pour l’occasion. L’artwork de Geralt semble retravaillé pour l’occasion et arbore des traits plus durs. Comme on peut aussi le voir sur l’affiche, la série Netflix s’invite également dans la partie. Car oui, la série de The Witcher, dont la saison 2 ne se fait plus attendre, va venir ajouter son grain de sel dans l’engrenage gigantesque que devient le jeu de CD Projekt Red. Promettant des ajouts exclusifs venant de la série, reste à savoir comment tout cela va pouvoir s’implanter en jeu. Très clairement, cela vend du rêve. On peut imaginer tout et n’importe quoi. Tant qu’on ne se retrouve pas avec une énième version de Toss a coin to your witcher » en jeu, ces ajouts sont bienvenus. Pas de date de sortie officielle à l’heure actuelle pour The Witcher 3 Wild Hunt version new-gen, mais ce sera sûrement pour la fin d’année 2021, et le jeu s’accompagnera de la saison 2 de la série ! Encore plus de jeux vidéo Bienque The Witcher 3 ne sera pas aussi difficile que Dark Souls, d’après les dires du Quest Designer Philipp Weber, les combats demanderont presque autant de précision et

» Publier un commentaire Terkaaa 1 0 2105 La clé GOG on peut la rentrer sur steam? reply GP_JPGP Team 1 1 1105 dans GOG Galaxy, c'est encore mieux, tu auras le choix de jouer sans DRM et hors ligne. reply Terkaaa 1 0 2355 GP_JPSuper merci de ta réponse mais GOG c'est une plateforme comme steam? reply show more 4 noburain 0 0 2256 Bonjour, es-ce la Goty edition ? cordialement reply LucskaGP Team 2 0 0954 Non, c'est la version standard du jeu. Il faudra attendre encore un petit peu pour la version Goty reply noburain 2 0 1402 LucskaMerci pour la réponse rapide reply ROMANPOZ 1 0 1412 bonjour Est ce que l'on peut jouer hors ligne une fois que le jeu est téléchargé sur l'ordinateur ou doit-on être connecté à internet? Je vais aller dans des lieux où on n'a ps accès à internet ==> c'est important pour moi de le savoir merci reply GP_JPGP Team 1 0 1607 Bonjour, alors non seulement avec cette version officielle de CD Projekt Red tu pourras jouer hors ligne mais tu pourras aussi jouer à The Witcher sans avoir à lancer GoG reply Destined Mist 1 0 1632 Bonjour à tous, En attente d'une réponse du support français gog, je m'adresse à vous. J'ai acheté the witcher 3 le 18 mai 2015 sur gamesplanet, l'ai activé sur gog et puis y ait joué avec grand plaisir. Aujourd'hui j'aimerai bien le réinstaller seulement il n'apparaît plus nul part, ni dans la bibliothèque gog ni dans celle de gog galaxy pourtant le bon compte . La seule trace qu'il reste de lui snif , c'est dans un mail reçu avec la clef d'activation de l'époque. Bien sur il m'est impossible de réinstaller le jeu avec cette clef. Une idée de comment le récupérer ? PS mon ordi a du être rebooté il y a quelques mois, donc plus grand chose d'utilisable non plus sur l'ordi merci reply GP_JPGP Team 1 0 1128 Modifié Bonjour, il s'agit d'un problème lié à ton compte GOG visiblement, ne t'inquiète pas c'est sûrement un soucis passager, tu as essayé de leur demander pourquoi ton jeu n'est plus dans ton compte ? Leur email c'est [email protected] Tiens nous au courant reply Destined Mist 1 0 1618 GP_JPOui je les ai contactés mais toujours pas de réponse. Surement parce que c'est le week end. Merci reply dzaag 1 0 1651 Bonjour, je rencontre un petit problème avec la plateforme Gog, en effet, nul part ils ne me proposent de télécharger le jeu... Que dois-je faire? J'ai activé le jeu avec eux et ils m'ont envoyé le mail de confirmation! reply GP_JPGP Team 2 0 1702 Hello, tu as activé ton jeu acheté sur Gamesplanet sur la plateforme GOG si j'ai bien compris. Tu as installé GOG Galaxy et tu t'es connecté avec ton compte GOG ? The Witcher 3 devrait y apparaître et tu pourras lancer le téléchargement. reply MisterFreeze02 1 0 0800 Bonjour, je suis intéréssé par The Witcher 3 mais mon PC n'est pas assez puissant. MAIS je vais, normalement, bientot avoir une machine de guerre. Si j'achète la clé maintenant elle restera activée combien de temps ? reply LucskaGP Team 1 0 1057 La clé que l'on transmet à chaque commande est définitive et te permet de procéder au téléchargement du jeu autant de fois que nécessaire. reply GP_JPGP Team 1 0 1304 Les sauvegardes ne sont pas conservées en ligne, par contre tu peux copier les fichiers locaux reply 1 2 3 4 5 … 30

\n\n \n\n\nthe witcher 3 il ne peut en rester qu un
Lamise à jour était précédemment conçue en externe par Saber Interactive, mais CD Projekt Red a décidé de rapatrier le reste du développement chez lui. « Nous avons décidé d'avoir notre équipe de développement interne sur le reste du travail de la version next-gen de The Witcher 3: Wild Hunt, » peut-on lire dans un récent tweet sur le compte officiel du jeu.
PS4 Xbox One PC Boire ou séduire, il faut choisir. Le Sorceleur n'est plus aussi charismatique qu'avant avec cette addiction. Après des mois d'attente, ça y est, la date de sortie de The Witcher 3 Wild Hunt n'a jamais semblé aussi proche. CD Projekt RED a annoncé que son jeu de rôle était maintenant terminé, il ne reste plus qu'à faire monter l'attente encore un peu plus. Et c'est d'ailleurs ce que fait le studio en publiant une nouvelle image de Geralt, héros du titre, avec le visage légèrement changé par rapport à d'habitude. Les développeurs ont pensé à de nombreux détails, et outre la barbe poussant au fur et à mesure de l'aventure, la forte consommation de potions aura un impact néfaste sur le physique du Sorceleur. Yeux jaunis, veines rougeâtres apparentes, Geralt aura, dans ces conditions, beaucoup plus de mal à séduire les demoiselles. Pour rappel, la date de sortie de The Witcher 3 Wild Hunt est fixée au 19 mai prochain, et les joueurs pourront y jouer dès 1h du matin. Attention à ne pas abuser de potions » pour rester éveillé !
Tant qu’on y est, elle était très cool la saison 2 de The Witcher ! Bien meilleure que la première ! En espérant qu’une saison 3 arrive ! », a lancé un énième utilisateur. « Vraiment, elle était lourde ! Mais j’ai un peu l’impression d’être resté sur ma faim quand même. L’histoire n’a pas tellement avancé au final. », a ensuite rétorqué un second.
Sorti il y a un an et demi, The Witcher 3 reste encore un jeu très joué aujourd’hui ; pourquoi ? Parce qu’objectivement, il s’agit d’un des meilleurs jeux produits ces dernières années, et les extensions sont venues le confirmer. Et si vous souhaitez encore plonger dans la quête de Ciri, ou bien explorer une nouvelle fois les contrées verdoyantes de Toussaint, pourquoi ne pas ajouter une touche personnelle ? The Witcher 3 n’est pas aussi mod-friendly que d’autres jeux comme les Total War ou Skyrim, mais il existe quand même quelques petits ajouts possibles, notamment via Nexus Mod Manager, qui rendront le bébé de CD Projekt toujours plus appréciable. Petite liste non -exhaustive Fast travel from anywhere Une des grandes qualités de The Witcher 3 est sa map extrêmement grande, et qui fourmille de contenu. Et si les points de voyage rapide sont déjà nombreux, peut-être vous en faut-il quelques-uns en plus ; c’est dans cette optique que Fast travel from anywhere vous permet, comme son nom l’indique, de voyager rapidement depuis n’importe quel point de la map ! Pratique, même si honnêtement, cela enlève une partie du charme des RPG. Lien de téléchargement Better Torches A l’image de son histoire, le monde de The Witcher 3 est plutôt sombre, notamment dans les nombreuses cavernes que vous aurez à explorer – logique. Le mod Better Torches vous permet de garder votre torche allumée que vous soyez à cheval, en train de combattre ou de balancer des signes. Pratique. Lien de téléchargement Auto Apply Oils Le gameplay du RPG de CD Projekt est riche, complet, et adaptable à plein de situations. En tant que sorceleur, vous aurez à affronter différents types de créatures, qu’il s’agisse de vampires, de goules, de chiens de la Chasse sauvage, de noyeurs… bref, plein de joyeuseries ! Et afin de mettre toutes les chances de son côté, Geralt pourra fabriquer un grand nombre d’huiles augmentant les dégâts contre tel ou tel type de monstre ; mais cela peut être parfois un vrai casse-tête de s’y retrouver, c’est pourquoi le mod Auto Apply Oils enduira automatiquement votre lame de l’huile correspondante à l’ennemi le plus proche. Certes, cela encourage la flemme, mais peut se révéler bien utile ! Lien de téléchargement Fantasy Graphics Si la noirceur de Velen, Novigrad et Ard Skellige vous embêtent trop, le mod Fantasy Graphics vous permettra de donner plus de luminosité à l’univers, un peu dans le style du Seigneur des Anneaux. Lien de téléchargement HD Reworked Project On le sait tous, The Witcher 3 offre des graphismes et effets magnifiques, surtout au niveau des effets météorologiques et des couchers de soleil. Mais si vous en voulez encore plus, le mod HD Reworked Project retexturise le bois, les roches, les tuiles et d’autres éléments du jeu, pour proposer un réalisme encore plus impressionnant. Cerise sur le couscous, il ne consomme que très peu de ressources en plus, comparé au jeu de base ; malheureusement, il n’améliore pas la qualité de l’eau. Lien de téléchargement Geralt’s Skin – White Wolf from Rivia Ceux qui s’intéressent un tant soit peu à l’univers de The Witcher qui a pour base une série de livres auront remarqué que la peau de Geralt, dans le jeu de CD Projekt, est beaucoup trop humaine ; en effet, l’une des conséquences de l’Epreuve des Herbes est de rendre la peau extrêmement pâle, ce que fait le mod Geralt’s Skin – White Wolf from Rivia. Ce n’est qu’un ajout cosmétique, certes, mais ça vaut le coup ! Lien de téléchargement AQUA Un nom succin pour un mod simple mais ô combien important ; officiellement à cause des limites des consoles next-gen, CD Projekt a finalement baissé la qualité des textures de l’eau ce qui, honnêtement, rend assez mal dans le jeu. Heureusement, le mod AQUA vient combler cela – la différence n’est pas extrême non plus, mais cela reste un ajout agréable. Lien de téléchargement Comment installer tout ça ? Si l’installation manuelle est possible, le plus simple est de télécharger Nexus Mod Manager, qui détectera automatiquement le dossier d’installation de The Witcher 3 fonctionne aussi pour une multitude d’autres jeux et y déposera allègrement les mods de votre choix. A partir de là, à vous de vous amuser ! Et d’accomplir vos contrats de sorceleurs, bien sûr.
TheWitcher est une série TV de Lauren Schmidt Hissrich avec Henry Cavill (Geralt de Tiv), Henry Cavill (Geralt de Riv). Retrouvez tous les détails des 3 saisons et des 24 épisodes de la série Ftcid.
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