Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Cette semaine, un invité exceptionnel, le cinéaste Claude Lelouch qui remonte le temps en se livrant autour de cinq de ses films réalisateur, producteur, scénariste, cadreur et passionné de cinéma, Claude Lelouch est l'invité exceptionnel du Monde d'Elodie toute cette semaine. Celui que le cinéma n’a jamais quitté depuis ses sept ans, période pendant laquelle sa mère le plongeait dans les salles obscures pour échapper à la Gestapo, évoque ses souvenirs heureux et moins heureux. Parmi ses 50 films, on remonte celui de sa vie avec Un homme et une femme 1966, L’aventure, c’est l’aventure 1972, Les uns et les autres 1981, Itinéraire d’un enfant gâté 1988 et Roman de gare 2007. Claude Lelouch, après avoir été l’acteur principal de son père, cinéaste amateur, est devenu celui du documentaire de Philippe Azoulay sorti en mai 2022 Tourner pour vivre. franceinfo Après plus de 50 films et cette fidélité que vous consacrez au cinéma, j’ai l’impression que vous ne serez jamais rassasié ! Claude Lelouch Ça se digère bien le cinéma. Tous ces films que j’ai envie de revoir me permettent , comme je n’ai pas beaucoup de mémoire, de les redécouvrir. Je pense qu’il y a un millier de films merveilleux qui ont inventés le cinéma, qui ont inventés l’écriture cinématographique. Je pense qu’un jour un film sera tellement beau, tellement réussi que ce n’est pas dix pourcents de la population qui ira le voir, mais la terre entière. Donc, il y a encore 90% de spectateurs à aller chercher. Je crois au cinéma comme d’autres croient en Dieu. Je voudrais qu'on aborde le titre du documentaire qui vous a été consacré par Philippe Azoulay Tourner pour vivre. Est-ce que justement pour vous tourner, ce n'est pas tout simplement vivre ? Tout simplement, c'est mon cœur. Je pense que le jour où je n'aurai plus envie de tourner, mon cœur s'arrêtera. C’est mon oxygène, c’est ma façon de respirer et tout ce qui se passe dans la vie, c’est des films. Le cinéma, c'est un art de compression. À un moment donné, il va falloir ramener à une heure et demie la vie d'un homme de 60 ans. Ceux qui filment un peu mieux que les autres sont des gens qui ont l'esprit de synthèse et qui savent aller à l'essentiel. C’est un peu mon cas. Le cinéma, c'est l'éternité. Parce qu'il y a sept milliards de personnes sur cette terre et c'est sept milliards de scénarios fantastiques. Il n'y a pas un scénario qui soit nul. Moi, je fais un film tous les jours. Cette curiosité alimente en permanence le scénariste. Vous avez toujours pris soin d'offrir au spectateur ce sentiment de ne pas être au cinéma. Si on reste spectateur, on s'ennuie. Regardez les gens qui vont à un match de football, j’ai envie de dire que la balle, c’est la Terre. On passe notre vie à envoyer la balle à droite, à gauche, à se l’échanger. Et à chaque coup de pied, les gens hurlent, sont excités, deviennent fous donc c’est un peu ça la vie, c’est tous ces coups de pied qu’on donne dans le ballon. "Les films qui marchent sont des films où le spectateur, à un moment donné, cesse d’être spectateur et s'approprie un personnage en se disant ’C'est ma vie’." Claude Lelouchà franceinfo Tous ces films, vous en êtes propriétaire. Vous avez monté votre boîte de production très tôt. C’était important pour vous d’avoir cette indépendance ? J’aurais bien aimé avoir, au départ, des producteurs, mais les trois, quatre premiers que je suis allé voir ne m’ont pas pris au sérieux et puis je me suis dit s’il faut que je passe par ce genre de personnage, je ne vais pas pouvoir faire les films que j’ai dans la tête. Le destin a voulu que je sois aussi producteur pour avoir, justement, le "final cut" à chaque fois et essayer de faire ces films que des gens ont aimé. Je sais que ça en agacé certains. Je voudrais qu'on parle de Roman de gare qui n'a pas forcément fonctionné, qui est arrivé après quatre films qui ont déstabilisé votre public. C'était un peu La vie devant soi, de Romain Gary. Vous avez eu envie d'épurer le scénario et j'ai l'impression que ce film a fait partie des piliers de votre vie et de votre parcours de cinéaste. "J'ai essayé de faire croire que Roman de gare’ n'était pas de Claude Lelouch et j'ai enfin entendu ce que j'avais envie d'entendre sur un de mes films." Claude Lelouchà franceinfo Oui, alors, j'en avais un peu marre de tous ces spécialistes du cinéma qui, à chacun de mes films, ouvraient un tiroir, le tiroir "Claude Lelouch" et répétaient les mêmes choses. J'ai demandé à mon meilleur ami, Hervé Picard, d'endosser la paternité du film, ce qu'il a fait avec plaisir, d'autant qu'il n'y connaît rien au cinéma, il n'était pas gênant. Et j'ai fait ce film. C'est vrai que les gens sortaient de la projection, venaient me voir en disant "Tu as trouvé un metteur en scène formidable, c'est extraordinaire". J'ai eu enfin de belles critiques et comme je n'ai pas voulu que le casse du siècle ait lieu, j'ai dit la vérité. Quel est votre regard sur tout ce parcours ? Si on m'avait fait lire le scénario de la vie de Claude Lelouch, j'aurais dit non, là vous en faites trop, c'est impossible qu'un mec fasse 50 films dans ces conditions, avec des hauts et des bas, avec des ennemis qui sont là en permanence mais qui sont fidèles. J’espère pouvoir jouer les prolongations et je sais que je suis en train de faire mes derniers films. J'aimerais bien faire un film qui me donne envie d'arrêter. Justement, c'est quoi la suite ? Un voyage d'un homme qui frôle la folie parce que le monde d'aujourd'hui est en train de fabriquer des fous. Regardez tous ces hommes qu'on croise dans la rue qui parlent tout seul. Tous ces gens qui, aujourd'hui, n'arrivent plus à faire la synthèse de tous les cadeaux qu'on leur propose, de cette société qui leur a facilité la vie. La folie va donc être au cœur de ce prochain film. D'ailleurs, ça va s'appeler La folie des sens. La folie peut nous sauver parce qu'on ne croit plus aux gens raisonnables. Est-ce que le petit garçon de sept ans qui découvrait le cinéma dans les salles obscures pour fuir la Gestapo est fier de l'homme que vous êtes devenu ? Comme je n'ai pas trop de mémoire... Je ne suis fâché avec personne. Si j'avais de la mémoire, je serais fâché avec la terre entière. Je suis né avec Alzheimer, j’ai la mémoire du présent. Une mémoire qui se souvient que de très belles choses, la vie est belle. Je suis jaloux de Blier, quand il a fait un film qui s’appelait Merci la vie parce que cela aurait dû être le titre de tous mes films.
Lejour où je me suis aimé pour de vrai. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle l’Estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n Le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai compris qu’en toutes circonstances,j’étais à la bonne place, au bon alors, j’ai pu me je sais que cela s’appelle… l’Estime de jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnellen’étaient rien d’autre qu’un signallorsque je vais à l’encontre de mes je sais que cela s’appelle… l’ jour où je me suis aimé pour de vrai,J’ai cessé de vouloir une vie différenteet j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrivecontribue à ma croissance je sais que cela s’appelle… la jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai commencé à percevoir l’abusdans le fait de forcer une situation ou une personne,dans le seul but d’obtenir ce que je veux,sachant très bien que ni la personne ni moi-mêmene sommes prêts et que ce n’est pas le moment…Aujourd’hui, je sais que cela s’appelle… le jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai commencé à me libérer de tout ce qui n’était pas salutaire,personnes, situations, tout ce qui baissait mon début, ma raison appelait cela de l’ je sais que cela s’appelle… l’Amour jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai cessé d’avoir peur du temps libreet j’ai arrêté de faire de grands plans,j’ai abandonné les méga-projets du je fais ce qui est correct, ce que j’aimequand cela me plait et à mon je sais que cela s’appelle… la jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai cessé de chercher à avoir toujours raison,et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis j’ai découvert … l’ jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai cessé de revivre le passéet de me préoccuper de l’ je vis au présent,là où toute la vie se je vis une seule journée à la cela s’appelle… la jour où je me suis aimé pour de vrai,j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me si je la mets au service de mon coeur,elle devient une alliée très précieuse !Tout ceci, c’est… le Savoir ne devons pas avoir peur de nous chaos naissent les par René DumonceauVous pouvez partager cet article à condition d’en respecter l’intégralité et d'en citer la source. Utilisez toujours votre discernement par rapport à ces écrits. Vous avez un Libre-Arbitre, alors utilisez-le et surtout, écoutez ce que vous dicte votre coeur. Lui seul détient votre vérité, laissez-le vous le 15/05/2011+Mà J 09/08/2017 MA PUBLICITE COUP DE COEUR Je vous présente la boutique d'IKAYA MOSSY qui travaille avec les artisans des pays d'Afrique et les aide à accéder à l’économie payent les artisans indépendants 25 à 40% de plus que la moyenne du la raison pour laquelle j'ai décidé de les aider en effectuant la promotion de leurs produits dans mon sur la photo et je pense que, tout comme moi, vous serez séduits par leurs beaux ce beau collier Ndébélé dans la boutique d'Ikaya Mossy. Cliquez sur la photo. Lejour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l'avenir. Aujourd'hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s'appelle plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j'ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris qu’en toutes circonstances, j’étais à la bonne place, au bon moment. Et alors, j’ai pu me relaxer. Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle estime de soi. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes je sais que ça s’appelle authenticité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de vouloir une vie différente, et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribueà ma croissance je sais que ça s’appelle maturité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à percevoir l’abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne, dans le seul but d’obtenir ce que je veux, sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts, et que ce n’est pas le je sais que ça s’appelle respect. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai commencé à me libérer de tout ce qui ne m’était pas salutaire personnes, situations, tout ce qui baissait mon début, ma raison appelait ça de l’ je sais que ça s’appelle amour-propre. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé d’avoir peur du temps libre et j’ai arrêté de faire des grands je fais ce qui est correct, ce que j’aime, quand ça me plait et à mon j’appelle ça simplicité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de chercher à toujours avoir raison, et je me suis rendu compte de toutes les fois où je me suis trompé. Aujourd’hui, j’ai découvert l’humilité. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir. Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe. Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle plénitude. Le jour où je me suis aimé pour de vrai, j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir. Mais si je la mets au service de mon cœur, Elle devient un allié très précieux. When I Loved Myself Enough Anglais Texte de Kim McKillen 1963 – 1996 - Maire de Clarksville - Tennessee kIC2bLS.