L125-3 du code du travail , d) ne pas ĂȘtre en Ă©tat de liquidation judiciaire au sens de l'article L. 620-1 du code de commerce , e) que ma faillite personnelle, au sens de l'article L. 625-2 du code de commerce n'a pas Ă©tĂ© prononcĂ©e, ou que je ne fais pas l'objet d'une procĂ©dure Ă©quivalente rĂ©gie par un droit Ă©tranger,
Toute personne vérifie lors de la conclusion d'un contrat dont l'objet porte sur une obligation d'un montant minimum en vue de l'exécution d'un travail, de la fourniture d'une prestation de services ou de l'accomplissement d'un acte de commerce, et périodiquement jusqu'à la fin de l'exécution du contrat, que son cocontractant s'acquitte 1° des formalités mentionnées aux articles L. 8221-3 et L. 8221-5 ; 2° de l'une seulement des formalités mentionnées au 1°, dans le cas d'un contrat conclu par un particulier pour son usage personnel, celui de son conjoint, partenaire lié par un pacte civil de solidarité, concubin, de ses ascendants ou descendants. Les modalités selon lesquelles sont opérées les vérifications imposées par le présent article sont précisées par décret.
Les piÚces prévues aux articles D. 8222-5 ou D. 8222-7 et D. 8222-8 du code du travail. Capacité économique et financiÚre: Liste et description succincte des critÚres de sélection, indication des informations et documents requis : - Déclaration concernant le chiffre d'affaires global et le chiffre d'affaires concernant les fournitures, services ou travaux objet du
Lâobtention pour le donneur dâordre dâune attestation de vigilance est une dĂ©marche fondamentale sauf Ă faire lâobjet Ă lâinitiative de lâURSSAF de sanctions au titre de la solidaritĂ© financiĂšre en cas de travail dissimulĂ© constatĂ© par procĂšs-verbal chez le sous-traitant. 1. Lâobligation de vigilance Lors de la conclusion du contrat, puis tous les six mois jusquâĂ la fin de lâexĂ©cution du contrat, les donneurs dâordre doivent sâassurer, pour tout contrat supĂ©rieur Ă 5000 ⏠HT, que leurs sous traitants sont Ă jours du paiement de leurs cotisations sociales. Lâarticle L 8222-1 du code du travail rappelle en effet clairement que Toute personne vĂ©rifie lors de la conclusion dâun contrat dont lâobjet porte sur une obligation dâun montant minimum en vue de lâexĂ©cution dâun travail, de la fourniture dâune prestation de services ou de lâaccomplissement dâun acte de commerce, et pĂ©riodiquement jusquâĂ la fin de lâexĂ©cution du contrat, que son cocontractant sâacquitte 1° des formalitĂ©s mentionnĂ©es aux articles L. 8221-3 et L. 8221-5 ; 2° de lâune seulement des formalitĂ©s mentionnĂ©es au 1°, dans le cas dâun contrat conclu par un particulier pour son usage personnel, celui de son conjoint, partenaire liĂ© par un pacte civil de solidaritĂ©, concubin, de ses ascendants ou descendants. Les modalitĂ©s selon lesquelles sont opĂ©rĂ©es les vĂ©rifications imposĂ©es par le prĂ©sent article sont prĂ©cisĂ©es par dĂ©cret. En substance il convient de sâassurer que le cocontractant dĂ©clare bien ses salariĂ©s. Par quel biais ? Lâarticle D 8222-5 du Code du travail apporte des prĂ©cisions sur les documents dont le donneur dâordre est tenu de rĂ©clamer la dĂ©livrance. Le donneur dâordre doit ainsi rĂ©clamer Ă son cocontractant â Une attestation de fourniture des dĂ©clarations sociales et de paiement des cotisations et contributions sociales la fameuse attestation de vigilance » prĂ©vue Ă lâarticle L. 243-15 du Code de la SĂ©curitĂ© sociale Ă©manant de lâorganisme de protection sociale chargĂ© du recouvrement des cotisations et des contributions datant de moins de six mois. Le donneur dâordre au-delĂ doit sâassurer de lâauthenticitĂ© de lâattestation auprĂšs de lâorganisme de recouvrement des cotisations de sĂ©curitĂ© sociale. Autrement dit, non seulement il convient de demander lâattestation mais Ă©galement de vĂ©rifier que lâattestation remise par le cocontractant nâest pas un faux sur la plateforme ou par un appel Ă lâURSSAF. â Le document dâimmatriculation du sous-traitant Ă savoir lorsque lâimmatriculation du cocontractant au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s ou au rĂ©pertoire des mĂ©tiers est obligatoire ou lorsquâil sâagit dâune profession rĂ©glementĂ©e, lâun des documents suivants o Un extrait de lâinscription au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s K ou K bis o Une carte dâidentification justifiant de lâinscription au rĂ©pertoire des mĂ©tiers ; o Un devis, un document publicitaire ou une correspondance professionnelle, Ă condition quây soient mentionnĂ©s le nom ou la dĂ©nomination sociale, lâadresse complĂšte et le numĂ©ro dâimmatriculation au registre du commerce et des sociĂ©tĂ©s ou au rĂ©pertoire des mĂ©tiers ou Ă une liste ou un tableau dâun ordre professionnel, ou la rĂ©fĂ©rence de lâagrĂ©ment dĂ©livrĂ© par lâautoritĂ© compĂ©tente; o Un rĂ©cĂ©pissĂ© du dĂ©pĂŽt de dĂ©claration auprĂšs dâun centre de formalitĂ©s des entreprises pour les personnes en cours dâinscription. Concernant plus particuliĂšrement lâattestation de vigilance, il est clairement imposĂ© au donneur dâordre si le sous-traitant nâest pas en mesure de la lui fournir de ne pas contracter avec celui-ci. Car le fait de ne pouvoir produire dâattestation de vigilance doit, dans la logique des textes, lâalerter sur lâillicĂ©itĂ© de la situation du sous-traitant. En effet, lâattestation est automatiquement refusĂ©e par lâURSSAF au sous-traitant dĂšs lors que celui-ci a fait lâobjet dâune verbalisation pour travail dissimulĂ©. Lâarticle L243-15 alinĂ©a 2 du Code de la SĂ©curitĂ© sociale est ainsi libellĂ© Cette attestation est dĂ©livrĂ©e dĂšs lors que la personne acquitte les cotisations et contributions dues Ă leur date dâexigibilitĂ© et, le cas Ă©chĂ©ant, quâelle a souscrit et respecte un plan dâapurement des cotisations et contributions restant dues ou conteste leur montant par recours contentieux, Ă lâexception des recours faisant suite Ă une verbalisation pour travail dissimulĂ© ». 2. Le redressement URSSAF au titre du manquement Ă lâobligation de vigilance Attention donc Ă se procurer lâattestation de vigilance car la sanction peut-ĂȘtre redoutable. LâURSSAF redresse en effet trĂšs frĂ©quemment le donneur dâordre au titre de la solidaritĂ© financiĂšre » dĂšs lors quâil ne justifie pas du respect de son obligation de vigilance et quâune situation de travail dissimulĂ© a Ă©tĂ© constatĂ©e par procĂšs-verbal chez son sous-traitant. Cela veut dire concrĂštement que le chef dâentreprise va devoir payer pour la faute dâune autre entreprise ! Plus prĂ©cisĂ©ment de son cĂŽtĂ©, le sous-traitant en situation de travail dissimulĂ© fait lâobjet dâun redressement de cotisations. Il y a souvent lieu Ă une reconstitution dâassiette des salaires dissimulĂ©s. Il perd Ă©galement les exonĂ©rations et rĂ©ductions de cotisations dont il a bĂ©nĂ©ficiĂ© au titre des salaires dĂ©clarĂ©s. Du cĂŽtĂ© du donneur dâordre qui nâa quâun seul tort câest de ne pas avoir pris la prĂ©caution de demander lâattestation de vigilance, sa responsabilitĂ© est engagĂ©e par lâURSSAF qui lui demande de payer le redressement de son co-contractant Ă hauteur du pourcentage de sa participation au chiffre dâaffaires du sous-traitant ; câest cela la solidaritĂ© financiĂšre. En effet, lâarticle. L. 8222-2 du Code du travail dispose que Toute personne qui mĂ©connaĂźt les dispositions de lâarticle L. 8222-1, ainsi que toute personne condamnĂ©e pour avoir recouru directement ou par personne interposĂ©e aux services de celui qui exerce un travail dissimulĂ©, est tenue solidairement avec celui qui a fait lâobjet dâun procĂšs-verbal pour dĂ©lit de travail dissimulĂ© 1o Au paiement des impĂŽts, taxes et cotisations obligatoires ainsi que des pĂ©nalitĂ©s et majorations dus par celui-ci au TrĂ©sor ou aux organismes de protection sociale ⊠Le donneur dâordre perd Ă©galement lui-mĂȘme ce qui est souvent encore plus coĂ»teux le bĂ©nĂ©fice de ses propres exonĂ©rations et rĂ©ductions de cotisations. Or lâarticle L 133-4-5 du code de la sĂ©curitĂ© sociale prĂ©cise que lorsquâil est constatĂ© que le donneur dâordre nâa pas rempli lâune des obligations dĂ©finies Ă lâarticle L8222-1 du code du travail et que son cocontractant a, au cours de la mĂȘme pĂ©riode, exercĂ© un travail dissimulĂ© par dissimulation dâactivitĂ© dâemploi salariĂ©, lâorganisme de recouvrement procĂšde Ă lâannulation des rĂ©ductions ou exonĂ©rations âŠ. La note peut ĂȘtre trĂšs salĂ©e et mĂȘme conduire malheureusement au dĂ©pĂŽt de Bilan. Mais il ne faut pas baisser les bras et se battre contre cette sanction particuliĂšrement lourde et injuste. Si malheureusement les prĂ©cautions nâont pas Ă©tĂ© prises en amont du redressement, il existe des moyens de contester si ce nâest le principe, le montant au moins des sommes rĂ©clamĂ©es.
ArticleR2143-3. Le candidat produit Ă lâappui de sa candidature : 1° Une dĂ©claration sur lâhonneur pour justifier quâil nâentre dans aucun des cas mentionnĂ©s aux articles L. 2141-1 Ă L. 2141-5 et L. 2141-7 Ă L. 2141-11 notamment quâil satisfait aux obligations concernant lâemploi des travailleurs handicapĂ©s dĂ©finies aux articles L. 5212-1 Ă L. 5212-11 du code du travail ;
Vous serez automatiquement redirigé vers la page demandée aprÚs 3 pas fermer cette page. Patienter 3 secondes pour passer à la page. The page was generated at Thu, 18 Aug 2022 060926 Browser time
Déclaration sur l'honneur du candidat attestant qu'il est en rÚgle, au cours de l'année précédant celle au cours de laquelle a lieu le lancement de la consultation, au regard des articles L. 5212-1, L. 5212-2, L. 5212 5 et L. 5212-9 du code du travail, concernant l'emploi des travailleurs handicapés- Formulaire Dc1, Lettre de candidature _ Habilitation du mandataire par ses co
Est réputé travail dissimulé par dissimulation d'emploi salarié le fait pour tout employeur 1° Soit de se soustraire intentionnellement à l'accomplissement de la formalité prévue à l'article L. 1221-10, relatif à la déclaration préalable à l'embauche ;2° Soit de se soustraire intentionnellement à la délivrance d'un bulletin de paie ou d'un document équivalent défini par voie réglementaire, ou de mentionner sur le bulletin de paie ou le document équivalent un nombre d'heures de travail inférieur à celui réellement accompli, si cette mention ne résulte pas d'une convention ou d'un accord collectif d'aménagement du temps de travail conclu en application du titre II du livre Ier de la troisiÚme partie ;3° Soit de se soustraire intentionnellement aux déclarations relatives aux salaires ou aux cotisations sociales assises sur ceux-ci auprÚs des organismes de recouvrement des contributions et cotisations sociales ou de l'administration fiscale en vertu des dispositions légales.
LeDC6 corrigĂ©. Le formulaire de « DĂ©claration relative a la lutte contre le travail dissimulĂ© » corrigĂ© par la direction des affaires juridiques (DAJ). Dans le cas oĂč jâemploie des salariĂ©s, de la rĂ©alisation du travail par des salariĂ©s rĂ©guliĂšrement employĂ©s au regard des articles L.1221-10, L.3243-2 et R.3243-1 du Code du travail (article D 8222-5-3°)
DĂ©couvrez lâensemble de nos ressources numĂ©riques ARTICLE D. 8222 5 DU CODE DU TRAVAIL » mises Ă disposition de la fonction publique. ARTICLE D. 8222 5 DU CODE DU TRAVAIL dans l'actualitĂ© SantĂ© et sĂ©curitĂ© au travail 6 nov. 2013 Conditions de travail le travail, plaisir ou souffrance ? Identifier, prĂ©venir, et traiter les problĂšmes liĂ©s au mal-ĂȘtre et au stress au travail dans les administrations publiques est une obligation lĂ©gale, mais comment les employeurs [...] TĂ©lĂ©travail, chĂŽmage partiel, arrĂȘt de travail... les nouvelles rĂšgles d'organisation du travail TĂ©lĂ©travail, chĂŽmage partiel, arrĂȘt de travail... voici les derniĂšres modalitĂ©s d'organisation du travail prĂ©cisĂ©es par le ministĂšre du Travail Ă la suite des annonces d'Emmanuel Macron [...] SantĂ© et sĂ©curitĂ© au travail 17 juil. 2014 Fonctionnaires un suicide ou une tentative au travail est un accident de travail Les suicides ou tentatives de suicide de fonctionnaires sur leur lieu de travail devraient dĂ©sormais ĂȘtre reconnus comme des accidents de travail". Le Conseil d'Ătat a Ă©mis [...] Lettre ouverte des cantines et des collectivitĂ©s pour garder la TVA Ă 5,5% Les deux syndicats des cantines et celui des collectivitĂ©s locales publient lundi une lettre ouverte au prĂ©sident de la RĂ©publique et au gouvernement pour garder une TVA Ă 5,5% au mĂȘme titre que les produits de premiĂšre [...] voir toute lâactualitĂ© ARTICLE D. 8222 5 DU CODE DU TRAVAIL dans les ressources documentaires AcquĂ©rir la nationalitĂ© française en raison du mariage avec un [...] Tout Ă©tranger ou apatride qui Ă©pouse une personne de nationalitĂ© française peut, sous rĂ©serve de remplir les conditions lĂ©gales posĂ©es Ă lâarticle 21-2... 06 mai 2014 nationalitĂ© française acquisition par le mariage dĂ©claration de nationalitĂ© dĂ©claration de nationalitĂ© française Ă raison du mariage Le mĂ©decin du travail Le point essentiel concernant le statut du mĂ©decin du travail vise Ă la garantie de son indĂ©pendance par rapport Ă lâemployeur.... 22 fĂ©vr. 2022 hygiĂšne et sĂ©curitĂ© mĂ©decin du travail aptitude aux fonctions Les taux de TVA applicables Ă un contrat du spectacle Ce tableau synthĂ©tique permet une premiĂšre approche simplifiĂ©e des taux de TVA applicables Ă un contrat du spectacle. Vous pourrez identifier votre... 23 juil. 2020 taux TVA applicables Ă un contrat du spectacle TVA Temps de travail Lâarticle L. 611-2 du Code gĂ©nĂ©ral de la fonction publique dispose que les collectivitĂ©s territoriales et les Ă©tablissements publics ont compĂ©tence... 21 avr. 2022 temps de travail travail effectif horaires pause astreinte repos cycles de travail horaires dâĂ©quivalence Frais de dĂ©placement trajet domicile-travail Tout employeur est tenu de prendre en charge une partie des frais de transports collectifs engagĂ©s par les salariĂ©s pour se rendre sur leur lieu de... 18 janv. 2021 prise en charge transports collectifs pass Navigo carte orange ARTICLE D. 8222 5 DU CODE DU TRAVAIL dans les livres blancs
Les piÚces prévues aux articles D. 8222-5 ou D. 8222-7 et D. 8222-8 du code du travail -Si l'attributaire est établi en France, les attestations et certificats délivrés par les administrations et organismes compétents prouvant qu'il a satisfait à ses obligations fiscales et sociales ou un état annuel des certificats reçus (formulaire NOTI2) -Si l'attributaire est établi
Dans deux arrĂȘts du 8 avril 2021, la Cour de cassation a jugĂ© que la mise en Ćuvre de la solidaritĂ© financiĂšre du donneur dâordre nâest pas subordonnĂ©e Ă la communication prĂ©alable Ă ce dernier du PV constatant le travail dissimulĂ© de son sous-traitant. En revanche, lâURSSAF doit produire ce document devant les juridictions contentieuses si le donneur dâordre en conteste lâexistence ou le contenu. Mise en Ćuvre de la solidaritĂ© financiĂšre du donneur dâordres rappelsAfin de prĂ©venir le travail dissimulĂ©, la responsabilitĂ© du donneur dâordre ou du maĂźtre dâouvrage peut ĂȘtre engagĂ©e sâil ne sâest pas assurĂ© du respect, par son co-contractant sous-traitant, de certaines effet, pĂšsent sur le donneur dâordre une obligation de vigilance lâobligeant, pour tout contrat dâau moins 5 000 ⏠hors taxe, Ă vĂ©rifier que son co-contractant a effectuĂ© toutes les formalitĂ©s et dĂ©marches Ă©numĂ©rĂ©es aux articles L. 8221-3 et L. 8221-5 du code du travail et est Ă jour de ses obligations de dĂ©claration et de paiement auprĂšs de lâURSSAF c. trav. art. L. 8222-1 et R. 8222-1 ; c. sĂ©c. soc. art. L. 243-15 ;une obligation dâinjonction lâobligeant, lorsquâil a Ă©tĂ© informĂ© par Ă©crit, par un agent de contrĂŽle, un syndicat ou une institution reprĂ©sentative du personnel, de la situation irrĂ©guliĂšre dans laquelle se trouve son co-contractant au regard des formalitĂ©s mentionnĂ©es aux articles L. 8221-3 et L. 8221-5 du code du travail, Ă lui demander de rĂ©gulariser sans dĂ©lai sa situation c. trav. art. L. 8222-5 et R. 8222-2.Le donneur dâordre qui ne respecte pas ses obligations de vigilance et dâinjonction est tenu, solidairement avec celui qui a fait lâobjet dâun procĂšs-verbal PV pour dĂ©lit de travail dissimulĂ© c. trav. art. L. 8222-2 et L. 8222-5 au paiement des impĂŽts, taxes et cotisations obligatoires ainsi que des pĂ©nalitĂ©s et majorations dus au TrĂ©sor public et aux organismes de protection sociale ;au paiement des rĂ©munĂ©rations, indemnitĂ©s et charges dues au titre de lâemploi de travailleurs dissimulĂ©s ;le cas Ă©chĂ©ant, au remboursement des sommes correspondant au montant des aides publiques jurisprudence considĂšre que la mise en Ćuvre de cette solidaritĂ© financiĂšre est nĂ©cessairement subordonnĂ©e Ă lâĂ©tablissement dâun procĂšs-verbal pour dĂ©lit de travail dissimulĂ© Ă lâencontre du co-contractant, sans quoi elle ne peut pas jouer cass. civ., 2e ch., 26 novembre 2015, n° 14-23851, BC II n° 543.Mais la seule existence dâun PV de travail dissimulĂ© suffit-elle pour que lâURSSAF puisse mettre en Ćuvre la solidaritĂ© financiĂšre du donneur dâordre ? Non, a rĂ©pondu la Cour de cassation dans deux arrĂȘts du 8 avril la Cour de cassation, lâURSSAF doit produire le PV de travail dissimulĂ© Pour lâURSSAF, la seule existence du PV de travail dissimulĂ© suffit. - Dans chacune de ces deux affaires, lâURSSAF avait envoyĂ© Ă une sociĂ©tĂ© une lettre dâobservations lâavisant de la mise en Ćuvre de sa solidaritĂ© financiĂšre et du montant des cotisations estimĂ©es dues, Ă la suite dâun procĂšs-verbal de travail dissimulĂ© Ă©tabli Ă lâencontre de lâun de ses sociĂ©tĂ© donneuse dâordre avait alors saisi la justice pour contester le redressement et obtenu gain de cause devant la cour dâappel. Celle-ci a en effet considĂ©rĂ© que lâabsence de production par lâURSSAF du PV de travail dissimulĂ© nâavait pas permis au donneur dâordre de se dĂ©fendre, puisquâil nâavait pas pu discuter tant de la rĂ©gularitĂ© de la procĂ©dure que du bien-fondĂ© de lâexigibilitĂ© des sommes rĂ©clamĂ©es au titre de sa solidaritĂ© sâest alors pourvue devant la Cour de cassation. Elle faisait valoir dâune part, que la mise en Ćuvre de la solidaritĂ© financiĂšre Ă laquelle est tenu le donneur dâordre est subordonnĂ©e Ă la seule existence dâun PV pour dĂ©lit de travail dissimulĂ© Ă lâencontre de son cocontractant et non Ă la production de ce dernier dans la procĂ©dure de redressement dirigĂ©e contre le donneur dâordre affaire n° 20-11126. Ă la lecture des moyens annexĂ©s Ă lâarrĂȘt, on comprend que, pour lâURSSAF, il nây a pas dâobligation de communiquer le PV Ă la sociĂ©tĂ© donneuse dâordre avant dâengager sa solidaritĂ© financiĂšre ;dâautre part, que sauf lorsque le juge lâordonne dans le cadre de lâinstance, elle nâest pas tenue de verser aux dĂ©bats le PV de travail dissimulĂ© ayant justifiĂ© la mise en Ćuvre de la solidaritĂ© financiĂšre Ă lâencontre du donneur dâordre affaire n° 19-23728.Mais pas pour la Cour de cassation. - Dans ses deux arrĂȘts du 8 avril 2021, la Cour de cassation commence par Ă©noncer que, aux termes de lâarticle 9 du code de procĂ©dure civile, il incombe Ă chaque partie de prouver conformĂ©ment Ă la loi les faits nĂ©cessaires au succĂšs de sa elle rappelle que, dans une dĂ©cision rendue le 31 juillet 2015 Ă la suite dâune question prioritaire de constitutionnalitĂ©, le Conseil constitutionnel a dĂ©clarĂ© conformes Ă la Constitution les dispositions du deuxiĂšme alinĂ©a de lâarticle L. 8222-2 du code du travail relatives Ă la solidaritĂ© financiĂšre du donneur dâordre voir ci-dessus, sous rĂ©serve toutefois quâelles nâinterdisent pas Ă ce dernier de contester la rĂ©gularitĂ© de la procĂ©dure, le bien-fondĂ© de lâexigibilitĂ© des impĂŽts, taxes et cotisations obligatoires ainsi que des pĂ©nalitĂ©s et majorations y affĂ©rentes auxquels il est tenu en vertu de cette solidaritĂ© c. constit., dĂ©cision 2015-479 QPC du 31 juillet 2015, JO 2 aoĂ»t.Pour la Cour de cassation, il en rĂ©sulte que, si la mise en Ćuvre de la solidaritĂ© financiĂšre du donneur dâordre nâest pas subordonnĂ©e Ă la communication prĂ©alable Ă ce dernier du procĂšs-verbal de travail dissimulĂ© Ă©tabli Ă lâencontre du co-contractant, en revanche, lâURSSAF est tenue de produire ce PV devant la juridiction de sĂ©curitĂ© sociale en cas de contestation par le donneur dâordre de lâexistence ou du contenu de ce dans les deux affaires, la cour dâappel avait relevĂ© que le procĂšs-verbal de travail dissimulĂ© nâĂ©tait pas produit aux dĂ©bats et que les juges du fond nâont donc pas Ă©tĂ© en mesure de vĂ©rifier que la sociĂ©tĂ© sous-traitante en cause avait bien fait lâobjet dâun PV pour dĂ©lit de travail consĂ©quent, la cour dâappel en a exactement dĂ©duit que lâURSSAF nâĂ©tait pas fondĂ©e Ă mettre en Ćuvre la solidaritĂ© financiĂšre du donneur dâordre.
ï»żUndocument qui mentionne (article D 8222-7-1°-a du code du travail) : en cas dâassujettissement Ă la TVA, son numĂ©ro individuel d'identification Ă la TVA en France, attribuĂ© par la direction des finances publiques en application de l'article 286 ter du code gĂ©nĂ©ral des impĂŽts. OU. pour le candidat individuel ou le membre du groupement qui nâest pas tenu dâavoir un numĂ©ro
Aperçu de l'annonce AVIS DE MARCHĂ DĂ©partements de publication 974 Travaux - Nom et adresse officiels de l'organisme acheteur FONDATION PERE FAVRON. Correspondant MOUREAU CLAUDE, 80 Boulevard Hubert Delisle 97410 Saint Pierre tĂ©l. 02-62-91-80-00 Courriel Objet du marchĂ© 160174-04 - Relance LOT n°10 Bis - Peinture - RevĂȘtements façade CaractĂ©ristiques principales Refus des variantes. PossibilitĂ© de prĂ©senter une offre pour un lot Ă compter du 01 Aout 2022 et jusqu'au 17 Avril 2023 Cautionnement et garanties exigĂ©s Se rĂ©fĂ©rer Ă l'article 8 du CCAP Les candidatures et les offres seront entiĂšrement rĂ©digĂ©es en langue française ainsi que les documents de prĂ©sentation associĂ©s. UnitĂ© monĂ©taire utilisĂ©e, l'euro. Justifications Ă produire quant aux qualitĂ©s et capacitĂ©s du candidat Documents Ă produire obligatoirement par le candidat, Ă l'appui de sa candidature -Copie du ou des jugements prononcĂ©s, si le candidat est en redressement judiciaire si ces documents ne sont pas dĂ©jĂ demandĂ©s dans le cadre du formulaire DC2, ci-aprĂšs. -DĂ©claration sur l'honneur du candidat justifiant qu'il n'entre dans aucun des cas d'interdiction de soumissionner obligatoires prĂ©vus aux articles L. 2141-1 Ă L. 2141-5 ou aux articles L. 2141-7 Ă L. 2141-10 du code de la commande publique ou, pour les marchĂ©s publics de dĂ©fense ou de sĂ©curitĂ©, qu'il n'entre dans aucun des cas d'interdiction de soumissionner obligatoires prĂ©vus aux articles L. 2341-1 Ă L. 2341-3 ou aux articles L. 2141-7 Ă L. 2341-5 du code de la commande publique si cette dĂ©claration n'est pas dĂ©jĂ demandĂ©e dans le cadre du formulaire DC1, ci-aprĂšs. -DĂ©claration sur l'honneur du candidat attestant qu'il est en rĂšgle, au cours de l'annĂ©e prĂ©cĂ©dant celle au cours de laquelle a lieu le lancement de la consultation, au regard des articles L. 5212-1, L. 5212-2, L. 5212 5 et L. 5212-9 du code du travail, concernant l'emploi des travailleurs handicapĂ©s si cette dĂ©claration n'est pas dĂ©jĂ demandĂ©e dans le cadre du formulaire DC1, ci-aprĂšs. -Si le candidat est Ă©tabli en France, une dĂ©claration sur l'honneur du candidat justifiant que le travail est effectuĂ© par des salariĂ©s employĂ©s rĂ©guliĂšrement au regard des articles L. 1221-10, L. 3243-2 et R. 3243-1 du code du travail dans le cas oĂč le candidat emploie des salariĂ©s, conformĂ©ment Ă l'article D. 8222-5-3° du code du travail si cette dĂ©claration n'est pas dĂ©jĂ demandĂ©e dans le cadre du formulaire DC1, ci-aprĂšs. Documents Ă produire Ă l'appui des candidatures par le candidat, au choix de l'acheteur public -Si le candidat est Ă©tabli ou domiciliĂ© Ă l'Ă©tranger, une dĂ©claration sur l'honneur du candidat attestant qu'il fournit Ă ses salariĂ©s des bulletins de paie comportant les mentions prĂ©vues Ă l'article R. 3243-1 du code du travail, ou des documents Ă©quivalents si cette dĂ©claration n'est pas dĂ©jĂ demandĂ©e dans le cadre du formulaire DC1, ci-aprĂšs. -DĂ©claration concernant le chiffre d'affaires global et le chiffre d'affaires concernant les fournitures, services ou travaux objet du marchĂ©, rĂ©alisĂ©s au cours des trois derniers exercices disponibles renseignements Ă inscrire dans le formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -DĂ©claration appropriĂ©e de banques ou preuve d'une assurance pour les risques professionnels dĂ©claration Ă produire en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public . - Bilans ou extraits de bilans, concernant les trois derniĂšres annĂ©es, des opĂ©rateurs Ă©conomiques pour lesquels l'Ă©tablissement des bilans est obligatoire en vertu de la loi documents Ă fournir en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -DĂ©claration indiquant les effectifs moyens annuels du candidat et l'importance du personnel d'encadrement pour chacune des trois derniĂšres annĂ©es dĂ©claration Ă produire en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -PrĂ©sentation d'une liste des principales fournitures ou des principaux services effectuĂ©s au cours des trois derniĂšres annĂ©es, indiquant le montant, la date et le destinataire public ou privĂ©. Les livraisons et les prestations de services sont prouvĂ©es par des attestations du destinataire ou, Ă dĂ©faut, par une dĂ©claration de l'opĂ©rateur Ă©conomique documents Ă fournir en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -PrĂ©sentation d'une liste des travaux exĂ©cutĂ©s au cours des cinq derniĂšres annĂ©es, appuyĂ©e d'attestations de bonne exĂ©cution pour les travaux les plus importants. Ces attestations indiquent le montant, l'Ă©poque et le lieu d'exĂ©cution des travaux et prĂ©cisent s'ils ont Ă©tĂ© effectuĂ©s selon les rĂšgles de l'art et menĂ©s rĂ©guliĂšrement Ă bonne fin documents Ă fournir en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -Indication des titres d'Ă©tudes et professionnels de l'opĂ©rateur Ă©conomique documents Ă produire en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -DĂ©claration indiquant l'outillage, le matĂ©riel et l'Ă©quipement technique dont le candidat dispose pour la rĂ©alisation de marchĂ©s de mĂȘme nature dĂ©claration Ă produire en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -En matiĂšre de fournitures et services, une description de l'Ă©quipement technique, des mesures employĂ©es par l'opĂ©rateur Ă©conomique pour s'assurer de la qualitĂ© et des moyens d'Ă©tude et de recherche de son entreprise document Ă fournir en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. -Certificats de qualifications professionnelles documents Ă fournir en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. La preuve de la capacitĂ© du candidat peut ĂȘtre apportĂ©e par tout moyen, notamment par des certificats d'identitĂ© professionnelle ou des rĂ©fĂ©rences de travaux attestant de la compĂ©tence de l'opĂ©rateur Ă©conomique Ă rĂ©aliser la prestation pour laquelle il se porte candidat. -Formulaire DC1, Lettre de candidature - Habilitation du mandataire par ses co-traitants disponible Ă l'adresse suivante -Formulaire DC2, DĂ©claration du candidat individuel ou du membre du groupement.disponible Ă l'adresse suivante -S'il s'appuie, pour prĂ©senter sa candidature, sur les capacitĂ©s professionnelles, techniques et financiĂšres d'autres opĂ©rateurs Ă©conomiques, le candidat produit les mĂȘmes documents concernant cet opĂ©rateur Ă©conomique que ceux qui lui sont exigĂ©s par l'acheteur public. Le candidat doit Ă©galement apporter la preuve que chacun de ces opĂ©rateurs Ă©conomiques mettra Ă sa disposition les moyens nĂ©cessaires, pendant toute la durĂ©e d'exĂ©cution du marchĂ© public ou de l'accord-cadre documents Ă produire en annexe du formulaire DC2, si celui-ci est demandĂ© par l'acheteur public. Documents Ă produire obligatoirement par l'attributaire, avant la signature et la notification du marchĂ© public ou de l'accord-cadre formulaire NOTI1 -Si les documents fournis par le candidat ne sont pas Ă©tablis en langue française, ils doivent ĂȘtre accompagnĂ©s d'une traduction en français, certifiĂ©e conforme Ă l'original par un traducteur assermentĂ©. -Les piĂšces prĂ©vues aux articles D. 8222-5 ou D. 8222-7 et D. 8222-8 du code du travail. -Si l'attributaire est Ă©tabli en France, les attestations et certificats dĂ©livrĂ©s par les administrations et organismes compĂ©tents prouvant qu'il a satisfait Ă ses obligations fiscales et sociales ou un Ă©tat annuel des certificats reçus formulaire NOTI2. -Si l'attributaire est Ă©tabli dans un Etat autre que la France, un certificat Ă©tabli par les administrations et organismes du pays d'origine. Lorsqu'un tel certificat n'est pas dĂ©livrĂ© par le pays concernĂ©, il peut ĂȘtre remplacĂ© par une dĂ©claration sous serment, ou dans les Etats oĂč un tel serment n'existe pas, par une dĂ©claration solennelle faite par l'intĂ©ressĂ© devant l'autoritĂ© judiciaire ou administrative compĂ©tente, un notaire ou un organisme professionnel qualifiĂ© du pays. -Si les documents fournis par le candidat ne sont pas Ă©tablis en langue française, ils doivent ĂȘtre accompagnĂ©s d'une traduction en français, certifiĂ©e conforme Ă l'original par un traducteur assermentĂ©. La transmission et la vĂ©rification des documents de candidatures peut ĂȘtre effectuĂ©e par le dispositif MarchĂ© public simplifiĂ© sur prĂ©sentation du numĂ©ro de SIRET oui CritĂšres d'attribution Offre Ă©conomiquement la plus avantageuse apprĂ©ciĂ©e en fonction des critĂšres Ă©noncĂ©s dans le cahier des charges rĂšglement de la consultation, lettre d'invitation ou document descriptif. Type de procĂ©dure procĂ©dure adaptĂ©e. Date limite de rĂ©ception des candidatures 21 Juin 2022 Ă 1400 Date limite de rĂ©ception des offres 27 Juin 2022 Ă 1400 DĂ©lai minimum de validitĂ© des offres 180 jours Ă compter de la date limite de rĂ©ception des offres. Autres renseignements NumĂ©ro de rĂ©fĂ©rence attribuĂ© au marchĂ© par le pouvoir adjudicateur / l'entitĂ© adjudicatrice 160174-04 Date d'envoi du prĂ©sent avis Ă la publication 25 Mai 2022. Renseignements relatifs aux lots Lot n° 1 LOT 10 BIS - Peinture - RevĂȘtements façade. - LOT 10 BIS - Peinture - RevĂȘtements façade ExĂ©cution 2022-08-01 Livraison 2023-04-03
Le sâengage Ă produire, lors de la conclusion du prĂ©sent contrat, les documents prĂ©vus Ă lâarticle D 8222-5 du Code du travail de nature Ă prouver le respect par le des dispositions susvisĂ©es, cette clause contractuelle Ă©tant substantielle. La fourniture de ces documents constitue une condition
En vigueur Le maĂźtre de l'ouvrage ou le donneur d'ordre, informĂ© par Ă©crit par un agent de contrĂŽle mentionnĂ© Ă l'article L. 8271-7 ou par un syndicat ou une association professionnels ou une institution reprĂ©sentative du personnel, de l'intervention du cocontractant, d'un sous-traitant ou d'un subdĂ©lĂ©gataire en situation irrĂ©guliĂšre au regard des formalitĂ©s mentionnĂ©es aux articles L. 8221-3 et L. 8221-5 enjoint aussitĂŽt Ă son cocontractant de faire cesser sans dĂ©lai cette situation. A dĂ©faut, il est tenu solidairement avec son cocontractant au paiement des impĂŽts, taxes, cotisations, rĂ©munĂ©rations et charges mentionnĂ©s aux 1° Ă 3° de l'article L. 8222-2, dans les conditions fixĂ©es Ă l'article L. 8222-3. Les dispositions du prĂ©sent article ne s'appliquent pas au particulier qui contracte pour son usage personnel, celui de son conjoint, partenaire liĂ© par un pacte civil de solidaritĂ©, concubin, de ses ascendants ou descendants. â Versions
consultation au regard des articles L ) et L 5212-2ou L 5212-5, du code du travail concernant lâemploi des travailleurs handicapĂ©s. j) Atteste de la validitĂ© du numĂ©ro de dĂ©claration dâactivitĂ© Ă la PrĂ©fecture de lâentreprise en qualitĂ© dâorganisme de formation, ou quâelle est en cours de dĂ©claration.
La personne qui contracte, lorsqu'elle n'est pas un particulier répondant aux conditions fixées par l'article D. 8222-4, est considérée comme ayant procédé aux vérifications imposées par l'article L. 8222-1 si elle se fait remettre par son cocontractant, lors de la conclusion et tous les six mois jusqu'à la fin de son exécution 1° Une attestation de fourniture des déclarations sociales et de paiement des cotisations et contributions de sécurité sociale prévue à l'article L. 243-15 émanant de l'organisme de protection sociale chargé du recouvrement des cotisations et des contributions datant de moins de six mois dont elle s'assure de l'authenticité auprÚs de l'organisme de recouvrement des cotisations de sécurité sociale. 2° Lorsque l'immatriculation du cocontractant au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers est obligatoire ou lorsqu'il s'agit d'une profession réglementée, l'un des documents suivants a Un extrait de l'inscription au registre du commerce et des sociétés K ou K bis ; b Une carte d'identification justifiant de l'inscription au répertoire des métiers ; c Un devis, un document publicitaire ou une correspondance professionnelle, à condition qu'y soient mentionnés le nom ou la dénomination sociale, l'adresse complÚte et le numéro d'immatriculation au registre du commerce et des sociétés ou au répertoire des métiers ou à une liste ou un tableau d'un ordre professionnel, ou la référence de l'agrément délivré par l'autorité compétente ; d Un récépissé du dépÎt de déclaration auprÚs d'un centre de formalités des entreprises pour les personnes en cours d'inscription.
VBOzQn0. uhz9c29fa0.pages.dev/820uhz9c29fa0.pages.dev/907uhz9c29fa0.pages.dev/577uhz9c29fa0.pages.dev/851uhz9c29fa0.pages.dev/117uhz9c29fa0.pages.dev/202uhz9c29fa0.pages.dev/246uhz9c29fa0.pages.dev/464uhz9c29fa0.pages.dev/175uhz9c29fa0.pages.dev/742uhz9c29fa0.pages.dev/901uhz9c29fa0.pages.dev/128uhz9c29fa0.pages.dev/747uhz9c29fa0.pages.dev/470uhz9c29fa0.pages.dev/532
article d 8222 5 du code du travail