L125-3 du code du travail , d) ne pas ĂȘtre en Ă©tat de liquidation judiciaire au sens de l'article L. 620-1 du code de commerce , e) que ma faillite personnelle, au sens de l'article L. 625-2 du code de commerce n'a pas Ă©tĂ© prononcĂ©e, ou que je ne fais pas l'objet d'une procĂ©dure Ă©quivalente rĂ©gie par un droit Ă©tranger,

Toute personne vérifie lors de la conclusion d'un contrat dont l'objet porte sur une obligation d'un montant minimum en vue de l'exécution d'un travail, de la fourniture d'une prestation de services ou de l'accomplissement d'un acte de commerce, et périodiquement jusqu'à la fin de l'exécution du contrat, que son cocontractant s'acquitte 1° des formalités mentionnées aux articles L. 8221-3 et L. 8221-5 ; 2° de l'une seulement des formalités mentionnées au 1°, dans le cas d'un contrat conclu par un particulier pour son usage personnel, celui de son conjoint, partenaire lié par un pacte civil de solidarité, concubin, de ses ascendants ou descendants. Les modalités selon lesquelles sont opérées les vérifications imposées par le présent article sont précisées par décret.

Les piÚces prévues aux articles D. 8222-5 ou D. 8222-7 et D. 8222-8 du code du travail. Capacité économique et financiÚre: Liste et description succincte des critÚres de sélection, indication des informations et documents requis : - Déclaration concernant le chiffre d'affaires global et le chiffre d'affaires concernant les fournitures, services ou travaux objet du
L’obtention pour le donneur d’ordre d’une attestation de vigilance est une dĂ©marche fondamentale sauf Ă  faire l’objet Ă  l’initiative de l’URSSAF de sanctions au titre de la solidaritĂ© financiĂšre en cas de travail dissimulĂ© constatĂ© par procĂšs-verbal chez le sous-traitant. 1. L’obligation de vigilance Lors de la conclusion du contrat, puis tous les six mois jusqu’à la fin de l’exĂ©cution du contrat, les donneurs d’ordre doivent s’assurer, pour tout contrat supĂ©rieur Ă  5000 € HT, que leurs sous traitants sont Ă  jours du paiement de leurs cotisations sociales. L’article L 8222-1 du code du travail rappelle en effet clairement que Toute personne vĂ©rifie lors de la conclusion d’un contrat dont l’objet porte sur une obligation d’un montant minimum en vue de l’exĂ©cution d’un travail, de la fourniture d’une prestation de services ou de l’accomplissement d’un acte de commerce, et pĂ©riodiquement jusqu’à la fin de l’exĂ©cution du contrat, que son cocontractant s’acquitte 1° des formalitĂ©s mentionnĂ©es aux articles L. 8221-3 et L. 8221-5 ; 2° de l’une seulement des formalitĂ©s mentionnĂ©es au 1°, dans le cas d’un contrat conclu par un particulier pour son usage personnel, celui de son conjoint, partenaire liĂ© par un pacte civil de solidaritĂ©, concubin, de ses ascendants ou descendants. Les modalitĂ©s selon lesquelles sont opĂ©rĂ©es les vĂ©rifications imposĂ©es par le prĂ©sent article sont prĂ©cisĂ©es par dĂ©cret. En substance il convient de s’assurer que le cocontractant dĂ©clare bien ses salariĂ©s. Par quel biais ? L’article D 8222-5 du Code du travail apporte des prĂ©cisions sur les documents dont le donneur d’ordre est tenu de rĂ©clamer la dĂ©livrance. Le donneur d’ordre doit ainsi rĂ©clamer Ă  son cocontractant – Une attestation de fourniture des dĂ©clarations sociales et de paiement des cotisations et contributions sociales la fameuse attestation de vigilance » prĂ©vue Ă  l’article L. 243-15 du Code de la SĂ©curitĂ© sociale Ă©manant de l’organisme de protection sociale chargĂ© du recouvrement des cotisations et des contributions datant de moins de six mois. Le donneur d’ordre au-delĂ  doit s’assurer de l’authenticitĂ© de l’attestation auprĂšs de l’organisme de recouvrement des cotisations de sĂ©curitĂ© sociale. Autrement dit, non seulement il convient de demander l’attestation mais Ă©galement de vĂ©rifier que l’attestation remise par le cocontractant n’est pas un faux sur la plateforme ou par un appel Ă  l’URSSAF. – Le document d’immatriculation du sous-traitant Ă  savoir lorsque l’immatriculation du cocontractant au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s ou au rĂ©pertoire des mĂ©tiers est obligatoire ou lorsqu’il s’agit d’une profession rĂ©glementĂ©e, l’un des documents suivants o Un extrait de l’inscription au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s K ou K bis o Une carte d’identification justifiant de l’inscription au rĂ©pertoire des mĂ©tiers ; o Un devis, un document publicitaire ou une correspondance professionnelle, Ă  condition qu’y soient mentionnĂ©s le nom ou la dĂ©nomination sociale, l’adresse complĂšte et le numĂ©ro d’immatriculation au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s ou au rĂ©pertoire des mĂ©tiers ou Ă  une liste ou un tableau d’un ordre professionnel, ou la rĂ©fĂ©rence de l’agrĂ©ment dĂ©livrĂ© par l’autoritĂ© compĂ©tente; o Un rĂ©cĂ©pissĂ© du dĂ©pĂŽt de dĂ©claration auprĂšs d’un centre de formalitĂ©s des entreprises pour les personnes en cours d’inscription. Concernant plus particuliĂšrement l’attestation de vigilance, il est clairement imposĂ© au donneur d’ordre si le sous-traitant n’est pas en mesure de la lui fournir de ne pas contracter avec celui-ci. Car le fait de ne pouvoir produire d’attestation de vigilance doit, dans la logique des textes, l’alerter sur l’illicĂ©itĂ© de la situation du sous-traitant. En effet, l’attestation est automatiquement refusĂ©e par l’URSSAF au sous-traitant dĂšs lors que celui-ci a fait l’objet d’une verbalisation pour travail dissimulĂ©. L’article L243-15 alinĂ©a 2 du Code de la SĂ©curitĂ© sociale est ainsi libellĂ© Cette attestation est dĂ©livrĂ©e dĂšs lors que la personne acquitte les cotisations et contributions dues Ă  leur date d’exigibilitĂ© et, le cas Ă©chĂ©ant, qu’elle a souscrit et respecte un plan d’apurement des cotisations et contributions restant dues ou conteste leur montant par recours contentieux, Ă  l’exception des recours faisant suite Ă  une verbalisation pour travail dissimulĂ© ». 2. Le redressement URSSAF au titre du manquement Ă  l’obligation de vigilance Attention donc Ă  se procurer l’attestation de vigilance car la sanction peut-ĂȘtre redoutable. L’URSSAF redresse en effet trĂšs frĂ©quemment le donneur d’ordre au titre de la solidaritĂ© financiĂšre » dĂšs lors qu’il ne justifie pas du respect de son obligation de vigilance et qu’une situation de travail dissimulĂ© a Ă©tĂ© constatĂ©e par procĂšs-verbal chez son sous-traitant. Cela veut dire concrĂštement que le chef d’entreprise va devoir payer pour la faute d’une autre entreprise ! Plus prĂ©cisĂ©ment de son cĂŽtĂ©, le sous-traitant en situation de travail dissimulĂ© fait l’objet d’un redressement de cotisations. Il y a souvent lieu Ă  une reconstitution d’assiette des salaires dissimulĂ©s. Il perd Ă©galement les exonĂ©rations et rĂ©ductions de cotisations dont il a bĂ©nĂ©ficiĂ© au titre des salaires dĂ©clarĂ©s. Du cĂŽtĂ© du donneur d’ordre qui n’a qu’un seul tort c’est de ne pas avoir pris la prĂ©caution de demander l’attestation de vigilance, sa responsabilitĂ© est engagĂ©e par l’URSSAF qui lui demande de payer le redressement de son co-contractant Ă  hauteur du pourcentage de sa participation au chiffre d’affaires du sous-traitant ; c’est cela la solidaritĂ© financiĂšre. En effet, l’article. L. 8222-2 du Code du travail dispose que Toute personne qui mĂ©connaĂźt les dispositions de l’article L. 8222-1, ainsi que toute personne condamnĂ©e pour avoir recouru directement ou par personne interposĂ©e aux services de celui qui exerce un travail dissimulĂ©, est tenue solidairement avec celui qui a fait l’objet d’un procĂšs-verbal pour dĂ©lit de travail dissimulĂ© 1o Au paiement des impĂŽts, taxes et cotisations obligatoires ainsi que des pĂ©nalitĂ©s et majorations dus par celui-ci au TrĂ©sor ou aux organismes de protection sociale 
 Le donneur d’ordre perd Ă©galement lui-mĂȘme ce qui est souvent encore plus coĂ»teux le bĂ©nĂ©fice de ses propres exonĂ©rations et rĂ©ductions de cotisations. Or l’article L 133-4-5 du code de la sĂ©curitĂ© sociale prĂ©cise que lorsqu’il est constatĂ© que le donneur d’ordre n’a pas rempli l’une des obligations dĂ©finies Ă  l’article L8222-1 du code du travail et que son cocontractant a, au cours de la mĂȘme pĂ©riode, exercĂ© un travail dissimulĂ© par dissimulation d’activitĂ© d’emploi salariĂ©, l’organisme de recouvrement procĂšde Ă  l’annulation des rĂ©ductions ou exonĂ©rations 
. La note peut ĂȘtre trĂšs salĂ©e et mĂȘme conduire malheureusement au dĂ©pĂŽt de Bilan. Mais il ne faut pas baisser les bras et se battre contre cette sanction particuliĂšrement lourde et injuste. Si malheureusement les prĂ©cautions n’ont pas Ă©tĂ© prises en amont du redressement, il existe des moyens de contester si ce n’est le principe, le montant au moins des sommes rĂ©clamĂ©es. ArticleR2143-3. Le candidat produit Ă  l’appui de sa candidature : 1° Une dĂ©claration sur l’honneur pour justifier qu’il n’entre dans aucun des cas mentionnĂ©s aux articles L. 2141-1 Ă  L. 2141-5 et L. 2141-7 Ă  L. 2141-11 notamment qu’il satisfait aux obligations concernant l’emploi des travailleurs handicapĂ©s dĂ©finies aux articles L. 5212-1 Ă  L. 5212-11 du code du travail ; Vous serez automatiquement redirigĂ© vers la page demandĂ©e aprĂšs 3 pas fermer cette page. Patienter 3 secondes pour passer Ă  la page. The page was generated at Thu, 18 Aug 2022 060926 Browser time DĂ©claration sur l'honneur du candidat attestant qu'il est en rĂšgle, au cours de l'annĂ©e prĂ©cĂ©dant celle au cours de laquelle a lieu le lancement de la consultation, au regard des articles L. 5212-1, L. 5212-2, L. 5212 5 et L. 5212-9 du code du travail, concernant l'emploi des travailleurs handicapĂ©s- Formulaire Dc1, Lettre de candidature _ Habilitation du mandataire par ses co Est rĂ©putĂ© travail dissimulĂ© par dissimulation d'emploi salariĂ© le fait pour tout employeur 1° Soit de se soustraire intentionnellement Ă  l'accomplissement de la formalitĂ© prĂ©vue Ă  l'article L. 1221-10, relatif Ă  la dĂ©claration prĂ©alable Ă  l'embauche ;2° Soit de se soustraire intentionnellement Ă  la dĂ©livrance d'un bulletin de paie ou d'un document Ă©quivalent dĂ©fini par voie rĂ©glementaire, ou de mentionner sur le bulletin de paie ou le document Ă©quivalent un nombre d'heures de travail infĂ©rieur Ă  celui rĂ©ellement accompli, si cette mention ne rĂ©sulte pas d'une convention ou d'un accord collectif d'amĂ©nagement du temps de travail conclu en application du titre II du livre Ier de la troisiĂšme partie ;3° Soit de se soustraire intentionnellement aux dĂ©clarations relatives aux salaires ou aux cotisations sociales assises sur ceux-ci auprĂšs des organismes de recouvrement des contributions et cotisations sociales ou de l'administration fiscale en vertu des dispositions lĂ©gales. LeDC6 corrigĂ©. Le formulaire de « DĂ©claration relative a la lutte contre le travail dissimulĂ© » corrigĂ© par la direction des affaires juridiques (DAJ). Dans le cas oĂč j’emploie des salariĂ©s, de la rĂ©alisation du travail par des salariĂ©s rĂ©guliĂšrement employĂ©s au regard des articles L.1221-10, L.3243-2 et R.3243-1 du Code du travail (article D 8222-5-3°) DĂ©couvrez l’ensemble de nos ressources numĂ©riques ARTICLE D. 8222 5 DU CODE DU TRAVAIL » mises Ă  disposition de la fonction publique. ARTICLE D. 8222 5 DU CODE DU TRAVAIL dans l'actualitĂ© SantĂ© et sĂ©curitĂ© au travail 6 nov. 2013 Conditions de travail le travail, plaisir ou souffrance ? Identifier, prĂ©venir, et traiter les problĂšmes liĂ©s au mal-ĂȘtre et au stress au travail dans les administrations publiques est une obligation lĂ©gale, mais comment les employeurs [...] TĂ©lĂ©travail, chĂŽmage partiel, arrĂȘt de travail... les nouvelles rĂšgles d'organisation du travail TĂ©lĂ©travail, chĂŽmage partiel, arrĂȘt de travail... voici les derniĂšres modalitĂ©s d'organisation du travail prĂ©cisĂ©es par le ministĂšre du Travail Ă  la suite des annonces d'Emmanuel Macron [...] SantĂ© et sĂ©curitĂ© au travail 17 juil. 2014 Fonctionnaires un suicide ou une tentative au travail est un accident de travail Les suicides ou tentatives de suicide de fonctionnaires sur leur lieu de travail devraient dĂ©sormais ĂȘtre reconnus comme des accidents de travail". 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Dans deux arrĂȘts du 8 avril 2021, la Cour de cassation a jugĂ© que la mise en Ɠuvre de la solidaritĂ© financiĂšre du donneur d’ordre n’est pas subordonnĂ©e Ă  la communication prĂ©alable Ă  ce dernier du PV constatant le travail dissimulĂ© de son sous-traitant. En revanche, l’URSSAF doit produire ce document devant les juridictions contentieuses si le donneur d’ordre en conteste l’existence ou le contenu. Mise en Ɠuvre de la solidaritĂ© financiĂšre du donneur d’ordres rappelsAfin de prĂ©venir le travail dissimulĂ©, la responsabilitĂ© du donneur d’ordre ou du maĂźtre d’ouvrage peut ĂȘtre engagĂ©e s’il ne s’est pas assurĂ© du respect, par son co-contractant sous-traitant, de certaines effet, pĂšsent sur le donneur d’ordre une obligation de vigilance l’obligeant, pour tout contrat d’au moins 5 000 € hors taxe, Ă  vĂ©rifier que son co-contractant a effectuĂ© toutes les formalitĂ©s et dĂ©marches Ă©numĂ©rĂ©es aux articles L. 8221-3 et L. 8221-5 du code du travail et est Ă  jour de ses obligations de dĂ©claration et de paiement auprĂšs de l’URSSAF c. trav. art. L. 8222-1 et R. 8222-1 ; c. sĂ©c. soc. art. L. 243-15 ;une obligation d’injonction l’obligeant, lorsqu’il a Ă©tĂ© informĂ© par Ă©crit, par un agent de contrĂŽle, un syndicat ou une institution reprĂ©sentative du personnel, de la situation irrĂ©guliĂšre dans laquelle se trouve son co-contractant au regard des formalitĂ©s mentionnĂ©es aux articles L. 8221-3 et L. 8221-5 du code du travail, Ă  lui demander de rĂ©gulariser sans dĂ©lai sa situation c. trav. art. L. 8222-5 et R. 8222-2.Le donneur d’ordre qui ne respecte pas ses obligations de vigilance et d’injonction est tenu, solidairement avec celui qui a fait l’objet d’un procĂšs-verbal PV pour dĂ©lit de travail dissimulĂ© c. trav. art. L. 8222-2 et L. 8222-5 au paiement des impĂŽts, taxes et cotisations obligatoires ainsi que des pĂ©nalitĂ©s et majorations dus au TrĂ©sor public et aux organismes de protection sociale ;au paiement des rĂ©munĂ©rations, indemnitĂ©s et charges dues au titre de l’emploi de travailleurs dissimulĂ©s ;le cas Ă©chĂ©ant, au remboursement des sommes correspondant au montant des aides publiques jurisprudence considĂšre que la mise en Ɠuvre de cette solidaritĂ© financiĂšre est nĂ©cessairement subordonnĂ©e Ă  l’établissement d’un procĂšs-verbal pour dĂ©lit de travail dissimulĂ© Ă  l’encontre du co-contractant, sans quoi elle ne peut pas jouer cass. civ., 2e ch., 26 novembre 2015, n° 14-23851, BC II n° 543.Mais la seule existence d’un PV de travail dissimulĂ© suffit-elle pour que l’URSSAF puisse mettre en Ɠuvre la solidaritĂ© financiĂšre du donneur d’ordre ? Non, a rĂ©pondu la Cour de cassation dans deux arrĂȘts du 8 avril la Cour de cassation, l’URSSAF doit produire le PV de travail dissimulĂ© Pour l’URSSAF, la seule existence du PV de travail dissimulĂ© suffit. - Dans chacune de ces deux affaires, l’URSSAF avait envoyĂ© Ă  une sociĂ©tĂ© une lettre d’observations l’avisant de la mise en Ɠuvre de sa solidaritĂ© financiĂšre et du montant des cotisations estimĂ©es dues, Ă  la suite d’un procĂšs-verbal de travail dissimulĂ© Ă©tabli Ă  l’encontre de l’un de ses sociĂ©tĂ© donneuse d’ordre avait alors saisi la justice pour contester le redressement et obtenu gain de cause devant la cour d’appel. Celle-ci a en effet considĂ©rĂ© que l’absence de production par l’URSSAF du PV de travail dissimulĂ© n’avait pas permis au donneur d’ordre de se dĂ©fendre, puisqu’il n’avait pas pu discuter tant de la rĂ©gularitĂ© de la procĂ©dure que du bien-fondĂ© de l’exigibilitĂ© des sommes rĂ©clamĂ©es au titre de sa solidaritĂ© s’est alors pourvue devant la Cour de cassation. Elle faisait valoir d’une part, que la mise en Ɠuvre de la solidaritĂ© financiĂšre Ă  laquelle est tenu le donneur d’ordre est subordonnĂ©e Ă  la seule existence d’un PV pour dĂ©lit de travail dissimulĂ© Ă  l’encontre de son cocontractant et non Ă  la production de ce dernier dans la procĂ©dure de redressement dirigĂ©e contre le donneur d’ordre affaire n° 20-11126. À la lecture des moyens annexĂ©s Ă  l’arrĂȘt, on comprend que, pour l’URSSAF, il n’y a pas d’obligation de communiquer le PV Ă  la sociĂ©tĂ© donneuse d’ordre avant d’engager sa solidaritĂ© financiĂšre ;d’autre part, que sauf lorsque le juge l’ordonne dans le cadre de l’instance, elle n’est pas tenue de verser aux dĂ©bats le PV de travail dissimulĂ© ayant justifiĂ© la mise en Ɠuvre de la solidaritĂ© financiĂšre Ă  l’encontre du donneur d’ordre affaire n° 19-23728.Mais pas pour la Cour de cassation. - Dans ses deux arrĂȘts du 8 avril 2021, la Cour de cassation commence par Ă©noncer que, aux termes de l’article 9 du code de procĂ©dure civile, il incombe Ă  chaque partie de prouver conformĂ©ment Ă  la loi les faits nĂ©cessaires au succĂšs de sa elle rappelle que, dans une dĂ©cision rendue le 31 juillet 2015 Ă  la suite d’une question prioritaire de constitutionnalitĂ©, le Conseil constitutionnel a dĂ©clarĂ© conformes Ă  la Constitution les dispositions du deuxiĂšme alinĂ©a de l’article L. 8222-2 du code du travail relatives Ă  la solidaritĂ© financiĂšre du donneur d’ordre voir ci-dessus, sous rĂ©serve toutefois qu’elles n’interdisent pas Ă  ce dernier de contester la rĂ©gularitĂ© de la procĂ©dure, le bien-fondĂ© de l’exigibilitĂ© des impĂŽts, taxes et cotisations obligatoires ainsi que des pĂ©nalitĂ©s et majorations y affĂ©rentes auxquels il est tenu en vertu de cette solidaritĂ© c. constit., dĂ©cision 2015-479 QPC du 31 juillet 2015, JO 2 aoĂ»t.Pour la Cour de cassation, il en rĂ©sulte que, si la mise en Ɠuvre de la solidaritĂ© financiĂšre du donneur d’ordre n’est pas subordonnĂ©e Ă  la communication prĂ©alable Ă  ce dernier du procĂšs-verbal de travail dissimulĂ© Ă©tabli Ă  l’encontre du co-contractant, en revanche, l’URSSAF est tenue de produire ce PV devant la juridiction de sĂ©curitĂ© sociale en cas de contestation par le donneur d’ordre de l’existence ou du contenu de ce dans les deux affaires, la cour d’appel avait relevĂ© que le procĂšs-verbal de travail dissimulĂ© n’était pas produit aux dĂ©bats et que les juges du fond n’ont donc pas Ă©tĂ© en mesure de vĂ©rifier que la sociĂ©tĂ© sous-traitante en cause avait bien fait l’objet d’un PV pour dĂ©lit de travail consĂ©quent, la cour d’appel en a exactement dĂ©duit que l’URSSAF n’était pas fondĂ©e Ă  mettre en Ɠuvre la solidaritĂ© financiĂšre du donneur d’ordre.

ï»żUndocument qui mentionne (article D 8222-7-1°-a du code du travail) : en cas d’assujettissement Ă  la TVA, son numĂ©ro individuel d'identification Ă  la TVA en France, attribuĂ© par la direction des finances publiques en application de l'article 286 ter du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts. OU. pour le candidat individuel ou le membre du groupement qui n’est pas tenu d’avoir un numĂ©ro
Aperçu de l'annonce AVIS DE MARCHÉ DĂ©partements de publication 974 Travaux - Nom et adresse officiels de l'organisme acheteur FONDATION PERE FAVRON. Correspondant MOUREAU CLAUDE, 80 Boulevard Hubert Delisle 97410 Saint Pierre tĂ©l. 02-62-91-80-00 Courriel Objet du marchĂ© 160174-04 - Relance LOT n°10 Bis - Peinture - RevĂȘtements façade CaractĂ©ristiques principales Refus des variantes. PossibilitĂ© de prĂ©senter une offre pour un lot Ă  compter du 01 Aout 2022 et jusqu'au 17 Avril 2023 Cautionnement et garanties exigĂ©s Se rĂ©fĂ©rer Ă  l'article 8 du CCAP Les candidatures et les offres seront entiĂšrement rĂ©digĂ©es en langue française ainsi que les documents de prĂ©sentation associĂ©s. UnitĂ© monĂ©taire utilisĂ©e, l'euro. Justifications Ă  produire quant aux qualitĂ©s et capacitĂ©s du candidat Documents Ă  produire obligatoirement par le candidat, Ă  l'appui de sa candidature -Copie du ou des jugements prononcĂ©s, si le candidat est en redressement judiciaire si ces documents ne sont pas dĂ©jĂ  demandĂ©s dans le cadre du formulaire DC2, ci-aprĂšs. -DĂ©claration sur l'honneur du candidat justifiant qu'il n'entre dans aucun des cas d'interdiction de soumissionner obligatoires prĂ©vus aux articles L. 2141-1 Ă  L. 2141-5 ou aux articles L. 2141-7 Ă  L. 2141-10 du code de la commande publique ou, pour les marchĂ©s publics de dĂ©fense ou de sĂ©curitĂ©, qu'il n'entre dans aucun des cas d'interdiction de soumissionner obligatoires prĂ©vus aux articles L. 2341-1 Ă  L. 2341-3 ou aux articles L. 2141-7 Ă  L. 2341-5 du code de la commande publique si cette dĂ©claration n'est pas dĂ©jĂ  demandĂ©e dans le cadre du formulaire DC1, ci-aprĂšs. -DĂ©claration sur l'honneur du candidat attestant qu'il est en rĂšgle, au cours de l'annĂ©e prĂ©cĂ©dant celle au cours de laquelle a lieu le lancement de la consultation, au regard des articles L. 5212-1, L. 5212-2, L. 5212 5 et L. 5212-9 du code du travail, concernant l'emploi des travailleurs handicapĂ©s si cette dĂ©claration n'est pas dĂ©jĂ  demandĂ©e dans le cadre du formulaire DC1, ci-aprĂšs. -Si le candidat est Ă©tabli en France, une dĂ©claration sur l'honneur du candidat justifiant que le travail est effectuĂ© par des salariĂ©s employĂ©s rĂ©guliĂšrement au regard des articles L. 1221-10, L. 3243-2 et R. 3243-1 du code du travail dans le cas oĂč le candidat emploie des salariĂ©s, conformĂ©ment Ă  l'article D. 8222-5-3° du code du travail si cette dĂ©claration n'est pas dĂ©jĂ  demandĂ©e dans le cadre du formulaire DC1, ci-aprĂšs. Documents Ă  produire Ă  l'appui des candidatures par le candidat, au choix de l'acheteur public -Si le candidat est Ă©tabli ou domiciliĂ© Ă  l'Ă©tranger, une dĂ©claration sur l'honneur du candidat attestant qu'il fournit Ă  ses salariĂ©s des bulletins de paie comportant les mentions prĂ©vues Ă  l'article R. 3243-1 du code du travail, ou des documents Ă©quivalents si cette dĂ©claration n'est pas dĂ©jĂ  demandĂ©e dans le cadre du formulaire DC1, ci-aprĂšs. -DĂ©claration concernant le chiffre d'affaires global et le chiffre d'affaires concernant les fournitures, services ou travaux objet du marchĂ©, rĂ©alisĂ©s au cours des trois derniers exercices disponibles renseignements Ă  inscrire dans le formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -DĂ©claration appropriĂ©e de banques ou preuve d'une assurance pour les risques professionnels dĂ©claration Ă  produire en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public . - Bilans ou extraits de bilans, concernant les trois derniĂšres annĂ©es, des opĂ©rateurs Ă©conomiques pour lesquels l'Ă©tablissement des bilans est obligatoire en vertu de la loi documents Ă  fournir en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -DĂ©claration indiquant les effectifs moyens annuels du candidat et l'importance du personnel d'encadrement pour chacune des trois derniĂšres annĂ©es dĂ©claration Ă  produire en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -PrĂ©sentation d'une liste des principales fournitures ou des principaux services effectuĂ©s au cours des trois derniĂšres annĂ©es, indiquant le montant, la date et le destinataire public ou privĂ©. Les livraisons et les prestations de services sont prouvĂ©es par des attestations du destinataire ou, Ă  dĂ©faut, par une dĂ©claration de l'opĂ©rateur Ă©conomique documents Ă  fournir en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -PrĂ©sentation d'une liste des travaux exĂ©cutĂ©s au cours des cinq derniĂšres annĂ©es, appuyĂ©e d'attestations de bonne exĂ©cution pour les travaux les plus importants. Ces attestations indiquent le montant, l'Ă©poque et le lieu d'exĂ©cution des travaux et prĂ©cisent s'ils ont Ă©tĂ© effectuĂ©s selon les rĂšgles de l'art et menĂ©s rĂ©guliĂšrement Ă  bonne fin documents Ă  fournir en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -Indication des titres d'Ă©tudes et professionnels de l'opĂ©rateur Ă©conomique documents Ă  produire en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -DĂ©claration indiquant l'outillage, le matĂ©riel et l'Ă©quipement technique dont le candidat dispose pour la rĂ©alisation de marchĂ©s de mĂȘme nature dĂ©claration Ă  produire en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -En matiĂšre de fournitures et services, une description de l'Ă©quipement technique, des mesures employĂ©es par l'opĂ©rateur Ă©conomique pour s'assurer de la qualitĂ© et des moyens d'Ă©tude et de recherche de son entreprise document Ă  fournir en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -Certificats de qualifications professionnelles documents Ă  fournir en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. La preuve de la capacitĂ© du candidat peut ĂȘtre apportĂ©e par tout moyen, notamment par des certificats d'identitĂ© professionnelle ou des rĂ©fĂ©rences de travaux attestant de la compĂ©tence de l'opĂ©rateur Ă©conomique Ă  rĂ©aliser la prestation pour laquelle il se porte candidat. -Formulaire DC1, Lettre de candidature - Habilitation du mandataire par ses co-traitants disponible Ă  l'adresse suivante -Formulaire DC2, DĂ©claration du candidat individuel ou du membre du groupement.disponible Ă  l'adresse suivante -S'il s'appuie, pour prĂ©senter sa candidature, sur les capacitĂ©s professionnelles, techniques et financiĂšres d'autres opĂ©rateurs Ă©conomiques, le candidat produit les mĂȘmes documents concernant cet opĂ©rateur Ă©conomique que ceux qui lui sont exigĂ©s par l'acheteur public. Le candidat doit Ă©galement apporter la preuve que chacun de ces opĂ©rateurs Ă©conomiques mettra Ă  sa disposition les moyens nĂ©cessaires, pendant toute la durĂ©e d'exĂ©cution du marchĂ© public ou de l'accord-cadre documents Ă  produire en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. Documents Ă  produire obligatoirement par l'attributaire, avant la signature et la notification du marchĂ© public ou de l'accord-cadre formulaire NOTI1 -Si les documents fournis par le candidat ne sont pas Ă©tablis en langue française, ils doivent ĂȘtre accompagnĂ©s d'une traduction en français, certifiĂ©e conforme Ă  l'original par un traducteur assermentĂ©. -Les piĂšces prĂ©vues aux articles D. 8222-5 ou D. 8222-7 et D. 8222-8 du code du travail. -Si l'attributaire est Ă©tabli en France, les attestations et certificats dĂ©livrĂ©s par les administrations et organismes compĂ©tents prouvant qu'il a satisfait Ă  ses obligations fiscales et sociales ou un Ă©tat annuel des certificats reçus formulaire NOTI2. -Si l'attributaire est Ă©tabli dans un Etat autre que la France, un certificat Ă©tabli par les administrations et organismes du pays d'origine. Lorsqu'un tel certificat n'est pas dĂ©livrĂ© par le pays concernĂ©, il peut ĂȘtre remplacĂ© par une dĂ©claration sous serment, ou dans les Etats oĂč un tel serment n'existe pas, par une dĂ©claration solennelle faite par l'intĂ©ressĂ© devant l'autoritĂ© judiciaire ou administrative compĂ©tente, un notaire ou un organisme professionnel qualifiĂ© du pays. -Si les documents fournis par le candidat ne sont pas Ă©tablis en langue française, ils doivent ĂȘtre accompagnĂ©s d'une traduction en français, certifiĂ©e conforme Ă  l'original par un traducteur assermentĂ©. La transmission et la vĂ©rification des documents de candidatures peut ĂȘtre effectuĂ©e par le dispositif MarchĂ© public simplifiĂ© sur prĂ©sentation du numĂ©ro de SIRET oui CritĂšres d'attribution Offre Ă©conomiquement la plus avantageuse apprĂ©ciĂ©e en fonction des critĂšres Ă©noncĂ©s dans le cahier des charges rĂšglement de la consultation, lettre d'invitation ou document descriptif. Type de procĂ©dure procĂ©dure adaptĂ©e. Date limite de rĂ©ception des candidatures 21 Juin 2022 Ă  1400 Date limite de rĂ©ception des offres 27 Juin 2022 Ă  1400 DĂ©lai minimum de validitĂ© des offres 180 jours Ă  compter de la date limite de rĂ©ception des offres. Autres renseignements NumĂ©ro de rĂ©fĂ©rence attribuĂ© au marchĂ© par le pouvoir adjudicateur / l'entitĂ© adjudicatrice 160174-04 Date d'envoi du prĂ©sent avis Ă  la publication 25 Mai 2022. Renseignements relatifs aux lots Lot n° 1 LOT 10 BIS - Peinture - RevĂȘtements façade. - LOT 10 BIS - Peinture - RevĂȘtements façade ExĂ©cution 2022-08-01 Livraison 2023-04-03
Le s’engage Ă  produire, lors de la conclusion du prĂ©sent contrat, les documents prĂ©vus Ă  l’article D 8222-5 du Code du travail de nature Ă  prouver le respect par le des dispositions susvisĂ©es, cette clause contractuelle Ă©tant substantielle. La fourniture de ces documents constitue une condition
En vigueur Le maĂźtre de l'ouvrage ou le donneur d'ordre, informĂ© par Ă©crit par un agent de contrĂŽle mentionnĂ© Ă  l'article L. 8271-7 ou par un syndicat ou une association professionnels ou une institution reprĂ©sentative du personnel, de l'intervention du cocontractant, d'un sous-traitant ou d'un subdĂ©lĂ©gataire en situation irrĂ©guliĂšre au regard des formalitĂ©s mentionnĂ©es aux articles L. 8221-3 et L. 8221-5 enjoint aussitĂŽt Ă  son cocontractant de faire cesser sans dĂ©lai cette situation. A dĂ©faut, il est tenu solidairement avec son cocontractant au paiement des impĂŽts, taxes, cotisations, rĂ©munĂ©rations et charges mentionnĂ©s aux 1° Ă  3° de l'article L. 8222-2, dans les conditions fixĂ©es Ă  l'article L. 8222-3. Les dispositions du prĂ©sent article ne s'appliquent pas au particulier qui contracte pour son usage personnel, celui de son conjoint, partenaire liĂ© par un pacte civil de solidaritĂ©, concubin, de ses ascendants ou descendants. → Versions
consultation au regard des articles L ) et L 5212-2ou L 5212-5, du code du travail concernant l’emploi des travailleurs handicapĂ©s. j) Atteste de la validitĂ© du numĂ©ro de dĂ©claration d’activitĂ© Ă  la PrĂ©fecture de l’entreprise en qualitĂ© d’organisme de formation, ou qu’elle est en cours de dĂ©claration.
La personne qui contracte, lorsqu'elle n'est pas un particulier répondant aux conditions fixées par l'article D. 8222-4, est considérée comme ayant procédé aux vérifications imposées par l'article L. 8222-1 si elle se fait remettre par son cocontractant, lors de la conclusion et tous les six mois jusqu'à la fin de son exécution 1° Une attestation de fourniture des déclarations sociales et de paiement des cotisations et contributions de sécurité sociale prévue à l'article L. 243-15 émanant de l'organisme de protection sociale chargé du recouvrement des cotisations et des contributions datant de moins de six mois dont elle s'assure de l'authenticité auprÚs de l'organisme de recouvrement des cotisations de sécurité sociale. 2° Lorsque l'immatriculation du cocontractant au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers est obligatoire ou lorsqu'il s'agit d'une profession réglementée, l'un des documents suivants a Un extrait de l'inscription au registre du commerce et des sociétés K ou K bis ; b Une carte d'identification justifiant de l'inscription au répertoire des métiers ; c Un devis, un document publicitaire ou une correspondance professionnelle, à condition qu'y soient mentionnés le nom ou la dénomination sociale, l'adresse complÚte et le numéro d'immatriculation au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers ou à une liste ou un tableau d'un ordre professionnel, ou la référence de l'agrément délivré par l'autorité compétente ; d Un récépissé du dépÎt de déclaration auprÚs d'un centre de formalités des entreprises pour les personnes en cours d'inscription. VBOzQn0.
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