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Pour - l'avis d'un vĂ©gĂ©tarianLa vĂ©gĂ©tarisme est un moyen de la vie trĂšs bon. Il aide contre l'abattage des animaux pour nos besoins Ă©goĂŻstes. Si tout le monde ne mange pas d'animaux, le monde serait un meilleur endroit avec des animaux marchent librement comme ils se seraitsans nous, mais ils sont dans un cage dans une grange ou dans un petit champ sur une ferme. Les lĂ©gumes et plus bon pour toi de la viande qui est plein de graisse et je prĂ©fĂšre le goĂ»t des lĂ©gumes Ă  la viande. S'il vous plait devenir vĂ©gĂ©tarien, ensemble, nous pouvons arrĂȘter la - mon avisPas manger de la viande n'est pas intelligent. Il est naturel pour nous de manger d'autres animaux, c'est la chain ailmentaire et de tout autre espĂšce qui mangent d'autres animaux sont capables de le faire sans beaucoup d'entre eux de devenir vĂ©gĂ©tariens. Les lĂ©gumes ne rĂ©pondent pas Ă  notre besoin, notre besoin pour une rĂ©gime equilibrĂ©e. Comment peut-on rĂ©sister Ă  McDonalds? On ne vit qu'une fois et un BigMac est plus bon de manquer. Sauvez les animaux? La seule chose que vous Ă©conomiserez est un peu d'argent parce que les animaux parce que les animaux seront abattus dans les mĂȘmes numĂ©ros que avant si on devient vĂ©gĂ©tarien, il ne fait aucune diffĂ©rence si on doit manger de la viande et on aimerais la goĂ»t. ï»żLescuistos français ne connaissent pas la cuisine vĂ©gĂ©tarienne, le mieux c'est de passer au resto avant pour les prĂ©venir (et avec un bouquin de recettes parce que sinon ce sera une bonne grosse salade, euh, non mais sans les lardons aussi). JC . vĂ©gĂ©tarisme par supinette (membre) (84.101.57.xxx) le 10/11/05 Ă  08:32:47 La peine de mort, souvent appelĂ© peine capitale, fait partie de l’un des sujets qui est Ă  ce jour encore au cƓur des dĂ©bats. En effet, certains sont tout Ă  fait contre pour des raisons Ă©thiques, sociĂ©tale et morale ; tandis que d’autres demande le retour de cette peine. La peine de mort est abolit en France depuis le 26 aoĂ»t 1981. A ce jour, 56 pays dans le monde appliquent encore cette sanction au nom de la justice. Parmi eux, on dĂ©nombre certains Ă©tats des États-Unis, la Chine, l’Arabie Saoudite ou encore la peine de mort, sujet au cƓur des dĂ©bats Aujourd’hui, nous allons vous donner 10 raisons d’ĂȘtre contre la peine de mort. Un chĂątiment cruel Au fil des siĂšcles, la peine de mort a mis en place des chĂątiments corporels qui relĂšvent de l’inhumain. En effet, on peut citer ici l’écartĂšlement, le crucifiement, la lapidation ou encore l’empalement. De nos jours, les moyens les plus utilisĂ©s sont la lapidation, l’injection lĂ©tale, la chaise Ă©lectrique, la pendaison ou encore la fusillade. NĂ©anmoins, ces chĂątiments n’en restent pas moins cruel aux yeux de certains qui pensent d’un point de vue Ă©thique. En effet, chacun a un droit inhĂ©rent sur sa condition et sa vie humaine. Une sanction antidĂ©mocratique Il est important de soulever le questionnement de la sanction dans la vie en sociĂ©tĂ©, et c’est d’ailleurs le rĂŽle de la justice. Toute dĂ©mocratie se doit d’instaurer une justice fiable et Ă©quitable pour chacun de ses concitoyens. Par ailleurs, il est important de constater que la majoritĂ© des pays qui appliquent encore la peine capitale sont des pays avec des gouvernements dits oppressifs. Par exemple, on peut citer des pays tels que la Chine qui est le premier pays au monde en termes de nombre de condamnation Ă  mort. Mais, on peut Ă©galement citer l’Iran, la Syrie, le YĂ©men ou encore la CorĂ©e du droit Ă  la vie Le droit Ă  la vie de chaque ĂȘtre humain est un droit indiscutable qu’il a Ă©tĂ© donnĂ© Ă  chacun. Nombreux sont ceux qui mettent cet argument en avant pour justifier leur position contre la peine de mort. En effet, qui peut se prĂŽner dĂ©tenteur du destin de la vie d’un ĂȘtre humain ? À mon sens, personne n’a le droit d’îter une vie humaine, mĂȘme s’il s’agit de la vie d’un criminel. La contradiction avec le principe de la justice Le rĂŽle de la justice au sein de la sociĂ©tĂ© est d’ĂȘtre l’arbitre neutre et impartial des comportements des citoyens. En effet, son rĂŽle est de sanctionner des actes interdits par la loi et a le devoir de protĂ©ger les personnes vulnĂ©rables. NĂ©anmoins, le principe de la peine de mort va Ă  l’encontre de ce principe puisque c’est un moyen simple de se venger. La peine de mort fait aussi rĂ©fĂ©rence aux yeux de certains Ă  la loi de Talion, ƒil pour Ɠil, dent pour dent , qui est en totale contradiction avec le principe de sanction de la justice ; et qui prĂŽne la vengeance. Les raisons morales et Ă©thiques Est-ce moral de punir un crime par un autre crime ? D’infliger des chĂątiments corporels humiliants, dĂ©gradants et cruels ? D’îter la vie humaine ? VoilĂ  les questions les plus courantes qui reviennent au cƓur des dĂ©bats. La peine de mort est une sanction qui ne relĂšve pas de la morale, de l’éthique et des principes de fondement de la sociĂ©tĂ©. La peine capitale est une violation des droits humains et du droit Ă  la vie. L’encouragement de l’abolition au niveau internationale Le droit international encourage l’abolition de la peine de mort, pour toutes les raisons citĂ©es prĂ©cĂ©demment, au niveau mondial. De plus, le droit international mentionne le fait que la peine de mort est strictement interdite en temps de paix comme en temps de conflits. De plus, certains pays sanctionnent des crimes qui n’en sont pas comme l’homosexualitĂ©. Par ailleurs, la voix d’un combat commun raisonne par le biais d’Amnesty International. Cette organisation se bat contre la peine de mort. La peine capitale s’inscrit dans une culture marquĂ©e par la violence, sans apporter de remĂšde Ă  ce flĂ©au. La peine de mort ne dissuade pas La peine de mort n’est pas une sanction dissuasive pour les criminelles. En effet, certains reprĂ©sentants de gouvernement international encouragent cette pratique en mentionnant qu’elle permet un contrĂŽle de la criminalitĂ©. NĂ©anmoins, il est important de noter que les criminels qui ont des problĂšmes mentaux ou encore qui aiment faire du mal ne sont pas dissuadĂ©s par ces sanctions. Un taux de criminalitĂ© inchangĂ© Il a Ă©tĂ© prouvĂ© que la peine de mort est une sanction inefficace. En effet, les pays qui ont aboli la peine de mort ne recensent aucun changement au niveau du taux de criminalitĂ©. A contrario, cette pratique reflĂšte un modĂšle gouvernemental qui encourage la erreurs de justice La justice est un systĂšme qui permet, au sein de la sociĂ©tĂ©, de punir les actes rĂ©prĂ©hensibles par la loi. En effet, mĂȘme si celle-ci se prĂŽne fiable et impartiale, ce n’est pas toujours le cas. En effet, l’histoire a prouvĂ© que la justice a dĂ©jĂ  commis des erreurs. Par ailleurs, la peine de mort ne permet aucun retour en arriĂšre, car si une personne est exĂ©cutĂ©e il est impossible par la suite de rĂ©parer cette erreur. Par exemple, Georges Stinney, jeune garçon de 14 ans a Ă©tĂ© exĂ©cutĂ© pour deux meurtres qu’il n’a pas commis. 70 ans aprĂšs son exĂ©cution, il a Ă©tĂ© innocentĂ©, mais il Ă©tait trop tard pour faire machine arriĂšre. L’efficacitĂ© des prisons Les prisons sont efficaces et permettent donc de supprimer la sanction de la peine de mort. En effet, ce sont des lieux qui permettent de tenir Ă  l’écart les criminels les plus dangereux pour la sociĂ©tĂ©. Quel est votre avis sur ce dĂ©bat ? Pour ou contre la peine de mort en 2022 ? 1aoĂ»t 2017 - Lorsque l’on dĂ©cide de ne plus manger d’animaux et que l’on en parle autour de soi, des mauvais arguments contre le vĂ©gĂ©tarisme, on en entend beaucoup. Tout le monde ne sait
Voter en Ă©tant confortablement assis sur son canapĂ©? Un outil dĂ©mocratique qui a de nombreux dĂ©tracteurs. Keystone Le vote Ă©lectronique, chance ou risque pour la dĂ©mocratie suisse? Les avis sont actuellement partagĂ©s au sein de la ConfĂ©dĂ©ration. Voici les dix arguments les plus importants qui marquent le dĂ©bat – cinq pour et cinq contre. Ce contenu a Ă©tĂ© publiĂ© le 09 mars 2018 - 1600 Il n’existe aucun autre pays au monde oĂč les citoyens se rendent aussi souvent aux urnes, soit en moyenne quatre fois par annĂ©e. Ne serait-ce pas pratique dans ces conditions de pouvoir voter en quelques clics de souris?Suisses de l’étranger podium sur l’e-votingDepuis des annĂ©es, le vote Ă©lectronique figure en tĂȘte de l’agenda de l’Organisation des Suisses de l’étranger. Son parlement, le Conseil des Suisses de l’étranger, se rĂ©unit ce samedi Ă  Berne. A l’occasion d’une table ronde intitulĂ©e E-voting chances et risques», Franz GrĂŒter, conseiller national UDC et Claudia Pletscher, responsable du dĂ©veloppement et de l’innovation de la Poste, discuteront de cette question. Un compte-rendu du dĂ©bat sera publiĂ© sur of insertionOui, estime la ConfĂ©dĂ©ration. En 2019, il devrait ĂȘtre possible de voter par voie Ă©lectronique dans deux tiers des cantons. Mais la rĂ©sistance s’organise spĂ©cialistes en informatique et dĂ©fenseurs de la protection des donnĂ©es mettent en garde contre les dangers de l’e-voting. Une initiative populaire visant son interdiction pourrait mĂȘme ĂȘtre avons rassemblĂ© pour vous les arguments les plus importants en faveur et en dĂ©faveur du vote 1 Il devient plus facile de voterAvec le vote Ă©lectronique, il est possible de voter confortablement depuis son domicile ou sa maison de vacances, mĂȘme en pleine nuit. Plus nĂ©cessaire donc de se rendre au bureau de vote ou Ă  la boĂźte aux lettres de la Poste pour exercer ses droits de 2 Les Suisses de l’étranger ne sont plus dĂ©savantagĂ©sEn raison de problĂšmes de distribution, les Suisses de l’étranger reçoivent souvent leur matĂ©riel de vote trop tardivement pour participer aux votations. Le vote Ă©lectronique constitue donc pour eux un rĂ©el pas en 3 Hausse de la participationLorsque les obstacles au vote seront moindres, il est probable que davantage de citoyens exprimeront leur avis. Les jeunes en particulier, pour lesquels le taux de participation est plus faible que la moyenne, sont plus susceptibles d’ĂȘtre attirĂ©s par le vote Ă©lectronique. Une plus grande participation et une meilleure reprĂ©sentation de toutes les couches de la population sont les bienvenues d’un point de vue 4 Moins de votes invalidesLe vote Ă©lectronique ne gĂ©nĂšre pas de votes invalides en raison d’erreurs formelles. Or les Ă©lecteurs suisses commettent frĂ©quemment des erreurs lorsqu’ils remplissent leurs bulletins de vote. Lors des derniĂšres Ă©lections municipales Ă  Zurich, par exemple, 26% des suffrages exprimĂ©s Ă©taient nuls. Dans une commune, ce taux a mĂȘme atteint 41%.Pour 5 Aucun systĂšme n’est sĂ»r Ă  100% Lorsqu’on leur brandit le risque du piratage, les partisans du vote Ă©lectronique rĂ©pondent qu’aucun systĂšme n’est totalement sĂ»r. La Suisse a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© confrontĂ©e Ă  plusieurs cas de fraude Ă©lectorale par le passĂ©. Cela se produit par exemple lorsque le matĂ©riel de vote envoyĂ© par la poste est subtilisĂ© puis renvoyĂ© avec une fausse signature au nom de la personne grugĂ©e. Contre 1 Le secret du vote n’est pas garantiSelon les dĂ©fenseurs de la protection des donnĂ©es, le vote Ă©lectronique ne garantit pas le secret du vote car les Ă©lecteurs ne sont pas Ă  mĂȘme de comprendre toutes les Ă©tapes du processus. Les systĂšmes actuellement disponibles ne permettent pas de protĂ©ger la sphĂšre privĂ©e dans l’environnement de l’utilisateur, de sorte qu’un ordinateur infectĂ© par un logiciel malveillant pourrait violer la confidentialitĂ© du 2 Les votations et Ă©lections peuvent ĂȘtre manipulĂ©esSelon les voix critiques, le plus gros problĂšme de l’e-voting rĂ©side dans les risques en matiĂšre de sĂ©curitĂ© attaques de pirates informatiques, achat de votes et autres manipulations. En inoculant par exemple un virus sur les ordinateurs des Ă©lecteurs, les pirates pourraient modifier leurs votes. Si les Ă©lections ou les votations peuvent ĂȘtre manipulĂ©es Ă  large Ă©chelle – par des criminels, des services secrets Ă©trangers ou des entreprises -, cela signifie la fin de la dĂ©mocratie, estiment les dĂ©tracteurs du vote 3 Recomptage impossibleContrairement aux bulletins physiques, les votes Ă©lectroniques ne peuvent pas ĂȘtre recomptĂ©s manuellement. Avec le vote Ă©lectronique, il n’y a pas non plus de dĂ©pouilleurs ou d’observateurs Ă©lectoraux qui agissent en tant que groupe et se contrĂŽlent mutuellement pour s’assurer que le processus de vote se dĂ©roule sans heurts. Les citoyens doivent faire aveuglĂ©ment confiance au systĂšme de vote 4 Le vote Ă©lectronique coĂ»te cher L’e-voting aurait un prix Ă©norme, selon ses dĂ©tracteurs au moins 700 millions de francs seraient nĂ©cessaires Ă  sa gĂ©nĂ©ralisation dans tout le pays. Un vote exprimĂ© par voie Ă©lectronique coĂ»terait ainsi bien plus cher qu’un vote 5 L’introduction du vote Ă©lectronique est antidĂ©mocratiqueDeux tiers des cantons devraient pouvoir voter par voie Ă©lectronique d’ici 2019. Toutefois, la base juridique nĂ©cessaire Ă  son introduction fait toujours dĂ©faut elle doit ĂȘtre créée Ă  l’horizon 2020/2021. Ce n’est qu’alors que le Parlement pourra trancher sur cette question, puis Ă©ventuellement le peuple en cas de dĂ©pĂŽt d’un rĂ©fĂ©rendum. Les opposants Ă  l’e-voting se plaignent donc du fait que le vote Ă©lectronique est introduit prĂ©maturĂ©ment et sans dĂ©cision pouvez contacter l'auteur de cet article SibillaBondolfi sur FacebookLien externe ou TwitterLien externe. Cet article a Ă©tĂ© importĂ© automatiquement de notre ancien site vers le nouveau. Si vous remarquez un problĂšme de visualisation, nous vous prions de nous en excuser et vous engageons Ă  nous le signaler Ă  cette adresse community-feedback En conformitĂ© avec les normes du JTI Plus SWI certifiĂ©e par la Journalism Trust Initiative
Doncles bienfaits du végétarisme (pour le corps et le porte-monnaie) ne sont pas à prendre en compte que par rapport à la viande industrielle. 0 . 20 novembre 2021 at 8 h 37 min @Madara on
Cause Animale Les animaux n’ont jamais autant souffert qu’aujourd’hui, que ce soit pour la production de viande, de lait, d’Ɠufs, de fourrure, de cuir, de laine, dans les laboratoires ou pour nous distraire. L214 Mon animal et moi Les animaux sont fantastiques, mais ils ne parlent pas. A nous de relayer leur message, pour les protĂ©ger, mais aussi protĂ©ger la planĂšte et notre santĂ©. Voyons point par point 1. Les animaux sont sentientsLa communautĂ© scientifique admet dĂ©sormais ce que bien des gens vivant avec un chien, un chat ou tout autre animal savent empiriquement depuis longtemps comme nous, les animaux ont des perceptions, des Ă©motions, des dĂ©sirs, ils sont animĂ©s d’une volontĂ© propre. Autrement dit, les animaux sont sentients ». Et pas seulement ceux qui nous tiennent compagnie, mais aussi au moins l’ensemble des mammifĂšres, des oiseaux, des poissons et de certains invertĂ©brĂ©s tels les Le changement est dans notre campMalheureusement, notre sociĂ©tĂ© est loin d’avoir Ă©voluĂ© Ă  la mesure de ces avancĂ©es scientifiques, et nous fonctionnons avec les mĂȘmes schĂ©mas mentaux de discrimination et les mĂȘmes vieilles habitudes d’exploitation. Une vĂ©ritable volontĂ© politique et Ă©ducative permettrait des progrĂšs significatifs en faveur des animaux, mais pour l’instant ce sont plutĂŽt les intĂ©rĂȘts Ă©conomiques – les commerces liĂ©s Ă  l’exploitation des animaux sont juteux – et les automatismes qui donnent le ton. En agissant pour les animaux, nous amorçons le Un combat Ă©thique qui reste Ă  menerLes animaux n’ont jamais autant souffert qu’aujourd’hui, que ce soit pour la production de viande, de lait, d’Ɠufs, de fourrure, de cuir, de laine, dans les laboratoires ou pour nous distraire. Chaque jour, en France, 3 millions d’animaux sont tuĂ©s dans les abattoirs, et davantage encore pĂ©rissent du fait de la pĂȘche et de l’aquaculture. Comment une sociĂ©tĂ© qui perpĂ©tue quotidiennement un tel massacre peut-elle se prĂ©tendre civilisĂ©e ? L’humanitĂ© a heureusement bĂ©nĂ©ficiĂ© de grandes avancĂ©es morales au cours du temps. Rappelons-nous qu’il y a 300 ans Ă  peine, les exĂ©cutions capitales publiques, plus ou moins assorties de tortures, constituaient un spectacle populaire prisĂ©. Du cĂŽtĂ© des animaux, l’apparence de progrĂšs ne tient qu’à la dissimulation de la violence. Mais ce n’est pas parce les abattoirs et la plupart des Ă©levages sont devenus des lieux fermĂ©s, ni parce que les industries vendent viandes, laitages et Ɠufs Ă  grand renfort d’images bucoliques ou burlesques, que la souffrance des animaux a disparu, bien au contraire. 4. Notre action a un vĂ©ritable impact Ne pas cautionner l’exploitation des animaux en choisissant une alimentation vĂ©gĂ©tale a un impact direct sur la vie des animaux, car la production rĂ©pond Ă  la demande – et sur 1000 animaux victimes des activitĂ©s humaines, on estime que 999 d'entre eux sont destinĂ©s aux assiettes. Il en est de mĂȘme pour tous nos choix en lien avec les produits animaux – cuir, fourrure, produits testĂ©s
 Les alternatives sont nombreuses, il suffit de les dĂ©couvrir !5. C’est facile !S’engager pour les animaux peut ĂȘtre en effet aussi facile que sĂ©lectionner le contenu de son assiette. Tant de moyens d’action existent que le plus difficile est peut-ĂȘtre de choisir ceux qui vous conviennent le mieux, entre signer des pĂ©titions, laisser des commentaires favorables aux animaux sur Internet, aux mĂ©dias
 , solliciter ses Ă©lus, diffuser de l’information, rejoindre une association, tenir un stand, participer ou organiser des dĂ©bats, des soirĂ©es thĂ©matiques, des repas vĂ©gĂ©taux conviviaux, S’engager pour les animaux aiguise l’esprit critiqueVotre esprit critique s’aiguisera au fil des lectures, des Ă©changes et des rencontres. Que ce soit via les rĂ©seaux sociaux, sur un stand ou lors d’une soirĂ©e, parler des animaux vous confrontera Ă  d’autres points de vue, votre argumentation s’affinera et vos convictions s’affirmeront - et il y a fort Ă  parier que vous serez rapidement sidĂ©rĂ© de l’absence d’arguments valides existant en faveur de l’exploitation des Votre vie sociale s’enrichiraDe plus en plus d’évĂ©nements pour les animaux ont lieu en France stands associatifs, confĂ©rences, dĂ©bats, repas et pique-niques, manifestations, marches
 Vous y rencontrerez trĂšs probablement des gens sympathiques, actifs et motivĂ©s, avec lesquels vous pourrez partager vos convictions et vos expĂ©riences sur la question animale et plus si affinitĂ©s.8. Vous sauverez des vies humaines
Les animaux sont de piĂštres convertisseurs d’énergie en alimentation humaine il faut 7 Ă  10 kg de vĂ©gĂ©taux pour faire 1 kg de viande bƓuf, 4 Ă  5,5 kg pour 1 kg de viande de porc, etc. Les animaux d’élevage consomment 35,5% du volume des cĂ©rĂ©ales produites dans le monde, et ce mĂȘme par des pays confrontĂ©s au problĂšme de la faim. La production mondiale de soja, en expansion trĂšs rapide, est principalement destinĂ©e Ă  l’alimentation animale. Les cĂ©rĂ©ales et le soja, denrĂ©es hautement nutritives, sont directement consommables par les humains, et les affecter Ă  l’alimentation animale constitue un dĂ©tour de production particuliĂšrement inefficace et scandaleux. Plus de 800 millions d’ĂȘtres humains souffrent de la faim il est urgent et nĂ©cessaire que cesse cet accaparement des ressources nutritives par les plus riches via leur consommation de produits animaux. Devenir vĂ©gĂ©tarien sauve des vies humaines. Contrairement Ă  ce que certains croient encore, il n’est ainsi pas nĂ©cessaire de choisir entre agir pour les animaux et agir pour les humains, l’un Ă©tant aussi bĂ©nĂ©fique Ă  l’ 
 et vous agirez pour l’environnementPeut-ĂȘtre en avez-vous entendu parler l’élevage produit 14% des gaz Ă  effet de serre dans le monde, ce qui en fait l’une des premiĂšres causes des Ă©missions responsables du changement climatique. Mais savez-vous aussi que l’élevage est un Ă©norme consommateur d’eau, l'une des principales causes des pluies acides, la plus grande source sectorielle de polluants de l’eau, une cause majeure de la dĂ©forestation des forĂȘts tropicales ? Que la pĂȘche a pour consĂ©quence la dĂ©sertification des ocĂ©ans ?10. Participez Ă  un monde meilleurNombreuses encore sont les croyances et les idĂ©es reçues qui nourrissent notre indiffĂ©rence au sort des animaux. Ajoutez Ă  cela le poids du conformisme, les millions investis pour nous persuader que les animaux vont Ă  l’abattoir dans la joie, et le manque criant d’information sur ce qu’ils endurent rĂ©ellement, et vous ne serez pas Ă©tonnĂ©s qu’en dĂ©pit d’arguments de poids – dont quelques-uns viennent d’ĂȘtre Ă©voquĂ©s – agir pour les animaux ne soit pas encore une prĂ©occupation majeure de nos concitoyens. Mais de plus en plus de personnes s’investissent pour les animaux, et le changement s’amorce rĂ©solument vers un monde meilleur. Ne soyez pas en reste, et soyons nombreux et actifs Ă  Ɠuvrer pour un monde de paix, de compassion et de justice pour tous, animaux et humains. >> Pour une lecture optimisĂ©e, retrouvez cet article dans votre magazine iPad de novembre 2014
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Aucours des dĂ©cennies, le DalaĂŻ-lama s’est prononcĂ© de multiples fois sur la compassion envers les animaux, contre la chasse et pour le vĂ©gĂ©tarisme. En 1967, Ă  un congrĂšs mondial vĂ©gĂ©tarien, il dĂ©clarait : « Je ne vois pas du tout de raison pour laquelle les animaux devraient ĂȘtre massacrĂ©s pour servir un rĂ©gime humain quand il y a tant de substituts. A l’heure oĂč la PMA pour toutes est en discussion, ĂȘtre homosexuels et parents n’est plus si rare que cela. Mais mĂȘme si de plus en plus de familles homoparentales se forment, cela n’empĂȘche pas certaines personnes, de critiquer vivement. Voici de quoi leur rabattre le caquet et faire tomber leurs hommes ou deux femmes, mais des parents avant toutL’hĂ©tĂ©rosexualitĂ© serait un gage d’équilibre pour les enfants ? Pas si sĂ»r ! Un enfant a avant tout besoin de parents bien dans leurs bottes, qui s’aiment, et qui le n’est pas une question de genreAffirmer qu’un enfant a besoin de l’amour spĂ©cifique d’un papa et d’une maman, c’est un peu illogique non ? Homme ou femme, vous ĂȘtes en mesure de donner de l’amour tout n'a pas d'impact sur le comportement des enfantsL’éducation ne dĂ©pend pas de votre orientation sexuelle, mais de choix que vous faites en tant que parents. Et vos choix d'Ă©ducation n'ont rien Ă  voir avec votre orientation parents, c’est avant tout une histoire de rĂŽle que de sexeLe papa et la maman sont de plus en plus interchangeables aujourd’hui la figure de pĂšre comme chef de famille a volĂ© en Ă©clat. Ce qui compte c’est que chacun ait son rĂŽle, un point c’est enfant a vraiment Ă©tĂ© dĂ©sirĂ©Quand on est homosexuel, avoir un enfant est souvent plus difficile que lorsque l’on est hĂ©tĂ©rosexuel si on ne souffre pas d'infertilitĂ©. Quel que soit le chemin entrepris pour avoir un enfant, que ce soit l’adoption ou autre, l’issue n’est jamais certaine. Et quand il aboutit Ă  la rĂ©alisation de votre rĂȘve, vous mesurez Ă  quel point vous avez de la chance d’avoir un enfant et ça, ça pĂšse dans la balance de l’ ne prouve que l’enfant sera perturbĂ©Aucune Ă©tude n’a effectivement dĂ©montrĂ© qu’un enfant Ă©levĂ© par deux personnes du mĂȘme sexe a plus de problĂšmes ou est plus perturbĂ© qu’un enfant Ă©levĂ© par des hĂ©tĂ©rosexuels. Au contraire pour le moment, les scientifiques ne montrent aucune diffĂ©rence avec d’autres ne dĂ©termine pas l’orientation sexuelle de l'enfantC’est comme dire que les couples hĂ©tĂ©rosexuels influenceraient l’orientation sexuelle de leurs enfants. Selon des Ă©tudes scientifiques, la proportion de personnes homosexuelles est identique dans la population gĂ©nĂ©rale que chez les enfants issus de familles enfants s’adaptent Ă  tout !Comment un enfant pourrait-il souffrir de ne pas avoir une maman et un papa alors qu’il n’a jamais connu autre chose que deux parents du mĂȘme sexe ?Les parents ne sont pas les seuls modĂšles des enfantsEt heureusement les parents solos, veufs, auraient, sinon, du souci Ă  se faire. Si deux hommes ou deux femmes Ă©lĂšvent un enfant, celui-ci pourra trouver d’autres figures masculines ou fĂ©minines dans son entourage. Ne dit-on pas qu’il faut tout un village pour Ă©lever un enfant ?L'homoparentalitĂ© est un modĂšle familial de plusEh oui, chaque famille ou presque a son modĂšle. Maman ou papa solo, maman vivant en colocation, grands-parents qui prennent le relai aprĂšs l’école, parents vivant chez les grands-parents, la sociĂ©tĂ© est en constante Ă©volution. Ne faites pas cas de ce que pensent les autres le bonheur de vivre de votre enfant en dira long sur l’amour qu’il reçoit de ses deux parents chaque jour. ElleĂ©crit alors contre le mariage, pour l’amour libre et le droit des femmes et entre en contact avec les milieux abolitionnistes et fouriĂ©ristes assez influents aux États-Unis au milieu du siĂšcle. Ce qu’il se passe aux États-Unis est Ă©troitement liĂ© aux pratiques britanniques qui avaient traversĂ© l’Atlantique . Les origines du vĂ©gĂ©tarisme occidental moderne ont souvent Ă©tĂ© Il y a des aficionados du vĂ©gĂ©tarisme. Si, si, j’en connais ! Pour eux, ĂȘtre vĂ©gĂ©tarien, c’est une religion. Pire, une croisade !Un conseil si vous organisez un dĂźner chez vous, ne les invitez surtout pas ! Ils sont les rois pour vous plomber l’ambiance ! Heureusement, ils ne sont pas tous comme ça
 Les religieux » du vĂ©gĂ©tarisme vous expliquent qu’ils sont vĂ©gĂ©tariens pour toutes les bonnes raisons, qu’ils se prĂ©munissent contre la maladie de la vache folle, que l’essentiel des gaz Ă  effet de serre provient de l’élevage intensif et que, de toutes façons, il ne faut pas tuer nos amis les bĂȘtes. Ils monopolisent la conversation sur leurs histoires de cĂ©rĂ©ales, de tofu et de lĂ©gumineuses dans le but avouĂ© de faire flipper tous vos invitĂ©s ! Ils prennent tout le monde Ă  partie sur l’éternel dĂ©bat de l’ail et de l’oignon qui sont des excitants des surrĂ©nales donc de la testostĂ©rone et des ƓstrogĂšnes. MĂȘme l’albumine des Ɠufs contiendrait une substance mal assimilable par l’organisme humain, sans parler, bien sĂ»r, de la salmonellose ! LĂ -dessus, un de vos convives rĂ©plique qu’on tue aussi les plantes quand on les cueille
 Patatra ! Les esprits s’échauffent, chacun en rajoute une couche dans le pour et le contre. Et vous qui vous faisiez une joie de cette petite soirĂ©e entre amis, vous qui pensiez avoir habilement Ă©vitĂ© le piĂšge des sujets qui fĂąchent, vous ne savez plus comment les expĂ©dier, tout balancer en vrac dans le lave-vaisselle et vous coucher avec deux somnifĂšres pour oublier ce fiasco ! VĂ©gĂ©tarien et normal, c’est possible ? Heureusement, ils ne sont pas tous comme y en a qui sont vĂ©gĂ©tariens ET normaux. Et pas plus casse-pieds que d’ vĂ©gĂ©tariens que la nourriture n’intĂ©resse pas plus que ça. Qui n’en font pas le centre de leur si, j’en connais aussi. C’est mon dans une famille de “bons vivants”, amateurs de bons vins et de 3 Ă©toiles en rouge dans le Michelin, aprĂšs six ans aux États-Unis, je n’en pouvais plus des “baconcheeseburger-rare-hold the bun” et suis devenu vĂ©gĂ©tarien sans vraiment y rĂ©flĂ©chir, par simple goĂ»t. Avant, il fallait me battre pour me faire manger les lĂ©gumes qui accompagnaient le steak sauf les frites, bien sĂ»r !. Maintenant, ce serait plutĂŽt l’inverse ! LĂ -dessus, j’ai commencĂ© Ă  mĂ©diter, Ă  mĂ©diter raja yoga ». Et lĂ , comme le hasard fait bien les choses, j’ai appris que pour favoriser une saine mĂ©ditation, il Ă©tait prĂ©fĂ©rable d’éviter toutes les substances qui pouvaient perturber la mĂ©ditation. A savoir, en gros l’alcool et le tabac, ça, je m’en doutais un peu, mais aussi la viande, le poisson, l’ail, l’oignon et les ça ! Premier rĂ©flexe Qu’est-ce qui reste ?! ». Dommage pour le poisson, je m’étais un peu rabattu dessus. Une sole meuniĂšre, une truite aux amandes ou tout simplement une sardine Ă  l’huile ! Mais bon, il est vrai que lorsqu’on voit les conditions dans lesquelles ils sont pĂȘchĂ©s, tuĂ©s et conditionnĂ©s, ça fait froid dans le dos. Ils ont le temps d’envoyer des tonnes de signaux de stress et de mort dans leur justement que nous mangeons ! Rester conscient que c’est l’ñme qui nourrit le corps La grande idĂ©e reçue, le grand clichĂ©, a Ă©tĂ© de nous faire croire que notre mĂ©tabolisme est comme celui des cochons, alors qu’en fait notre systĂšme digestif s’apparente plus Ă  celui des fructivores. Or, tout ce que nous absorbons et la façon dont nous le mangeons, influe sur notre physique et notre mental. D’oĂč l’intĂ©rĂȘt de cuisiner et de se nourrir de façon sereine et Ă©quilibrĂ©e, en restant conscient que c’est l’ñme qui nourrit le corps et en donnant, de ce fait, Ă  la nourriture un pouvoir spirituel important. Mes recettes de vĂ©gĂ©tarien pour une alimentation Ă©quilibrĂ©e – Respecter les besoins journaliers en protides, lipides et glucides en consommant au cours d’un mĂȘme repas des protĂ©ines complĂ©mentaires, Ă  raison de 3/4 de cĂ©rĂ©ales blĂ©, maĂŻs, riz, avoine, millet, etc. et 1/4 de lĂ©gumineuses haricots secs, pois chiches, pois cassĂ©s, lentilles, soja, etc.. – Manger rĂ©guliĂšrement des cruditĂ©s afin d’assimiler les sels minĂ©raux et oligo-Ă©lĂ©ments qui sont de prĂ©cieux facteurs de protection contre les infections microbiennes. – S’assurer de la teneur en fer et en vitamine B12 de notre alimentation, en consommant de la vitamine C au cours du repas jus de citron et persil, par exemple, de la farine complĂšte, du soja ou du tamari, des graines germĂ©es, de la levure de biĂšre et de la spiruline. – Tous les aliments ne se digĂšrent pas de la mĂȘme maniĂšre. Ainsi, Les fruits par exemple ne se mangent jamais Ă  la fin d’un repas, toujours en dehors, car sinon le fruit doit attendre que les autres aliments soient eux-mĂȘmes assimilĂ©s et il a largement le temps de pourrir dans votre organisme ! – Donc, un repas vĂ©gĂ©tarien Ă©quilibrĂ© comprendra cruditĂ©s, cĂ©rĂ©ales complĂštes de prĂ©fĂ©rence, lĂ©gumineuses en plus petite quantitĂ©, lĂ©gumes et Ă©ventuellement produits laitiers lĂ  aussi, il y a discorde
. Le tout cuisinĂ© dans un bon niveau de conscience. Du coup, ça va faire plus de 30 ans que je me nourris comme ça, je commence ma journĂ©e par une mĂ©ditation tĂŽt le matin, je fais 20 km de vĂ©lo par jour et je me porte trĂšs bien. Je fais des analyses de sang tous les ans, et, Ô divine surprise aucune carence et pas de cholestĂ©rol. Cool ! D’ailleurs, maintenant, j’ai un jardin. Mon jardin est mon assiette !Ça me simplifie Ă©normĂ©ment la vie, ça me coĂ»te moins cher et ça me permet d’éviter bon nombre d’intoxications alimentaires. Et en plus, j’aime ça et mes mĂ©ditations sont demander de plus ?
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Lepremier argument pour le vĂ©gĂ©tarisme est la possibilitĂ© de personne. C'est vrai. Beaucoup de vĂ©gĂ©tariens sont convaincus que si les «mangeurs de viande» avaient dĂ©jĂ  Ă©tĂ© Ă  l'abattoir, ils ne 1L’industrie de la viande et du lait fait terriblement souffrir les animaux. Les personnes qui mangent de la viande, du fromage, du beurre et des yaourts le savent plus ou moins bien. Cela ne les empĂȘche pas de continuer Ă  manger ces produits. Pour ne pas ĂȘtre perturbĂ©s par les souffrances dont ils sont responsables par leur habitude alimentaire, ils ont trouvĂ© une stratĂ©gie bien commode le dĂ©ni. 2ExpĂ©riences Ă  l’appui, on a en effet pu montrer que, au moment de passer Ă  table, les mangeurs rĂ©guliers de ces produits – dĂ©signĂ©s ici par carnistes [1] » – oublient ou minimisent la capacitĂ© des bĂȘtes Ă  souffrir. Il y a bien dĂ©ni puisque, quand ils ne sont pas en train de s’apprĂȘter Ă  manger ces produits, ils reconnaissent, pour la plupart, que les animaux qu’ils mangent ont un systĂšme nerveux ainsi que des capacitĂ©s cognitives et Ă©motionnelles qui les rendent capables de souffrir, plus ou moins comme nous autres, ĂȘtres humains [2]. Cet auto-aveuglement permet de ne pas gĂącher le goĂ»t de ces produits par un sentiment de culpabilitĂ©. 3Cela dit, les carnistes avancent quand mĂȘme un certain nombre d’arguments qui justifient, Ă  leurs yeux, leur pratique alimentaire. Dans cet article, nous allons passer en revue quelques arguments qui circulent ainsi en faveur d’une alimentation Ă  base de viande et de produits laitiers. À chaque fois, nous leur opposerons des arguments tirĂ©s de la littĂ©rature » provenant des vĂ©gĂ©taliens Ă©thiques, c’est-Ă -dire des personnes qui refusent de manger des produits d’origine animale pour des raisons Ă©thiques [3].Les Ă©leveurs prennent soin de leurs bĂȘtes4Comme on l’a Ă©voquĂ© ci-dessus, le dĂ©ni de la souffrance animale est une des premiĂšres dĂ©fenses des carnistes. Juste au moment de passer Ă  table, il sert Ă  Ă©liminer tout sentiment de culpabilitĂ©. Mais il peut aussi ĂȘtre beaucoup plus stratĂ©gique. Comme il est difficile de nier de façon sensĂ©e que les animaux ont la capacitĂ© de souffrir, certains carnistes vont nier que la filiĂšre viande les fait particuliĂšrement souffrir. Par exemple, l’éleveur traditionnel va dire qu’il aime ses bĂȘtes. Comment pourrait-il donc leur faire du mal ? Quant Ă  l’industriel de la filiĂšre viande, il va souligner qu’il fait tout pour que les bĂȘtes dont il s’occupe ne stressent pas et ne souffrent pas aux diffĂ©rents stades de leur prise en charge. Sinon, la viande ne serait pas bonne, avance-t-il [4]. 5Pour le vĂ©gĂ©talien, cette dĂ©fense ne tient pas la route. Il suffit, fait-il remarquer, de lire les enquĂȘtes ou de regarder les reportages, plus ou moins clandestins, sur la filiĂšre viande, pour dĂ©couvrir les conditions abominables dans lesquelles la plupart des bĂȘtes de rente sont Ă©levĂ©es, transportĂ©es et abattues [5]. Il n’y a donc pas photo les animaux de rente souffrent terriblement. Comment les acteurs de la filiĂšre viande osent-ils donc affirmer le contraire ? Ce n’est pas forcĂ©ment un mensonge dĂ©libĂ©rĂ©. Il est Ă©vident qu’ils aimeraient bien que les bĂȘtes qu’ils Ă©lĂšvent, transportent et abattent ne souffrent pas, voire qu’elles soient contentes de leur sort. Que pourraient en effet rĂȘver de mieux les carnistes que de cochons, vaches et poules qui voudraient se faire manger et qui tous les jours vivraient dans la joie Ă  l’idĂ©e de cette future fĂ©licitĂ© ? Mais ce n’est pas la rĂ©alitĂ©, rĂ©pĂšte le vĂ©gĂ©talien. Au quotidien, les bĂȘtes de rente souffrent terriblement. Le nier, c’est lĂ  encore s’auto-aveugler, en prenant ses rĂȘves pour la viande et le lait sont nĂ©cessaires pour la santĂ©6La consommation de produits d’origine animale est nĂ©cessaire pour ĂȘtre en bonne santĂ©. VoilĂ  un autre grand argument des carnistes. Par exemple, le nutritionniste LĂ©on GuĂ©guen s’oppose au rĂ©gime vĂ©gĂ©talien en raison des carences qui seraient censĂ©es en rĂ©sulter avec un rĂ©gime vĂ©gĂ©tarien, Ă©crit-il, une certaine vigilance s’impose pour le fer et la vitamine B12 dont la carence est la cause de divers types trĂšs graves d’anĂ©mie » ; le problĂšme serait encore plus grave pour le rĂ©gime vĂ©gĂ©talien qui ne peut pas assurer un apport suffisant de calcium par les aliments de base courants [6] ». 7Le vĂ©gĂ©talien peut facilement opposer Ă  ce genre d’affirmation la position d’autres experts, comme ceux de l’Association amĂ©ricaine de diĂ©tĂ©tique, qui ont Ă©crit rĂ©cemment qu’un rĂ©gime vĂ©gĂ©talien bien prĂ©parĂ© est tout Ă  fait adaptĂ© aux athlĂštes, adultes, adolescents, enfants, mĂšres en train d’allaiter et femmes enceintes [7]. Mais le vĂ©gĂ©talien peut Ă©galement souligner les incohĂ©rences des experts pro-viande. Par exemple, dans l’article citĂ© ci-dessus, LĂ©on GuĂ©guen avait aussi Ă©crit Aucun aliment n’est indispensable, seuls les nutriments le sont ». Qu’est-ce qui empĂȘcherait donc le vĂ©gĂ©talien d’aller chercher les nutriments dont il a besoin ailleurs que dans les produits d’origine animale ? Certes, le mĂȘme expert dit que les aliments de base courants » autres que ceux provenant des animaux sont, par exemple, dĂ©ficitaires en calcium. Peut-ĂȘtre, mais qui oblige un vĂ©gĂ©talien Ă  se limiter aux aliments de base courants » ? Un vĂ©gĂ©talien sensĂ© ne se contente pas de supprimer le steak de son steak frites. Il va chercher les aliments qui lui apportent ce dont il a besoin. Il se peut que certains nutriments soient plus difficiles Ă  absorber quand ils sont ingĂ©rĂ©s par l’intermĂ©diaire d’autres aliments que la viande ou le lait. Tout vĂ©gĂ©talien sera Ă©ventuellement prĂȘt Ă  le concĂ©der. Mais ce n’est, selon lui, pas un problĂšme. Le but de l’alimentation vĂ©gĂ©talienne n’est pas d’optimiser l’assimilation des nutriments, surtout dans une sociĂ©tĂ© d’abondance. Il est d’adopter un mode alimentaire qui, si c’est possible, ne se fonde pas sur la cruautĂ© envers les animaux. Or les repas vĂ©gĂ©taliens, complets en termes de nutriments et riches en saveurs, sont relativement faciles Ă  prĂ©parer. Pourquoi donc s’en priver ? Sans compter que de plus en plus d’études soulignent les effets nĂ©fastes pour la santĂ© d’une alimentation Ă  base de produits d’origine animale [8]. 8Faisant la sourde oreille, les experts pro-viande rĂ©pĂštent inlassablement qu’un vĂ©gĂ©talien est obligĂ© de se supplĂ©menter en vitamines B12, en fer, en calcium, etc. pour Ă©viter les carences. Ce qui montrerait, Ă  leurs yeux, que ce rĂ©gime n’est pas naturel et donc peu recommandable. LĂ  encore, le vĂ©gĂ©talien peut facilement mettre en avant le cĂŽtĂ© biaisĂ© d’un tel argument. Prenons le cas trĂšs souvent citĂ© de la vitamine B12. L’expert va dire que le principal intĂ©rĂȘt de la viande est de fournir la vitamine B12 absente dans les vĂ©gĂ©taux ». VoilĂ  ce qui ferait de la viande un aliment naturel dont il serait dangereux de se passer. Le problĂšme est que l’expert oublie volontairement ? de dire que les animaux d’élevage sont eux aussi supplĂ©mentĂ©s en vitamines B12. De fait, cette vitamine n’est pas plus produite par les animaux qu’elle ne l’est par les plantes. Elle provient de bactĂ©ries, qui se dĂ©veloppent en milieu naturel, et sont ingĂ©rĂ©es par les animaux qui y vivent. Mais comme elles ne se dĂ©veloppent pas dans les bĂątiments des Ă©levages industriels, les volailles et les cochons qui y sont Ă©levĂ©s sont systĂ©matiquement supplĂ©mentĂ©s en B12. Comme l’écrit un vĂ©gĂ©talien au fait de la question En somme les vĂ©gĂ©tariens prennent de la B12 fabriquĂ©e dans des usines et emballĂ©e dans des comprimĂ©s. Les personnes qui mangent de la viande [
] prennent de la B12 fabriquĂ©e dans des usines et emballĂ©e dans des animaux [9]. » Ajoutons qu’il n’y a pas qu’en B12 que les animaux sont supplĂ©mentĂ©s fer, zinc, iode, vitamine D, calcium00, etc., tout y passe. Bref, pour le vĂ©gĂ©talien, affirmer que l’alimentation vĂ©gĂ©talienne provoque des carences relĂšve soit de l’ignorance soit de la mauvaise humain est omnivore9L’ĂȘtre humain est omnivore, c’est-Ă -dire qu’il mange de tout, en particulier de la viande, rĂ©pĂštent souvent les carnistes. Ils en dĂ©duisent que l’alimentation carnĂ©e ne peut poser de problĂšme moral puisqu’elle serait naturelle » chez les ĂȘtres humains. Que rĂ©pond le vĂ©gĂ©talien Ă  cet argument ? Il peut commencer par rappeler que ce n’est pas parce que l’ĂȘtre humain mange, entre autres choses, de la viande, que l’on peut en dĂ©duire qu’il est naturellement » omnivore. Cette alimentation pourrait en effet ĂȘtre uniquement une habitude culturelle, Ă  laquelle l’organisme humain ne serait pas trĂšs bien adaptĂ©. Par exemple, beaucoup d’ĂȘtres humains fument des cigarettes et boivent de l’alcool. Ce n’est pas pour autant qu’ils sont naturellement » fumeurs ou buveurs d’alcool. Certes, les ĂȘtres humains peuvent se nourrir quasi exclusivement de produits d’origine animale, comme le font les Inuits. Mais, assez flexibles en termes d’alimentation, ils peuvent Ă©galement se passer de ces produits, comme l’existence des vĂ©gĂ©taliens en bonne santĂ© le dĂ©montre de nos jours. Pour s’entendre sur le statut omnivore de l’ĂȘtre humain, il faudrait donc se rĂ©fĂ©rer Ă  sa physiologie et Ă  son anatomie, non Ă  ses pratiques alimentaires. 10L’ĂȘtre humain n’est manifestement pas un herbivore strict, comme les ruminants bovins, ovins, etc. qui ont plusieurs estomacs pour assimiler les nutriments dont ils ont besoin. Il n’est pas non plus un carnivore, c’est-Ă -dire un animal adaptĂ© Ă  la consommation presque exclusive de viande crue, puisqu’il n’en a pas les caractĂ©ristiques longues dents pointues, mĂąchoire qui ne bouge que de haut en bas et trĂšs peu latĂ©ralement, petit intestin pour Ă©liminer prestement une nourriture qui pourrit rapidement, etc.. Mais que dire de plus ? Pas grand-chose, Ă©tant donnĂ© qu’il n’existe pas de critĂšre prĂ©cis pour classer un animal dans la catĂ©gorie des omnivores, si ce n’est son mode alimentaire. Le problĂšme est que, comme on vient de le voir, celui-ci pourrait ĂȘtre avant tout culturel. Reste quand mĂȘme que la physiologie et l’anatomie des ĂȘtres humains sont plus proches de celles des chimpanzĂ©s, qui sont des frugivores mangeant peu de viande crue, que de celles des ours bruns, plus carnassiers, que l’on peut considĂ©rer pour cette raison comme plus reprĂ©sentatifs des omnivores. 11Que vaut donc cet argument inlassablement rĂ©pĂ©tĂ© par les carnistes que l’ĂȘtre humain est fait pour manger de la viande ? Rien, dira le vĂ©gĂ©talien. Soit, se fondant sur la ressemblance avec les grands singes, il rejettera la thĂšse que l’ĂȘtre humain est un omnivore [10]. Soit, Ă©tant plus circonspect, il rĂ©torquera que, mĂȘme si on l’accepte, ce statut d’omnivore n’impose aucune contrainte en raison de sa flexibilitĂ©, l’ĂȘtre humain peut facilement arrĂȘter de manger des produits d’origine animale. Être omnivore est donc une question de choix, avec sa part de responsabilitĂ© morale, et non de culturel12Autre argument L’ĂȘtre humain a toujours mangĂ© de la viande ; cela fait partie de la culture humaine ; il n’y a donc aucune raison d’arrĂȘter. Pour remettre en cause un tel argument, un vĂ©gĂ©talien peut s’appuyer sur une rĂ©flexion bien connue du philosophe David Hume. Depuis son TraitĂ© de la nature humaine 1740, toute personne avisĂ©e sait en effet qu’un jugement de fait l’homme a toujours mangĂ© de la viande n’implique pas un jugement de valeur il est bien de manger de la viande. Ce n’est pas parce qu’on a toujours fait quelque chose que l’on doit continuer Ă  le faire. Prenons l’esclavage. Cette pratique semble remonter Ă  la nuit des temps. Est-ce pour autant qu’il ne fallait pas l’abolir ? Non, bien sĂ»r, rĂ©pondent les vĂ©gĂ©taliens et probablement les carnistes. Pourquoi donc le fait que l’alimentation carnĂ©e soit ancrĂ©e dans la culture lui donnerait-il une quelconque lĂ©gitimitĂ© ?L’hominisation s’est rĂ©alisĂ©e grĂące Ă  la viande13Voici maintenant un argument issu de l’anthropologie beaucoup de carnistes justifient leur alimentation en avançant que l’hominisation se serait rĂ©alisĂ©e grĂące Ă  la consommation de la viande. Cet argument repose sur le scĂ©nario suivant. Notre lointain ancĂȘtre, l’australopithĂšque, semble avoir Ă©tĂ© un omnivore opportuniste, se nourrissant de fruits, de graines, de plantes et occasionnellement de viande provenant soit de petits animaux qu’il aurait attrapĂ©s soit de cadavres qu’il aurait trouvĂ©s. Difficile en effet de l’imaginer grand chasseur. Sa petite mĂąchoire, ses petites incisives et canines, ses molaires plates et son absence de griffe ne l’y prĂ©disposaient pas. Mais, ainsi va le scĂ©nario, sa consommation de viande aurait beaucoup augmentĂ© avec Homo habilis vers 2,5 millions d’annĂ©es, puis Homo erectus vers 1,8 million d’annĂ©es. Notre ancĂȘtre, de petit charognard serait devenu chasseur. Commençant Ă  tuer du plus gros gibier, il aurait consommĂ© davantage de viande, ce qui aurait eu pour consĂ©quence de favoriser le dĂ©veloppement de son cerveau. Cette plus grande intelligence lui aurait permis d’amĂ©liorer ses techniques de chasse, notamment en dĂ©veloppant la coopĂ©ration avec ses pairs, et du coup sa vie sociale serait devenue plus complexe. Ce progrĂšs des techniques de chasse lui aurait permis d’augmenter encore plus sa consommation de viande, et ainsi de suite. 14Ce scĂ©nario est-il crĂ©dible ? Il n’est pas absurde, mais il fait l’objet de dĂ©bats [11]. Par exemple, l’anthropologue Richard Wrangham dĂ©fend la thĂšse que c’est moins la consommation de viande qui a engendrĂ© l’essor intellectuel des premiers humains que la maĂźtrise du feu [12]. Son argumentation part d’une donnĂ©e toute simple la cuisson ramollit les aliments et augmente leur valeur nutritive. De multiples consĂ©quences en dĂ©coulent. Une nourriture cuite, comparĂ©e Ă  une alimentation crue, ne demande pas une forte mĂąchoire et de grandes dents. Elle apporte davantage d’énergie Ă  l’organisme. Ce surplus peut ĂȘtre utilisĂ© par ce grand consommateur d’énergie qu’est le cerveau pour se dĂ©velopper. Elle demande Ă©galement une moindre durĂ©e de mastication et libĂšre du temps pour d’autres activitĂ©s. Il aurait donc suffi, pour que le processus d’hominisation se mette en marche, que nos ancĂȘtres dĂ©couvrent de la nourriture accidentellement tombĂ©e dans un feu et que, sensibles Ă  cette aubaine, ils aient cherchĂ© Ă  s’alimenter de la sorte pour que le processus d’hominisation se mette en route. 15Autre scĂ©nario alternatif. Les anthropologues Donna Hart et Robert Sussman avancent que les premiers humains, avant d’ĂȘtre des chasseurs, Ă©taient des proies [13]. Ce serait Ă  partir de cette vulnĂ©rabilitĂ© que leur intelligence se serait dĂ©veloppĂ©e. Comme on l’a dĂ©jĂ  dit, les premiers humains Ă©taient mal Ă©quipĂ©s pour ĂȘtre des prĂ©dateurs. Ils devaient donc ĂȘtre constamment sur leurs gardes pour Ă©chapper aux attaques des hyĂšnes, des tigres aux dents de sabre, des reptiles en tout genre, etc. Bien plus faibles physiquement que ces bĂȘtes fĂ©roces, seuls ceux qui surent s’organiser, monter la garde la nuit, apprendre Ă  communiquer, etc., c’est-Ă -dire seuls ceux qui surent dĂ©velopper leur intelligence, rĂ©ussirent Ă  prolifĂ©rer. Ce ne serait que bien plus tard, aprĂšs Homo erectus, quand la taille du cerveau correspondait dĂ©jĂ  Ă  celle des hommes modernes, il y a environ 80000 ans, qu’ils seraient devenus de grands chasseurs. Transformation qui serait donc bien postĂ©rieure au processus d’hominisation. 16Entre ces scĂ©narios, lequel choisir ? Beaucoup de carnistes, comme par hasard, vont prĂ©fĂ©rer le premier et avoir tendance Ă  passer sous silence les autres. Par exemple, pour la prĂ©historienne MarylĂšne Patou-Mathis, il n’y a pas de doute Ă  avoir selon elle Sans viande, pas d’humanitĂ© [14] ». Or, non seulement cette chercheuse dĂ©fend sans nuance ce qu’elle estime ĂȘtre un fait historique la consommation de viande est le moteur de l’hominisation, mais elle en tire la conclusion qu’il faut continuer Ă  manger de la viande. Regrettant le dĂ©veloppement du vĂ©gĂ©tarisme dans notre sociĂ©tĂ©, elle affirme en effet qu’il faut renouer avec notre dimension naturelle, ancestrale, en mangeant de la viande ». TrĂšs en verve sur ce sujet, elle accuse mĂȘme les vĂ©gĂ©tariens de nous rendre complĂštement schizophrĂšnes et [de] nous conduire Ă  poser des gestes pathologiques » en voulant faire de la nature un monde culturel ». La rĂ©ponse des vĂ©gĂ©taliens ne s’est pas fait attendre contre ce pathĂ©tique sophisme naturaliste consistant Ă  partir de ce qui est ou de ce qui a Ă©tĂ© pour dĂ©terminer ce qui devrait ĂȘtre [15] ». Notons que ce sophisme naturaliste, comme souvent, est trĂšs sĂ©lectif. De fait, dans le scĂ©nario dĂ©fendu par Patou-Mathis, la viande n’est pas le seul moteur de l’évolution. Il y a aussi la chasse. Or, jamais la prĂ©historienne ne dit qu’il faudrait que les ĂȘtres humains continuent Ă  chasser. Ce qui suggĂšre que, ce qu’elle dĂ©fend, ce n’est pas une prĂ©tendue nature humaine, mais son bifteck. 17De toute façon, le vĂ©gĂ©talien n’a que faire du scĂ©nario de l’hominisation. MĂȘme si ce processus Ă©tait le rĂ©sultat de la consommation de viande, rien n’obligerait Ă  continuer dans cette voie. Contrairement Ă  ce qu’affirment quelques dĂ©fenseurs de la viande mal inspirĂ©s, ce n’est pas parce que cette denrĂ©e aurait permis au cerveau de se dĂ©velopper que l’arrĂȘt de sa consommation entraĂźnerait sa rĂ©gression [16]. Tant que l’ĂȘtre humain peut consommer les nutriments dont il a besoin, que ce soit ou non Ă  travers une alimentation Ă  base de produits d’origine animale, il n’y a aucune raison que la taille de son cerveau diminue pour des raisons nutritives. Pour le vĂ©gĂ©talien, cet argument de l’hominisation n’a donc aucune valeur. Il est juste symptomatique, une fois de plus, du manque de rĂ©flexion et de la mauvaise foi des cri de la carotte18C’est maintenant aux plantes d’entrer en scĂšne. Les carnistes sous-entendent souvent que les vĂ©gĂ©taliens seraient incohĂ©rents puisqu’ils feraient souffrir les plantes en les arrachant ou en les coupant pour les consommer. Il faut reconnaĂźtre que les plantes sont des organismes bien plus complexes qu’on ne le pensait il y a quelques dizaines d’annĂ©es encore. D’une certaine maniĂšre, elles peuvent voir, sentir, se dĂ©fendre contre des parasites ou envoyer des signaux aux plantes voisines [17]. Mais ces caractĂ©ristiques n’impliquent pas la prĂ©sence d’une conscience. Il y a en effet de nombreux processus vitaux qui se font sans conscience, mĂȘme chez les animaux pensez Ă  la digestion, par exemple, ou Ă  la vie d’un animal plongĂ© dans le coma. Qui plus est, pour qu’il y ait souffrance, il faut qu’il y ait non seulement une conscience, mais Ă©galement un individu Ă  mĂȘme d’éprouver cette souffrance. Or, les plantes n’ont pas de systĂšme nerveux central et chaque partie est relativement autonome vis-Ă -vis des autres. Cette caractĂ©ristique, qui rend possible les boutures, souligne le caractĂšre problĂ©matique de toute notion d’individualitĂ©. Quand une feuille est arrachĂ©e d’un arbre, quelle partie souffrirait ? La feuille ? La branche ? Le tronc ? Les racines ? Bref, il est difficile de voir dans une plante un individu qui serait le sujet d’une souffrance [18]. 19Cela dit, mĂȘme si les plantes souffraient, le reproche des carnistes n’est pas trĂšs clair. ConsidĂšrent-ils qu’il faudrait prendre en compte la souffrance des plantes ? Ce n’est jamais ce qu’ils proposent. Pourquoi donc portent-ils cette accusation ? Raisonnent-ils en termes de tout ou rien ? Sont-ils en train de dire que, puisque tout ce qui vit est capable de souffrir, il n’y a pas Ă  considĂ©rer la souffrance des ĂȘtres vivants ? Ce serait absurde. Vont-ils laisser un enfant souffrir parce que les plantes souffrent ? Non, bien sĂ»r, du moins on l’espĂšre. De toute façon, si les carnistes se souciaient sincĂšrement des plantes, ils comprendraient rapidement que leur argument se retourne contre eux. De quoi se nourrissent en effet les animaux de rente ? De plantes, bien sĂ»r. Les carnistes seraient donc responsables, non seulement de la souffrance des bĂȘtes qu’ils mangent, mais Ă©galement de la souffrance des plantes qui ont servi Ă  alimenter ces bĂȘtes. Bref, les carnistes feraient bien plus souffrir d’ĂȘtres sensibles que les vĂ©gĂ©taliens qui se contentent de manger les plantes directement. En somme, mĂȘme dans le cas oĂč les plantes seraient capables de souffrir, ce serait les vĂ©gĂ©taliens qui minimiseraient la souffrance des ĂȘtres sensibles. L’absurditĂ© de cet argument du cri de la carotte », amĂšne donc les vĂ©gĂ©taliens Ă  considĂ©rer que les carnistes qui l’utilisent sont de la plus parfaite mauvaise foi, et ne font semblant de s’intĂ©resser au sort des plantes que pour mieux continuer Ă  mĂ©priser celui des animaux [19] ».C’est trop bon20Enfin, dernier argument choc. Quand le carniste, Ă  court d’argument, est confrontĂ© Ă  l’idĂ©e qu’il devrait arrĂȘter de consommer de la viande pour des raisons Ă©thiques, il met en avant la difficultĂ© que reprĂ©senterait un tel changement de comportement puisque, selon lui, la viande, c’est trop bon ! ». L’argument revient Ă  dire que le plaisir apportĂ© par l’alimentation carnĂ©e justifie la maltraitance et la mise Ă  mort d’animaux. ExprimĂ© sous cette forme, l’argument fait un peu cri du cƓur, ou plutĂŽt du ventre, d’un carniste qui n’a pas rĂ©flĂ©chi au problĂšme Ă©thique que pose la consommation de viande. 21Sous un vernis plus sophistiquĂ©, on retrouve cet argument chez le philosophe Dominique Lestel. Dans son livre, Apologie du carnivore Fayard, 2011, il affirme en effet que la souffrance des animaux sert Ă  apporter du plaisir au carnivore. À partir de cette remarque, Lestel se permet de reprocher aux vĂ©gĂ©taliens de prĂ©tendre lutter contre la souffrance infligĂ©e sans nĂ©cessitĂ© Ă  des ĂȘtres sensibles et pourtant de vouloir faire souffrir les carnistes en les privant de viande. Pour un vĂ©gĂ©talien, cet argument est absurde. Pour le montrer, il recourt par exemple Ă  l’analogie du viol. Ne faudrait-il pas autoriser le viol, sinon les violeurs potentiels risquent de souffrir en Ă©tant privĂ©s de plaisirs sexuels [20] ? Nul besoin d’épiloguer la lĂ©gitimitĂ© d’un comportement ne peut provenir uniquement du plaisir qu’il apporte, aussi intense soit-il. Bref, avant de passer Ă  table, le vĂ©gĂ©talien invite tout le monde Ă  rĂ©flĂ©chir Ă  la dimension Ă©thique de ses habitudes culinaires. Notes [1] Expression inventĂ©e par MĂ©lanie Joy From Carnivore to Carnist », Satya Magazine, 2001, pour souligner la dimension idĂ©ologique de cette pratique. [2] Ce processus de dĂ©ni suscitĂ© par le conflit entre les convictions morales il ne faut pas faire souffrir des ĂȘtres sensibles sans nĂ©cessitĂ© et le dĂ©sir de manger de la viande est mis en Ă©vidence par Brock Bastian et al., Don’t mind meat ? The denial of mind to animals used for human consumption », Personality and Social Psychology Bulletin, 38, 2012. [3] Je ne suis bien sĂ»r pas le premier Ă  pratiquer cet exercice. Pour ne pas citer une longue liste de textes qui dĂ©construisent les arguments anti-vĂ©gĂ©taliens, mentionnons simplement l’article de Estiva Reus, J’aime trop la viande » accessible sur [4] Pour rĂ©aliser comment ce genre d’argument sert Ă  dĂ©douaner la filiĂšre viande de tout problĂšme Ă©thique, il suffit de lire RenĂ© Laporte et Pascal Mainsant, La Viande voit rouge, Fayard, 2012. [5] Par exemple, Jean-Luc Daub, Ces bĂȘtes qu’on abat, L’Harmattan, 2009. [6] LĂ©on GuĂ©guen, Omnivore, vĂ©gĂ©tarien, vĂ©gĂ©talien ? », Science & pseudo-sciences, 283, octobre 2008. [7] Étude de l’ Association amĂ©ricaine de diĂ©tĂ©tique », Vegetarian diets », Journal of the American Dietetic Association, 2009, 109 7. [8] Par exemple, Colin Campbell et Thomas Campbell, Le Rapport Campbell, Ariane Éditions, 2008. [9] David Olivier, Les animaux emballages », Cahiers antispĂ©cistes, 34, janvier 2012. [10] Pour une critique du statut d’omnivore de l’ĂȘtre humain, voir Gary Yourofsky, Humans are herbivores », sur [11] Voir, par exemple, Michael Eisenstein, The first supper », Nature, 468, dĂ©cembre 2010. [12] Richard Wrangham, Catching Fire. How Cooking Made Us Human, Profile Books, 2009. [13] Donna Hart et Robert Sussman, Man the Hunted. Primates, Predators, and Human Evolution, Westview Press Inc., 2008. [14] MarylĂšne Patou-Mathis, L’entrevue Sans viande, pas d’humanitĂ© », Le Devoir. Libre de penser, 13 juillet 2009. [15] Voir, par exemple, ValĂ©ry Giroux, Sans viande, toute notre sensibilitĂ© », Le Devoir. Libre de penser, 15 juillet 2009. [16] Sans avancer le moindre argument, c’est pourtant ce qu’affirment RenĂ© Laporte et Pascal Mainsant dans leur livre, La Viande voit rouge, op. cit. [17] Daniel Chamovitz, What a Plant Knows, Farrar, Straus and Giroux, 2012. [18] Yves Bonnardel, Quelques rĂ©flexions au sujet de la sensibilitĂ© que certains attribuent aux plantes », Les Cahiers antispĂ©cistes, 5, 1992. [19] Yves Bonnardel, ibid. [20] Pierre Sigler, Apologie de la mauvaise foi », Les Cahiers antispĂ©cistes, 34, janvier 2012. Lessources de protĂ©ines sont les Ɠufs et les produits laitiers. Vous pouvez aussi choisir des protĂ©ines vĂ©gĂ©tales, et donner Ă  votre enfant des petits pois, des haricots, des lentilles, des lĂ©gumes, des graines, des noix, des cĂ©rĂ©ales complĂštes. Vitamine B-12 : la santĂ© des nerfs et des cellules sanguines dĂ©pend de cette vitamine. A beaucoup de gens sont vĂ©gĂ©tariens aujourd'hui, avec beaucoup des raisons. Ethique est une raison grande. Nous devons respecter les animaux. ils sont une piĂšce de vie. Un autre raison est religion. Hindous et Bouddhistes ne mangent pas les animaux, alors ils n'ont pas un choix. Et, c'est bon pour ton santĂ© parceque il y n'a pas gras saturĂ©s. Tu peut endommage les organs si tu mange de trop de raisons de manger de la viande sont, les gens aiment les viande et ainsi ils mangent de la viande. Aussi, tu ne reçois pas les vitamines et minerales, par exemple, protĂ©ine ou fer. Un autre raison est, il y a trop d'animaux et quelquefois ils sont multipliĂ©s pour manger, mais les conditiones est quelquefois trĂšs mal et mon avis, je peux manger la viande si je ne vois pas le massacre. LesvĂ©gĂ©tariens ont-ils profitĂ© de Copenhague pour ourdir une campagne contre l’élevage et la viande ? AndrĂ© Mery : Il n’y a aucun complot. Nous sommes lĂ  pour informer. Et nous sommes heureux de voir naĂźtre une prise de conscience dans la population qui, petit Ă  petit, s’instruit et dĂ©couvre les consĂ©quences de l’élevage et de l’alimentation carnĂ©e sur Par Collectif - Journalistes scientifiques et diĂ©tĂ©ticiennes PubliĂ© le 26/11/2012 Mis Ă  jour le 10/03/2017 Les rĂ©gimes vĂ©gĂ©tariens ou vĂ©gĂ©taliens diminueraient le risque de cancer. Le cancer et les maladies cardiovasculaires reprĂ©sentent les deux premiĂšres causes de mortalitĂ© dans les pays riches. L'impact d'un aliment en particulier sur le risque de cancer est souvent difficile Ă  dĂ©terminer car on consomme plus souvent un ensemble de composĂ©s au sein d'un rĂ©gime alimentaire. Une nouvelle Ă©tude a donc voulu dĂ©terminer l'impact d'un rĂ©gime semi-vĂ©gĂ©tarien, pesco-vĂ©gĂ©tarien, ovo-lacto-vĂ©gĂ©tarien ou vĂ©gĂ©talien sur le risque de cancer comparativement Ă  un rĂ©gime types de vĂ©gĂ©tarismeIl existe diffĂ©rents types de vĂ©gĂ©tarisme. On distingue principalement Le lacto-vĂ©gĂ©tarisme aucune consommation de chair animale mais les produits laitiers sont autorisĂ©sL'ovo-lacto-vĂ©gĂ©tarisme aucune consommation de chair animale mais les produits laitiers et les oeufs sont autorisĂ©sLe pesco-vĂ©gĂ©tarisme aucune consommation de chair animale mais la consommation de poissons est occasionnelleLe semi-vĂ©gĂ©tarisme aucune consommation de chair animale sauf de maniĂšre occasionnelleLe vĂ©gĂ©talisme aucune consommation de chair animale ou de produits dĂ©rivĂ©s ni oeufs ni produits laitiersLes rĂ©sultats des chercheurs s'appuient sur l'analyse des habitudes alimentaires de plus de 69 000 adventistes AmĂ©ricains, un mouvement ChrĂ©tien, suivis depuis 2002. Jusqu'en 2011, 2 939 cas de cancers avaient Ă©tĂ© aux personnes qui suivent un rĂ©gime omnivore celles qui ont adoptĂ© un rĂ©gime vĂ©gĂ©tarien ont 16% moins de risque de dĂ©velopper un cancer, tous types de vĂ©gĂ©tarisme confondus. La protection semble accrue pour les femmes avec une diminution du risque pouvant atteindre 34%. Plus spĂ©cifiquement, un rĂ©gime ovo-lacto-vĂ©gĂ©tarien semble particuliĂšrement protecteur face aux cancers gastro-intestinaux 25% moins de risque. Ces rĂ©sultats confirment donc de prĂ©cĂ©dentes lire Ă©galement sur ce thĂšme La viande rouge mauvaise pour la santĂ© et la planĂšteRĂ©fĂ©renceTantamango-Bartley Y, Jaceldo-Siegl K, Fan J, Fraser G. VEGETARIAN DIETS AND THE INCIDENCE OF CANCER IN A LOW-RISK POPULATION. Cancer Epidemiol Biomarkers Prev. 2012 Nov 20. PublicitĂ© Nous vous conseillons aussi La sĂ©lection PublicitĂ© Les meilleurs livres et complĂ©ments alimentaires sĂ©lectionnĂ©s pour vous par NUTRISTORE, la boutique de la nutrition. 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